Nouveau Mexique : catastrophe nucléaire à 655 mètres sous terre. Depuis le 14 février 2014, une catastrophe nucléaire est en cours au WIPP (Waste Isolation Pilot Plant), le centre de stockage profond de déchets radioactifs militaires et issus de la recherche au Nouveau Mexique, USA.
Un ou plusieurs containers à 655 mètres sous terre se sont ouverts suite à une explosion d’origine chimique. La radioactivité la plus terrible - Plutonium, Americium - s’est échappée et s’échappe. Pendant plus d’un mois, plus personne n’est entré dans ces galeries. Si la question de la réversibilité en préoccupe certain-e-s, alors la démonstration est claire : c’est bien entré, c’est bien ressorti ! Avertissement : Cet article n’est pas une référence technique sur le WIPP. 21 mai 2014 : officiel, plus de 500 fûts de Plutonium prêt-à-exploser.
Uranium. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
C'est un métal lourd radioactif (émetteur alpha) de période très longue (~ 4,4688 milliards d'années pour l'uranium 238 et ~ 703,8 millions pour l'uranium 235). Sa radioactivité, additionnée à celle de ses descendants dans sa chaîne de désintégration, développe une puissance de 0,082 watt par tonne d'uranium, ce qui en fait, avec le thorium (quatre fois plus abondant, mais trois fois moins radioactif), la principale source de chaleur qui tend à maintenir les hautes températures du manteau terrestre, en ralentissant de beaucoup son refroidissement. L'isotope 235U est le seul isotope fissile naturel. Sa fission libère une énergie voisine de 202,8 MeV par atome fissionné dont 9,6 MeV d'énergie non récupérable, communiquée aux neutrinos produits lors de la fission.
Césium. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Cs. Le césium ou cæsium[8] est l'élément chimique de symbole Cs et de numéro atomique 55. Ses propriétés chimiques sont semblables à celles du rubidium et du potassium, qui appartiennent à la même série chimique. Il est extrêmement réactif et pyrophorique, et réagit avec l'eau même à une température aussi basse que -116 °C. On extrait le césium à partir de la pollucite, tandis que ses radioisotopes sont issus des déchets nucléaires, notamment le césium 137.
Césium - Métal, dans une ampoule de verre. Histoire[modifier | modifier le code] Le nom dérive du latin « caesius », ce qui signifie « bleu ciel », attribué du fait de la couleur bleu clair des deux lignes caractéristiques de son spectre d'émission[9]. Radon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sélénium. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Selenium. Le sélénium est un élément chimique, de la famille des chalcogènes, de symbole Se et de numéro atomique 34. C'est un oligoélément, mais à très faible dose. Il est toxique (voire très toxique sous certaines formes) à des concentrations à peine plus élevées que celles qui en font un oligoélément indispensable. Fukushima : vers une contamination planétaire ? Pour regardez les 2 extraits vidéos : c'est ICI Icône de liens externes L'émission "Pièces à conviction" de France 3 a mené l'enquête sur l'impact à l'échelle mondiale de la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Trois ans après la catastrophe nucléaire de la centrale de Fukushima Daiichi, une autre catastrophe se profile. Becquerel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sur les autres projets Wikimedia : becquerel, sur le Wiktionnaire Définition[modifier | modifier le code] Le becquerel est défini comme le nombre de désintégrations radioactives par seconde au sein d'une certaine quantité de matière. Laboratoire de biogéochimie, biodisponibilité et transferts des radionucléides (L2BT) Sommaire Contexte et thématiques de recherche Le L2BT est rattaché au Directeur de l’Environnement au sein du pôle « radioprotection, environnement, déchets et crise » (PRP-ENV).
Le L2BT mène des études et des recherches dans le but de caractériser les processus d’exposition des organismes vivants aux polluants issus des activités nucléaires (substances radioactives et substances chimiques stables associées) dans les écosystèmes continentaux, aquatiques et terrestres, que ce soit en situation d’exposition chronique ou post-accidentelle. Unité Environnement. Les objectifs scientifiques de l’Unité Environnement sont définis en cohérence avec la stratégie générale de l’Institut et les défis scientifiques et techniques auxquels ce dernier entend se confronter.
Outre le fait qu'elles soient "finalisées" (cf. Organisation de la recherche), les recherches sont orientées selon une démarche d’analyse du risque qui décline le triptyque générique consistant 1) à maîtriser les expositions (métrologie, phénoménologie du comportement des radionucléides), 2) à apprécier les dangers (caractérisation du détriment), 3) à analyser les risques en combinant les expositions et les dangers. Les recherches relatives aux sciences de l’environnement sont organisées selon quatre axes fondamentaux.
Relatifs à la géosphère, les axes 1 et 2, qui traitent respectivement de l’aléa sismique et du risque lié au stockage de déchets en couches géologiques profondes, sont portés par des enjeux particulièrement importants en termes de sûreté des installations.