5 stratégies de mémorisation plus efficaces que la relecture simple
Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable. En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture.
Le lapbook, un support d'apprentissage et de révision ludique et efficace
Je ne suis absolument pas une experte du lapbook mais je tenais à vous faire découvrir ce support d’apprentissage et de révision. J’avais vu plusieurs exemples sur différents blogs et je m’y étais vaguement intéressée en me disant que je le testerai bien mais plus tard. Je crois que j’avais un peu d’appréhension d’essayer quelque chose de nouveau :-).
Comment ne pas saturer la mémoire de vos élèves ?LeWebPédagogique
Apprendre, c’est avant tout une question de mémoire : si un élève ne retient pas ce qui a été vu en classe, il n’apprend pas. Mais le matériel à apprendre ne s’enregistre pas directement dans la mémoire : il doit d’abord transiter dans une mémoire temporaire qui sert de porte d’entrée pour la mémoire à long terme. Cette mémoire de travail ne peut contenir qu’un nombre limité d’informations : environ 7 pour un adulte, et un peu moins pour un enfant (la taille exacte dépendant de l’age et de la personne). Or, si on demande à la mémoire de travail de retenir plus d’informations qu’elle ne peut en contenir, elle surcharge : l’élève mémorise mal, à des difficultés à réfléchir, et l’apprentissage est long et laborieux.
Comment apprendre ? Pourquoi réviser ?
Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. Nous ne gardons en mémoire les informations de cette dernière que durant quelques millisecondes.
Optimiser sa mémoire pour mieux réviser
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Retenir le plus efficacement possible, tel est le but des révisions. Pour compléter les conseils méthodologiques de vos enseignants, nous avions consulté en 2014 le spécialiste français de la mémoire, Alain Lieury. Revoici les explications de ce scientifique, auteur de plusieurs livres, dont Une mémoire d’éléphant et Le livre de la mémoire (Dunod), permettant d’optimiser votre organisation de révision afin de booster votre mémoire. Que se passe-t-il quand on apprend ? Tout apprentissage ou souvenir correspond à des connexions entre neurones, un peu comme les connexions électriques dans votre maison.
Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation – Formation 3.0
Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ?
L'histoire de la chimie
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Ressources pour débuter
Accueil > Publications > Les hors-série numériques > Ressources pour débuter Téléchargez ce numéro Face aux dynamiques nouvelles qui sous-tendent le métier d’enseignant, face à l’extrême diversité des contextes de début et à l’extrême diversité des formes de préparation et d’entrée des débutants dans la profession, ce hors-série numérique propose des ressources nombreuses et variées répondant donc à l’extrême diversité des « besoins ». De la « trousse de première urgence » aux pistes pour rendre opérationnelle la formation initiale, en passant par des sitographies et bibliographies choisies.