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Méthodes d’apprentissage

Méthodes d’apprentissage
Selon le type de support de cours, nous retenons plus ou moins d’information à l’issue de l’aprentissage. Globalement, plus le cours suscite l’interaction et l’action, meilleur est le rappel. A l’inverse, une posture passive et purement réceptive de l’apprenant réduit drastiquement le pourcentage d’information rappelée comme illustré sur le schéma suivant. Plus l’élève est actif, plus il retient d’information. Si on extrapôle, le simple fait de prendre des notes facilite la mémorisation par rapport à une écoute simple. Manipuler l’information à acquérir facilite encore l’acquisition. Dans le jeu vidéo, l’ensemble de ces approches est combinée dans un média interactif. Related:  MÉMOIRE

Qu’est-ce qu’il faut que je change pour faire apprendre en 2016 | Didactique professionnelle 29 février 2016 Henri Boudreault Didactique professionnelle Une chose certaine c’est que le changement est là pour rester. La nouvelle variable à considérer, qui a souvent été négligée dans le but d’éviter le changement, c’est la diversité. En formation professionnelle il y a une diversité d’apprenants qui ont une diversité d’objets de formation à apprendre, ce qui devrait initier une diversité de méthodes et de modalités de formation à mettre en oeuvre. Si l’on veut réellement changer, voici ce qu’il faut considérer : La diversité des apprenants : La diversité des objets de formation : La diversité des méthodes La diversité des facteurs qui favorisent l’apprendre; La diversité des potentiels ; La diversité des théories de l’apprentissage; La diversité des représentations; La diversité des relations d’enseignement; La diversité des styles d’apprentissage ; La diversité des modalités des motivations; La diversité des modalités de formation ; Partager sur vos médias sociaux : WordPress:

Le lapbook, un support d'apprentissage et de révision ludique et efficace Je ne suis absolument pas une experte du lapbook mais je tenais à vous faire découvrir ce support d’apprentissage et de révision. J’avais vu plusieurs exemples sur différents blogs et je m’y étais vaguement intéressée en me disant que je le testerai bien mais plus tard. Je crois que j’avais un peu d’appréhension d’essayer quelque chose de nouveau :-). Mais voilà, l’élève de 5° que j’accompagne avait un devoir commun sur tous les chapitres étudiés depuis le début de l’année en histoire et géographie. Elle me disait déjà qu’elle détestait l’histoire-géo, qu’elle n’arriverait jamais à tout réviser et que tout ça ne l’intéressait pas. Je me suis alors dit que c’était l’occasion rêvée de créer un lapbook, à la fois pour la motiver avec un support ludique et personnalisé et pour l’aider à réviser. Un lapbook est une sorte de livret décoré et personnalisé qui reprend des éléments autour d’une notion étudiée, sous forme A chaque forme et à chaque mobile correspond une notion. Related

Aménager autrement sa salle de classe : une clé de la réussite des élèves Depuis le début de l’année scolaire, j’ai pris l’habitude de m’exiler dans d’autres salles que la mienne. J’ai enseigné dans la classe de mon collègue d’Arts plastiques, au CDI, en salle informatique, dans la salle polyvalente, dans une prairie surplombant la ville ou dans les couloirs des musées. L’activité menée avec les élèves justifie de changer d’espace de travail. Débat argumenté, lecture de paysage, cours magistral, travail de groupes, TICE, atelier artistique : le panel des activités pédagogiques nécessite un équipement et une configuration de l’espace spécifiques. Sortir de sa classe, c’est une respiration bénéfique aux professeurs comme aux élèves. On change d’air, d’autres adultes interviennent (professeur-documentaliste, médiateur culturel, artiste) et notre pratique s’enrichit. J’ai la chance d’occuper la même salle tout au long de la semaine. 1. 2. « La salle de classe, un lieu d’enfermement ? Mais la salle de classe, perçue par certains (beaucoup ?) 3. 4. 5. 6. 7. 8.

