Créer un film avec son smartphone : Mode d’emploi
Comment concevoir et réaliser un film de poche avec un smartphone ? Comment envisager le smartphone ou la caméra de poche comme outil d’éducation et de socialisation ? A l’occasion d’une formation en septembre 2014 de l’expert Benoit Labourdette pour des animateurs à Blois, l’UPOPI (université populaire des images, Région Centre) revient sur la méthodologie de réalisation d’un film avec un téléphone portable (smartphone). Cela comprend un kit complet pour mener à bien ce type de projets en espace public numérique, dans un établissement scolaire ou dans le cadre d’un projet spécifique via le dossier Que faire avec sa caméra de poche qui comprend : – un mode d’emploi : Réaliser un film avec un téléphone portable qui donne des conseils simples pour obtenir de jolies images : éviter le zoom, suivre l’objet filmé, soigner le son, la lumière, le cadrage… – filmer avec un téléphone portable : conseils techniques (pdf) : formats d’image, logiciels…
Land art
Le land art est une tendance de l'art contemporain utilisant le cadre et les matériaux de la nature (bois, terre, pierre, sable, eau, rocher, etc.). Le plus souvent, les œuvres sont en extérieur, exposées aux éléments et soumises à l'érosion naturelle ; ainsi, certaines œuvres ont disparu et il ne reste que leur souvenir photographique et des vidéos. Les premières œuvres ont été réalisées dans les paysages désertiques de l'Ouest américain à la fin des années 1960. Les œuvres les plus imposantes, réalisées avec des équipements de construction, portent le nom d’earthworks (« terrassements »). Si les « earthworks » sont des altérations durables du paysage, la plupart des œuvres du land art relèvent plutôt de l'art éphémère, vouées à plus ou moins longue échéance à la disparition sous l'effet des éléments naturels. Les motivations premières du land art étaient de se débarrasser de l'art de chevalet et des grands principes du modernisme prônés par le critique d'art Clement Greenberg.
Carré noir sur fond blanc
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Carré noir sur fond blancЧёрный квадрат Le Quadrangle, appelé aussi Carré noir sur fond blanc, est une huile sur toile peinte par Kasimir Malevitch en 1915[1]. Historique[modifier | modifier le code] Kasimir Malevitch expose pour la première fois trente-neuf œuvres suprématistes, dont le Quadrangle, en 1915 à la galerie Dobychina lors de la « Dernière Exposition futuriste de tableaux 0,10 (zéro - dix)[2] ». Le tableau est exposé en hauteur, dans un angle de la pièce qui comprend les œuvres de Malevitch. Bibliographie[modifier | modifier le code] (de) Jeannot Simmen, Kasimir Malewitsch - das schwarze Quadrat, Frankfurt am Main : Fischer Verlag, 1998 (ISBN 3-596-12419-0) Notes et références[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code] Jean-Claude Marcadé, Malévitch, Paris : Casterman/Nouvelles éditions françaises, 1990 Notes[modifier | modifier le code] ↑ La date de 1913 est parfois donnée pour cette œuvre.
Impressionnisme
L'impressionnisme commence à être accepté en 1880, grâce au soutien du nouveau gouvernement de Léon Gambetta et de critiques comme Émile Zola. Les œuvres font petit à petit leur entrée dans les musées, au Salon des artistes français, qui succède au Salon de l'Académie des Beaux-Arts, et sur le marché de l'art. Le marchand Paul Durand-Ruel joue un rôle crucial dans le soutien et la diffusion de l'impressionnisme, qui s'exporte aux États-Unis à partir de 1886, grâce à la peintre Mary Cassatt. Le mouvement y obtient un grand succès, qui participe à la consécration de Monet et au développement d'écoles impressionnistes hors de France au cours des années 1890. Cette décennie voit la mort de Morisot, Caillebotte et Sisley et la dispersion du groupe, tandis que se développent de nouvelles avant-gardes auxquelles adhèrent certains impressionnistes, comme Cézanne et Pissarro. Les artistes impressionnistes créent une nouvelle esthétique opposée à l'art académique.
