Exploding the myths behind K-pop. As students wait outside an exam room in Seoul’s affluent Gangnam district, the air is tense.
A girl in a school uniform rocks a guitar back and forth in her hands next to a boy who stares nervously into his fringe. Another girl sitting on a nearby bench adjusts her crop top. But in a neighbourhood filled with English and maths crammers, this is no normal exam room. This is a K-pop training academy, where dozens of students between the ages of 12 and 26 line up for their chance to audition for a visiting entertainment scout.
Kevin Lee is among this group of hopefuls. “It’s hard not to think about failure,” he says. Lee is not alone – for many young Koreans K-pop is a desirable career choice and there are many academies like this one . There has been a spate of suicides and high-profile sex scandals involving K-pop stars in recent times. Then in October last year, Sulli, 25, a former member of the girl group f(x) killed herself. Many, however, see things differently.
Emploi. Production. Marché. Consommation. « La diminution de l’activité physique chez les femmes est préoccupante » Le bruit nuit gravement à la santé des Franciliens. Smic et prime d’activité : les annonces d’Emmanuel Macron en 8 questions. « Gilets jaunes » : France des villes contre France périphérique, une thèse simpliste.
Quelles mesures annoncées par le gouvernement pour calmer les "gilets jaunes" ? Le gouvernement a cédé sur plusieurs fronts afin d'éteindre le feu "gilets jaunes".
Des offres qui dépassent déjà de loin ce que les syndicats pouvaient espérer obtenir par la négociation. Devant les menaces d'explosion d'un mouvement "gilets jaunes" incontrôlable, le gouvernement a annoncé plusieurs mesures censées éteindre le feu social. Des mesures jugées tardives par de nombreux politiques et représentants des "gilets jaunes". De son coté, la ministre du travail Muriel Pénicaud reçoit les partenaires sociaux, syndicats et organisations syndicales ce vendredi pour en discuter. « Gilets jaunes » et niveau de vie, les 10 graphiques de la colère. Prix des carburants : les principaux arguments du débat vérifiés. Taxes, pollution, diesel, kérosène, cargos… Les Décodeurs décryptent les principales positions.
LE MONDE | 22.11.2018 à 12h30 • Mis à jour le 22.11.2018 à 16h07 | Par Les Décodeurs On a tendance à l’oublier au fil des jours, mais le mouvement des « gilets jaunes » s’est formé initialement pour protester contre la hausse des prix des carburants, en attribuant la responsabilité au gouvernement, aux taxes qu’il oblige à payer. Pour sortir de la confusion ambiante, voici un résumé des principaux arguments du débat que nous avons vérifiés au cours des dernières semaines. « La flambée des carburants est uniquement causée par les taxes » C’est exagéré Oui, les taxes sur le carburant ont sensiblement augmenté ces dernières années, et en particulier sur le diesel, qui subit un rattrapage de fiscalité depuis 2015. Prix du carburant : petit manuel à lire avant de débattre. Blocage du 17 novembre : 3 questions autour de la hausse des prix du carburant. Carburants : les raisons de la colère.
Qui sont les gilets jaunes ? Samedi 17 novembre prochain, plusieurs appels sont lancés dans toute la France pour se mobiliser contre l’augmentation des taxes sur les carburants, et plus globalement contre une baisse du pouvoir d’achat.
Manifestations, opérations escargots, blocages de routes, le mouvement dit des « gilets jaunes » apparu sur les réseaux sociaux, agrège de multiples mécontentements et moyens d’actions. Hors des canaux traditionnels des syndicats et des partis politiques, la mobilisation entend paralyser le pays pour se faire entendre du gouvernement. Notre invitée est Béatrice Giblin, géographe, directrice de la revue Hérodote, auteure du Paradoxe français. Entre fierté nationale et hantise du déclin paru chez Armand Colin. Elle est rejointe en deuxième partie par Frédéric Sawicki, professeur de science politique à Paris 1-Panthéon-Sorbonne, notamment auteur des Réseaux du Parti socialiste : sociologie d'un milieu partisan édité aux éditions Belin. Pourquoi la hausse du diesel cristallise la grogne des banlieues et des campagnes. Gilets jaunes : « Il n’est pas surprenant que le mouvement ait pris dans les zones rurales ou les villes moyennes »
Pouvoir d’achat : une exaspération à la mesure du décalage entre ressenti et « vérités » statistiques. Est-ce vrai qu'une heure de SMIC permettait de faire 30km en 1973, et permet d'en faire 134 aujourd'hui? Question posée par Jacques le 12/11/2018 Bonjour, votre question a été raccourcie.
La voici en intégralité : «Une information circule beaucoup sur facebook disant qu’en 1973 une heure de Smic permettait de rouler 30km alors qu’en 2018, cette même heure permet de rouler 134km. Avez-vous un moment pour vérifier ces calculs?» Vous faites allusion à ce post qui circule sur les réseaux sociaux : Cet argumentaire, largement relayé dans les médias ces derniers jours, et utilisé par certains militants de la majorité pour contester la légitimité du mouvement du 17 novembre, est une actualisation des travaux de l' économiste Yves Crozet. «En monnaie courante, le salaire minimum a progressé beaucoup plus vite que le prix du litre d’essence. Bref, il est indéniable que l’essence, la voiture, et donc le déplacement est moins cher aujourd’hui.
« Gilets jaunes » : « Pour beaucoup d’usagers, la voiture n’est pas une option » Les enfants, premiers de corvée. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure Confier les tâches ménagères aux petits serait bénéfique pour leur réussite future.
Pourtant, les parents les en dispensent souvent. « Ah non, il ne faut pas les appeler comme ça ! » Valérie Saleur, directrice de l’école maternelle de La Brèche aux loups, dans le 12e arrondissement de Paris, sourit quand on emploie le mot « corvées ». « Le mot est à bannir. » Le mot, mais pas les tâches. JUSTIMEMO. Présentation du thème d’exploration en sciences économiques et sociales : formation et emploi.
Le programme de sciences économiques et sociales en classe de 2de générale et technologique paru au Bulletin officiel spécial n° 4 du 29 avril 2010 applicable à la rentrée 2010 s’inscrit dans le cadre de la réforme du lycée.
Dès la 2de, les SES font partie des enseignements d’exploration. Ce dernier constitue pour les élèves une discipline scolaire nouvelle qui participe à leur formation de citoyen. Il énonce également son rôle dans leur insertion professionnelle puisqu’il constitue une introduction à des notions et raisonnements utilisés en économie et en sociologie lors de la poursuite d’études au lycée et, plus tard, dans l’enseignement supérieur.
Il est constitué de cinq thèmes qui sont eux-mêmes subdivisés en deux questions, la première étant obligatoire. La notion de formation et emploi de l’enseignement d’exploration en SES, renvoie non seulement à la formation initiale mais également à la formation continue.