5 stratégies de mémorisation plus efficaces que la relecture simple Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable. En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture. Le seul contexte dans-lequel des relectures peuvent être efficace est dans le cas de relectures espacées dans le temps et régulièrement réactivées.) Toutes ces stratégies d’apprentissage préconisées par les sciences cognitives ont en commun de : -s’entraîner à se remémorer les nouveaux apprentissages grâce à une auto évaluation -espacer les séquences d’entraînement

Construire l'environnement optimal d'apprentissage (Heutte, à paraître Ce qu’il est désormais convenu d’appeler la société de la connaissance marque un tournant historique à bien des égards. 10 000 ans après la révolution agraire (le pouvoir réside dans la force humaine ou animale qui permet de réaliser les travaux des champs), et à peine 200 ans après la révolution industrielle (le pouvoir réside dans l’argent qui permet d’acquérir ou transformer les matières premières en objets de consommation), un nouveau secteur d’activité émerge dans les pays les plus avancés, cette « 3e vague », qui selon Toffler (1980) vient se superposer aux deux précédentes, est portée par la connaissance. Ainsi, la connaissance constituerait un nouveau pouvoir de nature bien supérieure à la force, capable, de supplanter même l’argent. Le sentiment d’acceptation : moteur de l’apprentissage individuel et collectif L’expérience optimale d’apprentissage : le plaisir de s’apercevoir que l’on comprend Bandura, A. (2003). Carré, P. (2005). Csikszentmihalyi, M. (2004). Deci, E.

Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. La deuxième mémoire est la mémoire à court terme. Nous abordons maintenant la mémoire « durable ». Pour résumer, la mémoire immédiate est sollicitée en quelques millisecondes dès que nous percevons quelque chose (perception). Mémoriser sur le long terme demande aussi de la répétition. WordPress: J'aime chargement…

Optimiser sa mémoire pour mieux réviser LE MONDE | • Mis à jour le | Par Maryline Baumard Retenir le plus efficacement possible, tel est le but des révisions. Pour compléter les conseils méthodologiques de vos enseignants, nous avions consulté en 2014 le spécialiste français de la mémoire, Alain Lieury. Revoici les explications de ce scientifique, auteur de plusieurs livres, dont Une mémoire d’éléphant et Le livre de la mémoire (Dunod), permettant d’optimiser votre organisation de révision afin de booster votre mémoire. Que se passe-t-il quand on apprend ? Tout apprentissage ou souvenir correspond à des connexions entre neurones, un peu comme les connexions électriques dans votre maison. J’ai envie de vous poser la question qui hante tout lycéen, collégien ou étudiant. Pour éviter le « trou noir », il faut bien ranger ses connaissances. Ou emprunte les fiches, déjà toutes faites, de son camarade ? Non. Où vont se ranger les définitions qu’on apprend en sciences, en maths ou en histoire ? Cette croyance est fausse.

Comment ne pas saturer la mémoire de vos élèves ?LeWebPédagogique Apprendre, c’est avant tout une question de mémoire : si un élève ne retient pas ce qui a été vu en classe, il n’apprend pas. Mais le matériel à apprendre ne s’enregistre pas directement dans la mémoire : il doit d’abord transiter dans une mémoire temporaire qui sert de porte d’entrée pour la mémoire à long terme. Cette mémoire de travail ne peut contenir qu’un nombre limité d’informations : environ 7 pour un adulte, et un peu moins pour un enfant (la taille exacte dépendant de l’age et de la personne). Or, si on demande à la mémoire de travail de retenir plus d’informations qu’elle ne peut en contenir, elle surcharge : l’élève mémorise mal, à des difficultés à réfléchir, et l’apprentissage est long et laborieux. Diverses études ont montré que la capacité de la mémoire de travail à 5 ans est un bon indicateur de la réussite scolaire ultérieure, sans compter qu’il existe une forte corrélation entre faible capacité de la mémoire de travail et échec scolaire. doit être modifié en : Guy Grave

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