Google Arts et Culture. Glissez 1000 musées dans votre poche – Les Outils Tice
Google Arts et Culture est un service offert par le géant de la recherche Google qui se propose de mettre des milliers d’œuvres d’art dans le creux de votre main grâce à des applications pour smartphone ou tablette. Que l’on aime ou non le Big Brother Google, il sera difficile de nier que certains services du géant de Mountain View sont juste…formidables. C’est le cas ici avec des applications qui sont de magnifiques encyclopédies en ligne offertes en cadeau à tous les amoureux de l’art. Une fois installée sur votre iPhone ou Android vous aurez accès aux œuvres d’art présentes dans plus de 1000 musées à travers le monde. Vertigineux. Vous allez pouvoir réaliser des visites virtuelles des musées, explorer les grands mouvements artistiques, découvrir des milliers de peintures et autres œuvres d’art en haute définition ainsi qu’une somme colossale d’informations ( en anglais et en français) s’y rapportant. Inutile d’essayer d’en faire le tour, vous n’y parviendrez pas. Sur le même thème
Hyperréalisme
L’hyperréalisme est un mouvement artistique pictural du dernier quart du XXe siècle consistant en la reproduction à l'identique d'une image en peinture ou en sculpture, tellement réaliste que le spectateur vient à se demander si la nature de l'œuvre artistique est une peinture ou une photographie. La première exposition en Europe a eu lieu à la Galerie des Quatre Mouvements à Paris en 1972, avec un catalogue illustré. Le mot français Hyperréalisme et tous ses dérivés viennent du marchand d'art belge Isy Brachot III, qui l'a employé comme titre d'une grande exposition et d'un catalogue dans sa galerie d’art à Bruxelles en 1973[1],[2]. L'exposition était dominée par des photoréalistes américains tels que Ralph Goings, Chuck Close, Don Eddy, Robert Bechtle et Richard McLean ; mais elle comprenait également des artistes européens influents tels que Domenico Gnoli, Gerhard Richter, Konrad Klapheck et Roland Delcol[3]. La photographie ne devait pas être source d'émotion. Ouvrage jeunesse
Art contemporain
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « art contemporain » désigne de façon générale et globale l'ensemble des œuvres produites depuis 1945 à nos jours, et ce quels qu'en soient le style et la pratique esthétique. Dans cette classification périodique, l'art contemporain succède à l'art moderne (1850-1945). Cette désignation s'applique également aux musées, institutions, galeries, foires, salons, biennales montrant les œuvres de cette période. Qu'est-ce que l'art contemporain ? La notion de « contemporanéité » est d’abord une notion historique. « Contemporanéité » signifie aussi « simultanéité ». De nouvelles références permettent de définir ce qu'est la méthode contemporaine. De surcroît, l'expression « manière contemporaine » est aujourd'hui utilisée pour des artistes encore vivants et actifs ou pouvant encore l'être, ce qui dans ce cas placerait l'origine de la méthode contemporaine dans les années 1960, avec le pop art, Fluxus, les happenings ou l'art vidéo.
Pop art
Histoire et définition[modifier | modifier le code] L'expression « pop art » (abréviation de « popular art » en anglais, ou « art populaire » en français), a été utilisée pour la première fois par les membres de l'Independent Group, groupe d'intellectuels travaillant sur l'impact des médias de masse et de la technologie dans la société se réunissant à l'Institute of Contemporary Art (ICA) à Londres[1]. Le pop art émerge au milieu des années 1950 en Grande-Bretagne et, sous une autre forme, vers la fin des années 1950 aux États-Unis. L'accueil réservé aux productions américaines est très bon car les formes sont simples et accessibles. Ce mouvement a perturbé le monde artistique d'autres manières, par exemple à travers la remise en cause du principe d'unicité de l'œuvre d'art. Le pop art constitue également une réintroduction du réel et du populaire dans le champ pictural après l'expressionnisme abstrait (à la fois art non figuratif et art destiné à une élite). Culte !