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STRUTHOF, l'ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace

STRUTHOF, l'ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace

Camp de concentration de Natzwiller-Struthof Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un camp de concentration nazi en Alsace[modifier | modifier le code] Potence destinée aux exécutions Le Struthof fonctionne jusqu'à son évacuation par les SS au début du mois de septembre 1944, face à l'avance des troupes alliées. Le 23 novembre 1944, la 6e armée américaine pénètre dans un KL totalement vidé de ses occupants, répartis dans d'autres camps de concentration (notamment celui de Dachau) ou kommandos. Le KL Natzweiler-Struthof est le premier camp de concentration nazi découvert par les forces alliées à l'Ouest de l'Europe. À l'instar des camps de Mauthausen et de Gusen, le KL Natzweiler-Struthof était classé « Camp de niveau III » (Lagerstufe III) [6], ce qui signifiait qu'il était destiné à être l'un des camps les plus durs du système concentrationnaire. Le nombre total de déportés qui ont été internés dans le camp même ou l'un de ses kommandos est estimé à environ 52 000[8]. Les exécutions massives[modifier | modifier le code]

Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. Notre devoir de mémoire est plus que jamais au coeur du présent et de l'avenir. En savoir plus

Bob Sheppard (agent secret) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bob Sheppard (1922-2002) fut, pendant la Seconde Guerre mondiale, un agent secret britannique du Special Operations Executive, qui fut arrêté à son arrivée en France et passa plusieurs années en prison et en camps de concentration. Après guerre, il fut responsable de plusieurs organisations d'anciens déportés. État civil : Robert Marceline SheppardComme agent du SOE, section F : Nom de guerre (field name) : « Patrice »Nom de code opérationnel : PALM (en français PALMIER)Papiers d’identité : Jacques DerouetPseudo (départ pour l'Espagne, avec Edward Zeff, mars 1943) : Andrew Fry, pilote officer dans la RAF, pilote abattu Parcours militaire : [à préciser] Sa femme : Lucette Francheteau (mariage en septembre 1945)Leurs enfants : Robert Edwin (1948-2007) ; Dereck Michael (né en 1950) ; Charles Lewis (né en 1951) ; Luc Eliot (né en 1957) ; Elizabeth Anne (née en 1961). Bob Sheppard naît le 1er mars 1922 à Épinay sur Seine. Commence alors le pire.

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

Myriam Anissimov, Vassili Grossman. Un écrivain de combat 1Vassili Grossman a longtemps été un communiste sincère et convaincu. Né en 1905 à Berdičev en Ukraine dans une famille de la bourgeoisie juive assimilée, l’écrivain a très tôt adhéré à la vision du monde soviétique. Ses premiers ouvrages de fiction, publiés dans les années 1930 et inspirés par son expérience d’ingénieur dans une mine du Donbass – Grossman avait étudié la chimie à l’université de Moscou – sont autant d’hymnes à l’industrialisation de l’Union soviétique et recueillent l’approbation de Maksim Gorkij et des coryphées du réalisme socialiste. Le jeune écrivain traverse sans encombre la période des grandes purges et jouit des avantages réservés aux auteurs officiels. Au cours de l’été 1941, après le déclenchement de l’offensive allemande, il rejoint les armées en tant que correspondant de guerre. De la défense de Moscou à la prise de Berlin, en passant par Stalingrad et Kursk, il couvrira la plupart des combats pour Krasnaja Zvezda (L’Étoile rouge), le journal des troupes.

