Antonella Verdiani : "Ces écoles qui rendent nos enfants heureux" Au moment où des millions d'écoliers reprennent le chemin de l'école, rencontre avec Antonella Verdiani, auteur de "Ces écoles qui rendent nos enfants heureux", un livre qui sort fin septembre. Docteur en sciences de l'éducation, Antonella Verdiani a travaillé durant plus de dix-huit ans à l'UNESCO, où elle était responsable des questions d'éducation. FemininBio : Votre histoire personnelle a-t-elle été déterminante dans votre choix de vous consacrer au formes d'éducations alternatives ? FB : Vous avez trois enfants, ce qui a dû aussi influer sur vos choix ? FB : Quelles sont vos critiques à l'encontre du système éducatif traditionnel ? FB : Il y a aussi une notion de compétition dans l'enseignement traditionnel ? FB : Vous avez rapproché les mots "éduquer" et "joie". FB : Comment définissez-vous l'éducation alternative ? FB : C'est encore très marginal ? FB : Comment mesure-t-on la réussite d'une méthode ? FB : Pensez-vous que l'école évoluera vers ces éducations alternatives ?
Pourquoi et comment rire ? retour au résumé Rire à l'école, l'idée est séduisante et pourtant tantôt oubliée, tantôt rejetée. Aussi, avons-nous voulu la mettre en question. La question du titre est un clin d'œil, puisqu'elle supposerait l'efficacité de l'intention de rire, l'efficacité de la demande de production humoristique. Notre travail consiste à : a) montrer l'aspect paradoxal de la stratégie de rire. Le rire et la gentillesse (le sourire) seraient bons pour la santé. Tout se passe comme si "l'intention de" rire en supprimait de facto les bienfaits. La double contrainte : C'est quand "par exemple nous décidons volontairement que nous voulons manifester une émotion... Didier Nordon exprime cette même idée de la double contrainte (Des cailloux dans les choses sûres, 1997) : "La meilleure façon de manquer d'humour est d'affirmer qu'on en a." 1.2 : Poncifs et esprit de contradiction : L'avarice n'est pas - contrairement au rire - une valeur reconnue et n'est pas supposée avoir des vertus sanitaires.
Le harcèlement à l'école Je m’appelle Amandine, j’ai 29 ans, et il y a 17 ans j’ai été victime de harcèlement à l’école. Les blessures se referment petit à petit, mais le plus important à mes yeux se situe ailleurs… Je tiens à ce que mon expérience puisse profiter à tous les enfants qui AUJOURD’HUI souffrent, en silence, seuls, et n’ont personne vers qui se tourner pour s’en sortir… pour guérir. Mon ITW J’ai donc décidé dans un premier temps de réaliser un documentaire sur le sujet (avec la complicité de mon ami Nicolas Bourgouin), afin de donner la parole aux victimes, mais aussi aux harceleurs, aux adultes, aux spécialistes… A tous ceux qui se sentent concernés et veulent que les choses changent dans ce pays qui a 40 ans de retard sur la question. (Extraits du documentaire disponibles en bas de page) Articles de presse sur le documentaire "Harcèlement à l'école" Aujourd’hui, voici la deuxième étape, et pas des moindre…
Êtes-vous plutôt cerveau droit ou cerveau gauche ? Faites le test ! Selon le mode de fonctionnement de votre cerveau, la danseuse tourne soit dans le sens horaire soit dans le sens antihoraire. Si elle se tourne vers la droite, vous utilisez principalement le côté droit de votre cerveau et vous êtes très certainement droitier. Conflit :Le côté droit du cerveau veut choisir la couleur qui correspond au mot, tandis que le gauche veut choisir le mot écrit. Lorsque vous faites une erreur, c'est le côté gauche de votre cerveau qui s'exprime. Réponse A : Si vous avez choisi cette image, le côté gauche de votre cerveau est dominant. Réponse B : Cette forme est un compromis entre la première image simple et l'image plus compliquée de la réponse C. Réponse C : Si vous avez choisi cette image, c'est le côté droit de votre cerveau qui est dominant. Ici, les figures sont également de la même taille. Les figures sont de la même taille et quasiment de la même couleur. Ici, l'image originale a été décomposé en fragments.
20/02/17: article dans le Métro – Enova – Une autre école à Attert BRUXELLES Les établissements scolaires qui proposent la « pédagogie active », inspirée de la méthode Steiner par exemple, attirent de plus en plus de parents. Que ce soit des écoles privées ou subsidiées par les pouvoirs publics, les initiatives se multiplient, dans les trois régions du pays, comme l’école « Enova » qui ouvrira ses portes cette année près d’Arlon.Pédagogie active, alternative, d’intégration… voici des synonymes de ces méthodes d’apprentissages nées au début du siècle passé et dont l’efficacité est, depuis peu, confirmée par les avancées en neurosciences et en imageries médicales. Le fil conducteur de ces méthodes que sont Montessori, Steiner, Freinet ou encore Decroly par exemple, c’est de stimuler les enfants en respectant leur individualité et leur rythme propre.« PLUS JAMAIS ÇA »L’objectif final est global : construire des sociétés pacifiées. Des chiffres ? Il est difficile de comptabiliser les écoles qui adoptent ces méthodes.
