http://www.youtube.com/watch?v=MgHg79PiB4s
Related: psychologie socialeAlgorithme de Jean-Pierre Pernaut L'algorithme de Jean-Pierre Pernaut est un modèle mathématique permettant de générer aléatoirement des faits divers pour le journal de 13 heures de TF1. Origines La rédaction du journal de 13 heures s'est très vite retrouvée devant un problème : la possibilité qu'il se produise une journée sans que des voitures brûlent en banlieue, que de belles midinettes se fassent malmener dans une cave à tournante, que les israéliens et les palestiniens se mettent sur la gueule ou qu'un séisme raye plusieurs villes pakistanaises de la carte...
Etre un bon prof ? Pas si simple Avec la hausse spectaculaire, en un siècle, d'enfants scolarisés dans le secondaire, un "objectif idéal" se dégage : la mission essentielle de l'enseignant est de faire progresser toute sa classe, équitablement. La tâche est rude. LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Fabienne Dumontet Qui remercieriez-vous si vous receviez un prix Nobel ? Votre famille, vos collaborateurs, vos mentors ? Portraits d'un Nouveau Monde Le combat des petits paysans indiens Au Sud-Ouest du Gujarat, l'un des Etats les plus industrialisés de l'Inde, la population tribale des Bhils s'organise pour créer une Zone Economique Verte. L'appellation fait référence, avec une certaine ironie aux Zones Economiques Spéciales (les ZES), fers de lance de l'industrialisation en Inde. L'économie rurale se bat face à la tentation du développement industriel La région des Bhils est encore vierge de tout développement industriel. La zone économique verte fédère une centaine de villages.
CIUEN 2012 : comment deux universités numériques thématiques ont décroché leur Idefi Fabienne Guimont | Publié le , mis à jour le Qu’est-ce qui était attendu des projets Idefi dont 37 (sur la centaine déposés) ont finalement obtenu des financements compris entre 1,5 et 10 millions d’euros ? Pour Marcel Spector, porteur du programme TIL, lauréat pour 4,5 millions d’euros, les objectifs avaient été clairement explicités par le ministre de l’Enseignement supérieur. « Laurent Wauquiez nous avait dit que les projets devaient viser des emplois, qu’il fallait introduire une rupture pédagogique et que l’enseignement tout au long de la vie était un élément positif ». Qui sommes-nous empathie Après un parcours de vendeur, animateur des ventes, puis de chef d'Entreprise, Raymond HAAS crée Empathie en 1998 pour partager sa vision des Relations Humaines avec ses clients. L'objectif est d'accompagner les individus à vivre mieux l'Entreprise dans toutes ses dimensions : économique, sociale et humaine. Le nom choisi pour l'Entreprise « Empathie » est l'affirmation d'une conviction : L'épanouissement des individus et des organisations passe par - mieux comprendre les situations et ainsi en garder le contrôle - assumer la responsabilité de ses Relations Humaines - aller vers l'autre pour le découvrir - agir plutôt que subir Empathie s'intéresse à toutes les situations où la communication interpersonnelle intervient.
La construction des inégalités scolaires : Dans la classe aussi ? Par Marcel Brun D'où viennent les inégalités scolaires ? Où plutôt comment se construisent-elles et quelle part les pratiques pédagogiques prennent-elles dans leur construction ? De nombreux travaux, par exemple ceux du réseau Reseida (Paris 8), ont tenté ces dernières années de mieux comprendre les difficultés scolaires, notamment en cherchant à saisir comment les « pratiques pédagogiques » pouvaient à leur insu renforcer les inégalités sociales.
Propagande Manipulation des Pensées et Opinions Euphémisme et Oxymore Médias de Masse Novlangue Politiquement Correct - Page 3 Comment la structure rituelle du Journal télévisé formate nos esprits Si le téléspectateur est de plus en plus attentif au traitement d’informations particulières par les journaux télévisés, il s’interroge rarement sur la structure même de cette émission. Or, pour Pierre Mellet, la forme est ici le fond : conçu comme un rite, le déroulement du journal télévisé est une pédagogie en soi, une propagande à part entière qui nous enseigne la soumission au monde que l’on nous montre et que l’on nous apprend, mais que l’on souhaite nous empêcher de comprendre et de penser. Le journal télévisé est le cœur de l’information contemporaine. Principale source d’information d’une grande partie des Français, il n’était pourtant, à ses débuts, en 1949 en France, que le sous-produit de ce que n’avaient pas voulu diffuser au cinéma la Gaumont et les Actualités Françaises. Le présentateur y tient rôle de passeur et d’authentifiant.