Auschwitz-Birkenau Virtual Tour - Auschwitz-Birkenau - Wirtualne zwiedzanie "Quatorze récits d'Auschwitz", la force du témoignage Troisième étape de cette série d'archives consacrée aux retours des camps. Quatorze survivants du camp d'Auschwitz livrent le récit de leur déportation. Ces voix, guidées par l’impérieuse nécessité de témoigner, retracent de manière saisissante une histoire aussi singulière que collective. "14 récits d'Auschwitz" Avant d'être diffusée sur France Culture en octobre 2002, cette série d'émissions a d'abord été conçue pour l'image. Survivants du nazisme, ils acceptent de se confronter à l'innommable mémoire et disent publiquement, parfois pour la première fois, leurs souvenirs de déportation du camp d'Auschwitz. 1ère émission : Henri Borlant, Marcel Jabelot, Ida Grinspan Écouter 14 récits d'Auschwitz - 1ère émission (Surpris par la nuit du mardi 15.10.2002) 2ème émission : Violette Jacquet, Odette Abadi, Serge Lemberger 14 récits d'Auschwitz - 2ème émission (Surpris par la nuit, mercredi 16.10.2002) 3ème émission : Karol Pila, Charles Naparstek, Jacques Klinger "14 récits d'Auschwitz, et après !"

Visiter et comprendre le Struthof Bienvenue sur le site Internet « Visiter et comprendre le Struthof », fruit d'un partenariat entre le Centre européen du résistant déporté-STRUTHOF et le Centre régional de documentation pédagogique - CRDP d'Alsace. Cette coopération s'inscrit dans le cadre plus large de la convention signée entre les ministères de la défense et de l'éducation nationale. Vue de l'ancien camp de Natzweiler - Lieu dit "Le Struthof" fin 1943 /struthof/wp-content/uploads/slideshow-gallery/diapo-1.jpg Le 21 avril 1941 au lieu dit "le Struthof", les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL-Natzweiler. Le camp central, seul camp de concentration sur le territoire français est situé en qui était alors l'Alsace annexée. Les déportés - Dessin de Rudolf Naess, déporté du KL-Natzweiler © Nasjonalbiblioteket, Oslo /struthof/wp-content/uploads/slideshow-gallery/diapo-2.jpg Les déportés proviennent de toute l'Europe. CERD: Centre européen du résistant déporté

[repère] 20 janvier 1942 - Mise au point de la «Solution finale»à Wannsee Dans une villa huppée des environs de Berlin, au bord du lac de Wannsee, le 20 janvier 1942, une poignée de dignitaires nazis planifient la « Solution finale », c’est-à-dire la déportation et l’annihilation des Juifs se trouvant dans les pays occupés par l’Allemagne. Un génocide en plusieurs étapes La « Solution finale » est la dernière étape du génocide des juifs d’Europe par les nazis. Les premières victimes sont des Juifs polonais. Après l’invasion de leur pays par l’armée allemande en septembre 1939, ils sont massacrés ou enfermés dans des ghettos et voués à mourir de faim ou de maladie. Décidés dès la fin 1941 à faire disparaître tous les Juifs d’Europe, les nazis ne peuvent néanmoins procéder de la même manière en Europe de l’Ouest. Les difficultés militaires en URSS à l’automne 1941 et l’entrée en guerre des États-Unis les poussent à précipiter la mise en œuvre de leur programme. Un tournant dans l’entreprise d’extermination

Bilan du génocide [ressource] Même si la mortalité dans les camps de concentration de l'Allemagne nazie a été élevée, il convient d'emblée de bien distinguer les termes de camps de concentration et de camps d'extermination. Le terme de camp de concentration n'a pas été inventé par les nazis. Il a été utilisé dès le début du XXème siècle par les Britanniques, lors de la guerre des Boers qui les a opposés en Afrique du Sud aux descendants des colons néerlandais. Dans l'Allemagne hitlérienne, la fonction des camps de concentration était une fonction d'exclusion et de terreur. Chronologiquement, l'ouverture des camps de concentration a précédé celle des camps d'extermination. 1. 2. Deux catégories de déportés ont été acheminés vers ces camps : les « déportés résistants et politiques » d'une part, et les déportés qualifiés de « raciaux » d'autre part, c'est-à-dire les Juifs et les Tziganes. Des convois affluèrent de toute l'Europe occupée vers ces camps placés sous le contrôle des SS. 1. 2. 3. Le bilan de la Shoah

