Diminution de la population dans les pays anciennement communistes de l’Union européenne - Espace presse. Auteur-e-s : Agnieszka Fihel et Marek Okólski La chute du mur de Berlin il y a 30 ans (en 1989) a été suivie d’importants changements démographiques dans les pays anciennement communistes d’Europe.
Agnieszka Fihel et Marek Okólski l’illustrent en comparant les évolutions de la population des onze pays de l’Est ayant rejoint l’Union européenne avec celles observées dans les dix-sept autres pays de l’Union. La population de l’ensemble des onze pays anciennement communistes membres de l’Union européenne (Bulgarie, Croatie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Roumanie, Slovaquie et Slovénie) a baissé de 7 % depuis 1989, alors que celle du reste de l’UE a augmenté de 13 %.
Ces pays étaient démographiquement plus jeunes que le reste de l’Union avant la chute du Mur, mais leurs populations sont maintenant devenues plus âgées. Ces évolutions tiennent à un faible niveau de fécondité et à une émigration importante des jeunes. Le changement climatique grignote nos côtes et menace plus d’un million de Français. 1,4 million de Français, 850 000 emplois, 165 000 bâtiments et 864 communes se trouvent menacés par la submersion marine en France.
Il faut dire que 25 % des côtes souffrent de l'érosion. Ces données du ministère de l’Environnement sont relayées dans une note de la Fabrique écologique (1) publiée mi-juillet sur l'adaptation du littoral français au changement climatique. Celui-ci va encore aggraver les risques de submersion et d'érosion, préviennent les auteurs, alors que la densité de population sur le littoral métropolitain est 2,4 fois plus élevée que la moyenne nationale. Et qu'en 2040, les côtes françaises devraient même accueillir 40 % de la population. Le littoral apparaît de plus en plus vulnérable avec un trait de côte qui va se réduire comme peau de chagrin en raison de deux phénomènes liés au changement climatique : le déficit sédimentaire (dû à la réduction du débit des cours d’eau et à la modification des usages de l’eau) et l’augmentation de l’intensité des tempêtes.
Vulnérabilité. Accueil > Français > Relations Sociétés/Environnement > Concepts > Vulnérabilité mardi 7 février 2006, par G.
H. Notion complexe qui veut exprimer la sensibilité globale d’une société à un ou des aléas, l’importance potentielle des dommages subis, la capacité de réaction de cette société face aux aléas. Les ingénieurs, les aménageurs, les assureurs s’en tiennent à une conception étroite, analytique et quantitative de la vulnérabilité, définie comme « le niveau de conséquences prévisibles d’un phénomène sur des enjeux (hommes, biens, milieux ») (Guide général pour l’élaboration des Plans de Prévention des Risques naturels prévisibles, Ministère de l’Aménagement et de l’Environnement, 1997).
Il s’agit d’évaluer les dommages subis par les hommes et leurs biens si un aléa d’une intensité donnée se produit. Voir aussi : risqueCindynique Références : ALEXANDER D., 1993, Natural disasters, UCL Press Limited, Londres. FABIANI J. Littoral en danger : les Outre-mer face à la montée des eaux [Décryptage] C'est une lente progression, qui semble imperceptible mais est bien réelle : l'élévation du niveau de la mer.
Dans les Outre-mer, la montée des eaux diffère d'une région à l'autre. En moyenne, le niveau de la mer s'élève de 2 à 3 millimètres par an. Un danger pour les côtes et les hommes qui y concentrent leurs activités. 30% des îles de Polynésie française menacées par le réchauffement climatique d'ici 2100 - Polynésie la 1ère.
Publiée par la revue scientifique "Nature Conservation", une étude menée conjointement par des universitaires du centre Paris-sud et des chercheurs du Centre National de Recherche Scientifique confirme que la hausse inéluctable du niveau des eaux liée au réchauffement climatique devrait atteindre de un à trois mètres d'ici à une centaine d'année.L'étude indique : " la Polynésie française et la Nouvelle Calédonie seraient les régions les plus affectées". 10 000 à 20 000 îles rayées de la carte.
Comment imagine-t-on vivre au Prêcheur menacé par les risques naturels ? Il s’agit d’un court métrage de 40 minutes réalisé par des préchotins sur leurs réalités au quotidien, face aux aléas climatiques, ainsi que la problématique du renouvellement de l’habitat.Grégory Gendre, est le maire de la petite commune de Dolus en Charente-Maritime, confrontée elle aussi à des soucis environnementaux et de gestion d’espace naturel.
C’est lui qui a réalisé ce petit film, dont il nous livre le synopsis. Grégory Gendre Grégory Gendre est maire de Dolus en Charente-Maritime. La commune du Prêcheur fait face à de nombreux risques naturels. Montée des eaux, houle cyclonique, risques sismiques, et lahars. Pour Grégory Gendre, ce petit film dont l’expérience est partagée, sera également profitable aux deux villes. Expérience entre Dolus et le Prêcheur.