Makers (1/2) : Faire société
“We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”)
Prix de vente du livre - professionnels
Acheteurs spécifiques La règle du rabais à 5 % ne s'applique pas à l'achat de livres scolaires (manuels et cahiers d'exercice). Le rabais pour les livres scolaire est libre et donc non plafonné pour les associations qui en facilitent l'acquisition pour leurs membres (associations de parents d'élèves par exemple).
Chris Anderson et l’économie de l’attention
Chris Anderson et l'économie de l'attention Posted by amo@emakina.fr En plein dans les débats sur l’avenir des médias à l’ère digitale, dans le bourbier Hadopi, Google et la BNF, et les chimères que certains nous dressent face à l’illusion du gratuit, j’ai été assez surpris de lire si peu de choses que ça par rapport à la parution en français de “Free” de Chris Anderson.
★ Mieux que gratuit : le business model réinventé
Voici une traduction d'un texte pointé par Karl intitulé Better than free et écrit par Kevin Kelly. Je trouve la réflexion très intéressante et arrivant à point nommé dans ma réflexion sur le financement des applications web libres. Je vous laisse lire et on en parle ensuite. L'Internet est une machine à copier.
Makers (2/2) : Refabriquer la société
Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier). L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market). Mais surtout, ces lieux s’implantent au coeur d’un écosystème qui favorise leur développement : écoles, musées, start-ups et grands acteurs de l’internet qui souhaitent redéployer leur activité en centre-ville… Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux.
L’Oréal, Unilever, Colgate... près d’1 milliard d’euros d’amende pour entente illicite sur les prix
Une amende record. La cour d’appel de Paris a confirmé, ce jeudi 27 octobre, le verdict rendu fin 2014 par l'Autorité de la concurrence qui épinglait alors les plus grands fabricants de produits d’hygiène et d'entretien pour s’être secrètement entendus sur leurs prix. L’Oréal, Unilever, Procter & Gamble etc., devront ainsi bel et bien régler une amende de près d’un milliard d’euros, 948,9 millions (contre 951,1 millions d’euros initialement) pour s'être concertés, entre 2003 et 2006, sur le prix de leurs shampoings, gels douche, dentifrices, liquide-vaisselle ou encore détachants… "La cour d'appel vient de confirmer la sanction la plus élevée qu'ait jamais prononcée l'Autorité de la concurrence, alors que par le passé, elle avait largement réduit, voire annulé, les amendes records du gendarme de la concurrence", explique de fait à l’AFP Gildas de Muizon, associé du cabinet d'expertise économique Microeconomix.
La richesse autrement n°048 Mars 2011
La richesse autrement est publié à l'initiative du Forum pour de nouveaux indicateurs de richesse (FAIR). Ce collectif réunit des universitaires et chercheurs qui n'ont pas attendu le rapport Stiglitz pour s'interroger sur ce que sont les vraies richesses et comment les compter ! Avec les contributions de : Dino Bendiab, Aurélien Boutaud, Luzmila Carpio Sangüeza, Isabelle Cassiers, Myriam Cau, Christophe Cesetti, Hélène Combe, Arnaud du Crest, Nathalie Durand, Jean Fabre, Orianne Faisandier, Philippe Frémeaux, Jean Gadrey, Vincent Glenn, José Gualinga, Etienne Hayem, Florence Jany-Catrice, Pierre-Jean Lorens, Grégory Marlier, Dominique Méda, Georges Menahem, Danièle Mitterrand, Rodrigue Olavaria, Bernard Perret, Philippe Piau, Michel Renault, Geoffroy de Schutter, Géraldine Thiry, Michel Veillard, Patrick Viveret, Mutthia Yoganantha. Editorial Editorial Qu'est-ce que la richesse ?
Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois
Par Hubert Guillaud le 01/02/12 | 24 commentaires | 12,319 lectures | Impression Même s’il est toujours difficile à mesurer, l’impact d’internet sur l’économie a toujours été observé avec attention, notamment par les acteurs de la nouvelle économie eux-mêmes, toujours à la recherche de métriques pour valoriser leurs résultats face aux pesanteurs de l’ancienne économie. Selon une récente étude du Centre pour l’innovation, la technologie et la stratégie numériques de l’école de gestion Robert H. Smith de l’université du Maryland, Facebook aurait permis de créer entre 180 et 240 000 emplois indirects aux Etats-Unis grâce au développement de l’édition d’applications, rapporte L’Expansion.
DEF : wiki Hackerspace -F
Un hackerspace est un tiers-lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l'informatique, de la technologie, des sciences, des arts...) peuvent se rencontrer et collaborer. Les Hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir[1]. Une traduction française est Laboratoire ouvert ou Transformatoire[2]. Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du matériel libre, des ressources documentaires sous licence libre ou des médias alternatifs alimentant ainsi un patrimoine informationnel commun. Ils sont souvent physiquement installés dans des maisons des associations ou des universités, mais dès que le nombre d'adhérents et l'éventail des activités augmentent, ils déménagent généralement dans des espaces industriels ou d'anciens entrepôts. Exemple d'utilisation d'écran LCD 16/2 par le Liège Hackerspace