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Ecologie

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#14 : Non, la technologie ne nous sauvera pas du désastre écologique - Nourritures terrestres. Le texte suivant est paru dans la revue de Télécom Paris Alumni du mois d’avril.

#14 : Non, la technologie ne nous sauvera pas du désastre écologique - Nourritures terrestres

Éolien, photovoltaïque et réseau électrique – ÉNERGIE#13-14 – Le Réveilleur. Les vidéos Première partie: <a href= src=" alt width=640 height=340><br />Lire cette vid&eacute;o sur YouTube</a> Seconde partie: <a href= src=" alt width=640 height=340><br />Lire cette vid&eacute;o sur YouTube</a> Résumé: <a href= src=" alt width=640 height=340><br />Lire cette vid&eacute;o sur YouTube</a> Description première partie Dans cette vidéo, je regarde quelles sont les contraintes que la physique de l’électricité et du réseau électrique impose aux différents modes de production.

éolien, photovoltaïque et réseau électrique – ÉNERGIE#13-14 – Le Réveilleur

Philippe Descola : « La nature, ça n’existe pas » Philippe Descola est titulaire de la chaire d’Anthropologie de la nature au Collège de France et directeur du Laboratoire d’anthropologie sociale (ENS/EHESS).

Philippe Descola : « La nature, ça n’existe pas »

Il est l’auteur des Lances du crépuscules (Plon, 1993) et de Par delà nature et culture (Gallimard, 2005). Écoutez l’émission coproduite avec le Ground Control, à Paris • Lien du podcast ici Reporterre — Philippe Descola, vous êtes un penseur « cardinal » dans l’évolution de la pensée écologique depuis 20 à 30 ans. Jeune étudiant, dans les années 1970, vous êtes parti au fin fond de l’Amazonie, entre l’Équateur et le Pérou, à la découverte des Achuars. Philippe Descola — Je suis parti parce que j’avais de l’intérêt pour la façon dont les sociétés entretiennent des liens de diverses sortes avec leur environnement. Extrait "La Pensée écologique" de Timothy Morton. Timothy Morton : « Pour la pensée écologique, l’aliénation ne vient pas du passé mais du futur » L’entrée dans l’anthropocène exige de forger des nouveaux outils pour penser.

Timothy Morton : « Pour la pensée écologique, l’aliénation ne vient pas du passé mais du futur »

C’est l’ambition du philosophe britannique Timothy Morton dans La Pensée écologique (Zulma), essai empli d’humour et d’inventions conceptuelles qui affirme que l’écologie n’a pas seulement pour objet le réchauffement climatique, le recyclage ou l’énergie solaire, mais aussi les relations entre humain et non-humains, l’amour, le désespoir et la compassion. Philosophe britannique, Timothy Morton est professeur à Rice University, au Texas. Paru il y a huit ans en version originale à Harvard University Press, La pensée écologique vient seulement d’être traduit en France par Cécile Wajsbrot, et publié aux éditions Zulma.

#15 : Pourquoi Laudato Si’ est un texte écologiste important - Nourritures terrestres. Dimanche prochain constituera le 5e anniversaire de Laudato Si’, la première encyclique de l’histoire de l’Église catholique consacrée à la question écologique.

#15 : Pourquoi Laudato Si’ est un texte écologiste important - Nourritures terrestres

Pourquoi en parler ici ? Parce que Laudato Si’, au-delà d’être « le document magistériel le plus important de l’Eglise catholique depuis le Concile Vatican II » selon le CERAS, est un texte écologiste marquant à bien des égards. #11 : Si après ça, on ne protège pas la biodiversité… - Nourritures terrestres. Ce numéro, dédié à la biodiversité, sera en deux parties.

#11 : Si après ça, on ne protège pas la biodiversité… - Nourritures terrestres

Aujourd’hui, publication de la première partie: les liens entre écologie et épidémies. Ces quinze derniers jours, les articles et interviews sur le lien entre écologie et épidémies se sont multipliés, ce qui est une bonne nouvelle pour la prise de conscience collective d’un sujet qui avait été peu mis en avant durant les premières semaines de la crise sanitaire (la fameuse « indifférence au point de départ » dont parle le professeur Didier Sicard, évoquée dans un numéro précédent). #9 : Cette autre bataille à mener de front - Nourritures terrestres.

#8 : Quatre leçons écologiques de la pandémie - Nourritures terrestres. [Ce numéro est paru mi-mars 2020.

#8 : Quatre leçons écologiques de la pandémie - Nourritures terrestres

D’autres numéros parus ensuite ont davantage creusé le sujet, dont celui sur les liens entre écologie et épidémies, celui sur la résilience alimentaire, et celui sur le pétrole. Retrouvez tous les numéros dans la section archives] #7 : En finir avec l’idée de nature - Nourritures terrestres. « La nature, cela n’existe pas » Philippe Descola est anthropologue, professeur émérite du Collège de France, lauréat 2012 de la médaille d'or du CNRS.