Selon une étude, les gens drôles sont plus intelligents Non seulement les gens drôles font rire les autres, mais ils rient aussi plus eux-mêmes. Et la science a prouvé que le rire entraîne des changements cérébraux comme la production de dopamine pouvant expliquer le lien entre humour et intelligence. En plus de nous procurer une sensation de bien-être, la dopamine ouvre également les centres d’apprentissage du cerveau permettant de maintenir plus de connexions neuronales. Conséquence : nous devenons plus créatifs, flexibles et aptes à résoudre les problèmes. L’humour, une histoire de Q.I., mais pas que… L’humour, une qualité aux multiples vertus Vous avez déjà tenté de détendre l'atmosphère à l’aide d’une petite blague ? L’humour rendrait attirant D’après les chercheurs, le fait d’avoir un bon sens de l’humeur serait lié à une intelligence émotionnelle élevée, ce qui est une qualité très recherchée chez un partenaire.
Fondation Jasmin Roy Une tout autre École ? Créons-la ! Le 27 septembre ont eu lieu les 1er ateliers participatifs. Ils ont réuni 800 personnes dans 14 lieux de Wallonie et Brucelles. En novembre a eu lieu la phase 2 de la première étape. Il s’agissait de synthétiser les nombreuses idées énoncées lors des ateliers du 27 septembre. Avec le projet d’approfondir le débat sur certaines d’entre elles. Les ateliers étaient conçus selon la méthode « World’s café ». Nous avons synthétisé les idées du 27 septembre 2015 (voir les synthèses dans notre page archives), pour les remettre en débat localement en novembre. Lors de l’assemblée citoyenne du 12 décembre, nous avons décidé de rédiger un Manifeste pour la mi-mars 2016. Celle-ci a été approuvée par le groupe Tout Autre École avant de l’être par le comité de coordination de Tout Autre Chose le 11 mai. Le 25 avril, nous avons défini la stratégie de mise en mouvement et en réseau. L’appel initial Si, comme nous, … alors bienvenue à Tout Autre École
Être le clown de la classe, ce n’est pas toujours drôle… Cette nouvelle fait partie de nos archives. Il se peut que son contenu ne soit pas à jour. 7 juin 2018 | Les garçons qui se comportent comme les clowns de la classe seraient perçus comme dérangeants par les autres enfants à partir de la troisième année, rapporte une étude américaine. Les auteurs de l’étude ont constaté que, durant les deux premières années du primaire, les enfants qualifiés de « clown de la classe » (garçons et filles) faisaient rire les autres élèves, ce qui les rendrait très populaires. Toutefois, en troisième année, le statut des garçons qui font le clown changerait de façon importante. Selon les chercheurs, cette désapprobation des élèves à l’égard des garçons qui font les « clowns » en classe serait le reflet des commentaires négatifs formulés par les enseignants. Plusieurs des garçons ayant reçu l’étiquette de « clown de la classe » intérioriseraient ainsi les commentaires négatifs à leur égard, ce qui pourrait les mener à avoir une mauvaise estime d’eux-mêmes.
Es-tu une victime? La cyberintimidation blesse. Cela peut t’amener à te sentir isolé, humilié, confus et apeuré. Cela peut te suivre à la maison, te faisant sentir que tu ne peux y échapper. Ne perds pas espoir. Il y a des choses que tu peux faire qui feront la différence, même si ça prend un certain temps avant que la situation ne se règle complètement. Tu as la force pour passer au travers de ça. Qu’est-ce qui est différent à propos de la cyberintimidation? C’est plus facile d’être cruel quand tu ne peux pas voir ou être vu par ta victime. Qu’est-ce que je peux faire? Il peut être tentant de répondre aux textos, aux messages ou aux courriels, mais il est préférable de ne pas le faire. Si c’est un texto ou un courriel, ne le supprime pas. Bloque l’expéditeur de ta boîte de messagerie. C’est important de parler à quelqu’un en qui tu as confiance de ce qui se passe, surtout si ça continue. Comment est-ce que j’en parle? Pense à comment tu te sens présentement et à ce qui serait le plus aidant. Haut de page
evie-asbl Sabine Melchior-Bonnet: «Les femmes ont dû aussi conquérir le droit de rire» «Pour une femme, le silence est une parure», aimait à rappeler Aristote en citant Sophocle. On sourit, ou on s’étrangle. Jamais avares de conseils en matière de bienséance, les représentants du sexe dit fort ont même jugé bon de bannir le rire des femmes, et ce, durant des siècles. C’est ce qu’on apprend sous la plume de l’historienne Sabine Melchior-Bonnet, qui explore dans un essai foisonnant paru fin avril les fantasmes et les enjeux attachés au rire féminin. La spécialiste des sensibilités, à qui l’on doit, entre autres, Les Revers de l’amour (PUF, 2019) ou Histoire du miroir (Pluriel, 1998), elle non plus n’est pas avare, mais de sources.