Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française. Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays.
Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française. Ils ont été stupéfaits par cet « hyper-président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion. Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté.
Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.
Election Présidentielle 2007. Qui a peur de la démondialisation ? Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ».
Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » (1)… Dépolluer du FN Du problème en question, il est sans doute utile de commencer par déblayer la situation politique – entendre la dépolluer du Front national. Exclusif. République irréprochable, saison 5 : Sarko viole la Cour des comptes. « Une nomination sans précédent ».
Un policier fait trembler l’Intérieur. La France a peur d’un… gardien de la paix.
C'est ainsi qu'en 2009, je me faisais l'écho du calvaire vécu par Philippe Pichon, un commandant de police que le ministère de l'Intérieur voulait expulser de ses effectifs, au motif qu'il avait osé dénoncer les dysfonctionnement du "système de traitement des infractions constatées" (STIC), ce méga-fichier policier qui, fichant plus de 5 millions de suspects, et plus de 28 millions de victimes -soit plus de la moitié de la population française- est par ailleurs truffé d'erreurs. Avec Christine Lagarde, l'industrie US entre au gouvernement français. Christine Lagarde Université St.
Gallen, Suisse, 20 mai 2005. La composition du nouveau gouvernement français, annoncée le 2 juin 2005, étonne par son incohérence. Le Premier ministre, Dominique de Villepin, un gaulliste qui a acquis une stature internationale de premier plan avec son célèbre discours contre la guerre d’Irak devant le Conseil de sécurité, est flanqué d’un ministre d’État, Nicolas Sarkozy, soutien inconditionnel des États-Unis et d’Israël. Le ministère des Finances, lieu stratégique de la pénétration US, devient un bastion atlantiste. Madame Lagarde est inconnue en politique. Bien que cela ne figure pas sur sa biographie officielle, Madame Lagarde militait aux États-Unis au Center for Strategic & International Studies (CSIS) [3]. Au sein de chacune de ces diverses commission, un homme jouait un rôle central : Bruce P. Un système schizophrène, un peuple fatigué.
Depuis quatre ans, Sarkozy est accusé de pervertir l’esprit de la Ve République.
Comment le président les a tués. Acte 1 : les policiers et les juges - Le dossier de l'Obs. (Lire l'intégralité du dossier "Sarkozy, le président flingueur" dans Le Nouvel Observateur du 8 septembre 2011).
Acte 1 : les policiers et les juges > La valse des képis Saint-Lô, dans la Manche, janvier 2009. Comment le président les a tués. Acte 2 : les journalistes et les patrons - Le dossier de l'Obs. (Lire l'intégralité du dossier "Sarkozy, le président flingueur" dans Le Nouvel Observateur du 8 septembre 2011).
> Le zapping du président Alain Genestar s'apprête à lancer le quatorzième numéro de "Polka", ce bimestriel de photojournalisme qu'il a créé après son licenciement, en 2006, de "Paris Match". Le portfolio du Cartier-Bresson turc, Ara Güler, ou les saisissants clichés de Robert Clark sur le 11-Septembre ont ceci de reposant qu'ils ne lui vaudront pas l'ire de Nicolas Sarkozy.
Pas comme "la" photo de "Match", publiée en août 2005, où l'infidèle Cécilia était shootée avec son amant, le publicitaire Richard Attias. Dans "Expulsion" (Grasset), Genestar raconte le coup de fil qui s'ensuivit : "Il ne s'agissait pas d'une "engueulade", mais d'une menace glaçante sur mon avenir. [ ...] Disgrâce présidentielle Avec Genestar, Sarkozy a fait un exemple. Comment le président les a tués. Acte 3 : le grand cimetière de la droite - Le dossier de l'Obs. Retrouvez l'intégralité du dossier "Sarkozy, le président flingueur" dans "le Nouvel Observateur" du 8 septembre 2011 C'est par un coup de fil de Claude Guéant que Dominique Paillé, ex-conseiller à l'Elysée, a appris qu'il était démis de ses fonctions à la tête de l'Office français de l'Immigration et de l'Intégration, une semaine avant que la nouvelle ne soit rendue publique jeudi 1er septembre.
"Je dois te dire que tu ne seras pas reconduit", lui annonce le ministre de l'Intérieur. "Mais je n'avais pas besoin d'être reconduit puis que je suis en principe nommé pour trois ans", fait mine de s'étonner Paillé, nommé en janvier dernier. Copé 2017 : sauve qui peut!