#7 : En finir avec l’idée de nature - Nourritures terrestres

Il a fait sa thèse sous la direction de Lévi-Strauss sur les Indiens Achuar en Amazonie, qu’il a étudiés dans les années 1970 et dont il est devenu le spécialiste. Son enquête ethnographique auprès des Achuar l’a marqué au point qu’il a ensuite « consacré toute sa carrière à essayer d’aller au-delà des concepts que nous employons, en Europe et dans une partie du reste du monde, pour penser le rapport entre humain et non-humain. » Dans son ouvrage phare, Par-delà nature et culture, paru en 2005 et considéré par beaucoup comme l’un des travaux les plus importants en sciences sociales de ce début de siècle, il montre que la distinction entre nature et culture est une invention culturelle, née en Europe au XVIIe siècle. #4 : La prochaine fois qu’on vous parle surpopulation... - Nourritures terrestres. Transition énergétique et réduction des consommations.

L’analyse de quelques scénarios de transition énergétique pour la France montre à quel point il faudrait réduire les consommations d’énergie si notre pays devait fonctionner avec uniquement des énergies renouvelables.

Transition énergétique et réduction des consommations

Examinons leurs hypothèses. Ne pas réduire l’énergie à l’électricité L’affirmation qu’il serait possible de passer, en France, à 100 % d’énergies renouvelables à l’horizon 2050 vient principalement d’une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) parue en 2015 et portant sur une France alimentée à 100 % en électricité renouvelable [1]. L’étude de l’Ademe suppose une légère baisse de la consommation annuelle d’électricité qui passerait de 420 TWh à 395 TWh (hors pertes et consommation du secteur énergétique lui-même).

Comme les transports électriques auraient une importance accrue (+ 48 TWh), il resterait en fait 347 TWh pour les usages actuels, soit une nécessaire baisse de 12 %. Le scénario négaWatt. Pourquoi un futur moins technologique sera plus désirable. Dérèglement climatique : pourquoi l’irrationalité de nombre de militants de l’environnement aggrave le problème. Atlantico : Vous parliez dans les médias américains ces derniers jours de l'éclatement de la bulle des énergies renouvelables.

Dérèglement climatique : pourquoi l’irrationalité de nombre de militants de l’environnement aggrave le problème

Pouvez-vous expliquer les raisons pour lesquelles vous soutenez que cette bulle est en train d'éclater ? Quels en sont les signes ? Michael Shellenberger : Le principal événement sur les énergies renouvelables a lieu en Allemagne. En Allemagne, en termes de subventions aux énergies renouvelables, il se passe vraiment trois choses importantes. Ce que le dérèglement climatique fait à la santé des travailleurs. Anthropocène : les enjeux vitaux d'un débat scientifique. Le terme d'Anthropocène a été forgé pour rendre compte de l'impact sur le climat et la biodiversité de l'accumulation accélérée de gaz à effets de serre, ainsi que des dégâts irréversibles causés par la surconsommation des ressources naturelles. Mais, faut-il faire de ce concept une nouvelle époque géologique ? Le débat fait rage parmi les scientifiques. Les solutions quant à elles tardent à venir.

Nous faisons en effet face à un déni collectif, résultat d'une foi naïve dans le progrès, de l'idéologie consumériste et de puissants lobbies économiques. Liz-Rejane Issberner et Philippe Léna. Le mythe de l’anthropocène. L’année dernière [2014] a été l’année la plus chaude jamais enregistrée. Et pourtant, les derniers chiffres montrent qu’en 2013 la source qui a fourni le plus d’énergie nouvelle à l’économie mondiale n’était ni solaire ou éolienne, ni même le gaz naturel ou le pétrole, mais le charbon. La croissance des émissions globales de gaz à effet de serre – de 1 % par an dans les années 1990 à 3 % aujourd’hui – est frappante. Cette augmentation est parallèle à notre connaissance croissante des terribles conséquences de l’utilisation de combustibles fossiles. Et si nous nous trompions de transition ? Pour un luddisme écologique – La pensée écologique. Catherine Geslain-Lanéelle, candidate à la FAO : «Produire plus et mieux pour la nourrir la planète»

[Monde numérique] Demain dans les champs, des robots et des hommes ? Un entretien avec Gaëtan Séverac, Naïo Technologies - SESAME. Gafa, IA, data, algorithmes, deep learning… Le monde numérique s’accompagne d’un nuage sémantique quelque peu énigmatique et d’un lot d’informations oscillant entre le pire des cauchemars et le meilleur des mondes. Des automates assistant les chirurgiens avec une précision inégalée aux robots tueurs postés à la frontière sud-coréenne, du piratage en masse de données privées ou publiques à la détection des cancers, des logiciels champions du monde de go aux voitures autonomes… Entre fantasme et réalité, pas si simple de se faire un avis éclairé sur le monde à venir, que l’on imagine déjà peuplé de robots intelligents, ces « ouvriers artificiels », émergences visibles et fort symboliques cet iceberg virtuel.

Pour tenter de décoder cet univers en construction, Sesame ouvre le dossier avec ce premier entretien filmé de Gaëtan Séverac, ingénieur en robotique et jeune industriel créateur de robots.