Jean-Yves Rochex « Les inégalités scolaires se construisent aussi dans la classe » Créé en 2001, le réseau Reseida, animé par Jean-Yves Rochex, travaille sur la question de l’inégalité scolaire en s’intéressant plus spécifiquement aux inégalités d’accès aux apprentissages. Son équipe de chercheurs essaye d’ouvrir ce que certains appellent « la boîte noire » de l’école : regarder non pas seulement les inégalités une fois produites mais étudier leur fabrication dans l’ordinaire des classes, quand des élèves inégalement préparés à faire face à ce qu’on leur demande sont confrontés à des tâches préparées par des enseignants, eux-mêmes inégalement conscients des différences entre élèves… Pour cet ouvrage (1), les chercheurs ont suivi pendant plus d’un an des classes de grande section maternelle et CP, d’une part, et de CM2 d’autre part. Toujours en essayant de mettre au jour des phénomènes récurrents qui contribuent à la production de l’inégalité scolaire.
L’orthorexie nerveuse – quand manger trop sain devient malsain Les personnes obnubilées par le dogme de «l’alimentation saine» sont en train de développer une nouvelle pathologie de l’alimentation. D’après l’Association suisse de l’alimentation, cette nouvelle obsession nutritionnelle, dénommée «orthorexia» ou «orthorexie nerveuse» – du grec «orthos» qui signifie correct et «orexis» qui signifie appétit – atteint des proportions alarmantes. Désireux de soigner une maladie particulière ou allant trop loin dans la recherche d’aliments sains, les orthorexiques inventent leurs propres règles alimentaires. Ils passent de plus en plus de temps à se plier aux exigences qu’ils ont eux-mêmes déterminées et se sentent obligés de planifier leurs repas plusieurs jours à l’avance. Il leur arrive même de prendre un «kit de secours» dès qu’ils sortent car ils ne sauraient manger des aliments tout prêts, par crainte des graisses, des produits chimiques ou de tout ce que leur fait redouter leur phobie.
N° 11, paru en juin 2011 Cette livraison de Recherches en Didactiques propose un dossier, Enfant, élève, apprenant, qui confronte plusieurs points de vue sur une thématique originale : comment les didactiques appréhendent-elles le sujet qu'elles constituent comme objet de leurs investigations théoriques ? Il s'agit de comprendre comment les didactiques envisagent la manière dont l'École institue l'enfant comme élève, la manière dont l'élève peut être constitué en apprenant d'un contenu (disciplinaire ou non), la part faite à l'enfant (à ses pratiques culturelles et langagières notamment) dans la mise en apprentissage de l'élève. Commander le numéro aux Presses Universitaires du septentrion. Hypocondrie - Peur d’être malade Nous avons tous peur de tomber malades, mais certains sont obsédés par cette idée. Ils souffrent d’hypocondrie, un mal souvent incompris par l’entourage. Catherine Marchi L'hypocondrie La maladie, ma chère maladie, que serais-je sans toi ?
L’école transformée en machine à désintégrer Dans le petit jeu des annonces gouvernementales qui s’emballent à l’approche des élections, le repérage des enfants «à risque» et «à haut risque» en maternelle est très représentatif d’une conception tout à fait cohérente de l’enseignement fondée sur des principes simples : médicalisation, détection et dérivation. Longtemps, la métaphore médicale a joué un rôle critique en éducation. En 1967, les enfants de Barbiana écrivaient dans leur «Lettre à une maîtresse d’école» que «l’école se comport[ait] comme un hôpital qui soignerait les bien portants et exclurait les malades». Le caractère subversif de la formule s’est émoussé : avec la gestion libérale du système de santé, quand le management l’emporte sur le soin et que le «pilotage par les résultats» permet tout naturellement d’arroser là où c’est déjà mouillé, la médecine n’a plus rien à envier à l’école !
L'effet nocebo Croire que l’on est malade peut suffire à développer les symptômes d’une maladie, c’est l’effet nocebo. Et attention : ces craintes aux effets potentiellement terribles sont contagieuses. “Méfiez-vous des alarmistes. Comme un mauvais sort, leurs mots pourraient propager des fléaux modernes”, écrit la BBC le 11 février. Si elle aborde la question avec humour, la radio britannique revient sur le sérieux “effet nocebo” – phénomène selon lequel une personne encouragée à croire qu’elle est malade développe les symptômes de ladite maladie – et met en garde sur sa propagation. “Nous savons depuis longtemps que les craintes d’une maladie peuvent être aussi dangereuses qu’un virus, rapporte la BBC.
Expresso du 14 Novembre 2011 : A Balzac, la première grève de la personnalisation ? Par François Jarraud B. Groison : " Le gouvernement refuse tout débat"