Le mois de la République. COLUCHE : QUAND LE CLOWN FAIT PASSER LES POLITIQUES POUR DES CONS Le 26 juillet 2020. Le prix de la stabilité. Les 23 millions qu’on n’écoute pas. Dimanche, ils étaient 21 941 750 à s’être abstenus. 526 595 ont choisi de voter blanc et il y a eu 347 111 votes nuls (chiffres du Ministère de l’Intérieur le 7/12).
Cela représente plus de 54% des électeurs inscrits. Plus de la moitié du corps électoral de la nation. Que la classe politique et médiatique traite avec mépris. On s’interroge – trop peu et trop superficiellement – sur trois ou quatre motivations du vote FN. Mais aucune interrogation sur les abstentions et les votes blancs, sur ce rejet massif d’un système politique et d’une classe politique qui n’inspirent plus confiance. Des centaines de fois, au cours de mes conférences, j’ai entendu dire : « en 2005, nous avons été une majorité à donner une opinion précise sur l’Union européenne et vous savez ce qu’on en a fait.
Qui a peur de la souveraineté ? Qui a peur de la souveraineté ?
Dans la mesure où notre actuel représentant en chef, François Hollande, ne tient plus compte de la souveraineté nationale, celle du peuple, que reste-il de son statut de "représentant" ? ll représente l'UE (l'axe Merkel-Schaüble) ou l'intérêt national ? Un doute certain m'effleure. :p – alwen
Comment le mot « souveraineté » est-il devenu péjoratif ou même, dans la bouche de François Hollande, synonyme de déclin ?
Pour Une Constituante - Emission du 23 septembre 2015 - Aligre FM - Paris 93.1. VIDÉO. Mélenchon : « Depuis 10 ans, l’Europe est illégitime » Constituante: 29 mai à Paris. Le 29 mai 2015, l’Association pour une Constituante a appelé à un rassemblement aux Tuileries en commémoration du vote NON des Français le 29 mai 2005.
Cet évènement prenait place à côté de la plaque qui commémore la proclamation de la République le 21 septembre 1792, à l’endroit où fut émis par la Convention le vote qui abolit la monarchie. Cet évènement engendra aussi la naissance du principe de la souveraineté populaire et du suffrage universel. Ils sont tous deux bafoués aujourd’hui ; l’élection d’une assemblée Constituante n’en est à l’évidence que plus nécessaire. Vous trouverez ci-dessous des vidéos de ce rassemblement du 29 mai ainsi que des interventions et réactions de diverses personnes présentes. Les enregistrements de deux des interventions, dont celle d’André Bellon, ayant été défectueux, nous avons été conduits à refaire le 1er juin au même endroit un enregistrement de même teneur qui prend donc sa place ci-dessous.
Il y a 10 ans : le Non au traité constitutionnel européen. 30 ans d’offensive néolibérale en Europe Depuis le 20e siècle au moins, l’Europe est confrontée à sa fragmentation.
La reconstruction d’après-guerre engagée sous l’égide américaine en 1945 (plan Marshall) ne pouvait ignorer la question. Démocratie ?? Il y a 10 ans les Français disaient NON à la constitution européenne à 54,7%. Aujourd'hui ce serait encore pire : 62 % diraient NON. Dix ans après : les leçons d’un référendum bafoué Rappelons-nous !
Le 29 mai 2005, les Français répondirent majoritairement NON au traité établissant une Constitution pour l’Europe (54,68 % des suffrages exprimés, avec une participation très honorable de 69,34 %). Le camp du oui s’était pourtant fortement mobilisé, bénéficiant du soutien complice de la plupart des médias. Certes, la coalition des opposants au traité était-elle hétéroclite : on y retrouvait le Front national, la droite souverainiste de Philippe de Villiers et Nicolas Dupont-Aignan, le Mouvement républicain et citoyen de Jean-Pierre Chevènement, l’extrême gauche, un Jean-Luc Mélenchon déjà en rupture avec son parti et quelques socialistes rebelles ou opportunistes, comme Laurent Fabius, Henri Emmanuelli, Arnaud Montebourg et, dans un premier temps… Manuel Valls, vite rentré dans le rang.
Référendum européen : dix ans après, les Français rediraient non. Selon notre sondage Ifop pour Le Figaro, 62 % des Français voteraient « non » si la question leur était posée aujourd'hui, soit sept points de plus qu'en 2005.
Le «non» au référendum de 2005 sur la ratification de la Constitution européenne avait été un cataclysme dans la vie politique française. Si François Hollande posait aujourd'hui la même question, ce serait pire encore. Une bérézina. 62 % des Français, qui étaient en âge de voter en 2005, diraient «non», soit sept points de plus qu'il y a dix ans. TCE : dix ans de déni démocratique. Il y a dix ans, le peuple français rejetait le traité constitutionnel européen.
Rarement un référendum aura autant fait l’événement. Des mois durant, le pays s’est passionné pour l’enjeu de ce scrutin, décortiquant le texte qui lui était soumis, prenant part au débat de multiples manières. Signe de cette indéniable mobilisation populaire, près de 70 % des électeurs ont participé au scrutin. Du jamais vu dans aucune élection européenne, pour un résultat incontestable : le 29 mai 2005, à une large majorité (54,7 %), les Français rejetaient, à contre-courant de la quasi-totalité des appareils politiques – de l’UMP aux Verts en passant par le PS – et des médias, un texte européen visant à graver dans le marbre les règles économiques du néolibéralisme. Si le souvenir de cette insurrection civique fatale au traité constitutionnel reste vivace, c’est moins pour la recomposition politique qu’elle a esquissée qu’en raison de la réponse que lui ont donnée les chancelleries.
Le « non » de 2005 continue de peser sur le projet européen - Les Echos. Foix : deux actions pour un même objectif ! La liberté que nous voulons ! Radio Aligre, émission du 20 mai 2015. 10 ans depuis le vote NON des français au TCE ! Radio Aligre, émission du 18 mars 2015 sur le Traité Transatlantique avec Raoul Marc Jennar. 29 mai 2005, les français rejetaient le Traité Constitutionnel européen.
Celui-ci leur était ensuite imposé grâce à la complicité des partis dominats. Dix ans déjà ! Il importe de célébrer cet anniversaire par des rassemblements partout en France.