Plan du camp d'Auschwitz-Birkenau Soixante-dix ans après la libération du camp nazi, des chefs d'Etats et têtes couronnées se rassemblent ce mardi à Auschwitz (Pologne) autour des survivants de la Shoah. Outre le président français François Hollande, les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko, le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ainsi que les familles royales belge et néerlandaise assistent à la cérémonie. Aucun toutefois ne prend la parole, laissant place aux émouvants récits des rescapés. «Chaque survivant est le gardien de la mémoire du passé», a sobrement introduit le président polonais, Bronislaw Komorowski. C'est lui qui, devant «le portail de la mort» d'Auschwitz II - Birkenau, a accueilli plus tôt le président français. «Un lieu maudit» Alors que les prises de paroles de ces «gardiens» s'enchaînent sous la grande tente dressée à l'entrée d'Auschwitz II - Birkenau, certains, au premier rang, retiennent leurs larmes. VIDEO. VIDEO. 70 ans après, l'Europe se retrouve à Auschwitz VIDEO.

La Shoah par balles - Mémorial de la Shoah Entre 1941 et 1944, près d’un million et demi de Juifs d’Ukraine a été assassiné lors de l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie. L’immense majorité est morte sous les balles des Einsatzgruppen (unités de tueries mobiles à l’Est), d’unités de la Waffen SS, de la police allemande et de collaborateurs locaux. Seule une minorité d’entre eux l’a été après déportation dans les camps d’extermination. Connus par les Britanniques et les Américains dès 1941, ces massacres sont partiellement recensés par les commissions soviétiques en 1944-45. Malgré les récits des rares survivants et les enquêtes judiciaires, cette histoire de la Shoah qui s’est déroulée à l’Est de l’Europe reste peu connue. L’exposition organisée au Mémorial de la Shoah du 20 juin 2007 au 6 janvier 2008 présente ces recherches toujours en cours, qui, en reconstituant les procédés des assassins, amènent à mieux comprendre comment a été mis en oeuvre le génocide des Juifs à l’Est de l’Europe.

Sonderkommando - David Olère [HDA] Une série de pages spécifiques consacrées à "l’artiste du Sonderkommando". [Toutes les illustrations de ces pages sont publiées avec l’accord de son fils Alexandre Oler et toute reproduction en est interdite sans son autorisation. J'en profite pour le remercier "officiellement" pour sa disponibilité, sa confiance et son aide constantes.] Partie I : Eléments biographiques Sculpture de D.Olère Autoportrait en taille directe dans le granit. Avertissement Il ne s’agira pas ici d’une présentation détaillée de la vie et de l’œuvre de David Olère mais uniquement des éléments qui présentent une portée informative historique. Il s’agit donc ici de l’histoire de David Olère en tant qu’elle est un élément de l’Histoire, et de son œuvre en tant qu’elle est -et qu’il a voulu qu’elle soit- témoignage. [Si vous êtes intéressé(e) par l’œuvre de l’artiste, le site officiel qui lui est dédié, actuellement en construction, sera accessible en cliquant sur ce lien.] En 1937 il obtient la nationalité française.

Biographie de Primo Levi Œuvres principales Primo Levi, né le 31 juillet 1919 à Turin et mort le 11 avril 1987 dans la même ville, est un écrivain et docteur en chimie italien rendu célèbre par son livre Si c'est un homme, dans lequel il relate son emprisonnement au cours de l'année 1944 dans le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Monowitz. Juif italien de naissance, chimiste de profession et de vocation, il entre dans une carrière d'écrivain orientée par l'analyse scientifique de cette expérience de survivant de la Shoah, dans le but de montrer, retranscrire, transmettre, expliciter. Il est l'auteur d'histoires courtes, de poèmes et de romans. Biographie[modifier | modifier le code] Une jeunesse sous le fascisme[modifier | modifier le code] Enfance judéopiémontaise (1919-1930)[modifier | modifier le code] Primo Levi naît dans le quartier de la Crocetta à Turin le 31 juillet 1919, dans une famille juive de la moyenne bourgeoisie[1]. En 1923, Primo entre à l'école primaire Felice Rignon à Turin.

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