Twitter. Lemonde300121. « Il existe, au sein du monde arabo-musulman, un débat sur la citoyenneté et la laïcité » Tribune.
De la mauvaise défense de l’« islamophobie » La France a longtemps été l’incarnation l’idéal-typique de l’universalisme des droits de l’homme – chez Max Weber, l’idéaltype est une construction conceptuelle à laquelle la réalité est comparée.
Or cette même France autorise, voire valorise, l’expression d’un inquiétant malaise face à l’altérité que les oripeaux « républicains » ne parviennent plus à dissimuler. On a pu observer une nouvelle occurrence de ce malaise dans un récent débat télévisé à propos du port du foulard islamique entre Sara El Attar et quelques-uns de ses interlocuteurs. Du « droit » d’être islamophobe La récurrence des propos de certaines personnalités médiatiques ou d’élus quant au « port du voile islamique » résonne avec une tribune récemment publiée par Libération le 12 octobre. De nombreuses « personnalités » du monde intellectuel et médiatique avaient alors affiché un total soutien au philosophe Henri Pena-Ruiz, qui avait suscité un tollé après avoir déclaré en août dernier : Un terme équivoque.
Abu-l-Ala al-Maari. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Abu-l-Ala al-Maari Abul ʿAla Al-Maʿarri[1] ou Aboulala el-Maʿarri[2] (en arabe أبو العلاء المعري 'Abū al-ʿAlāʾ al-Maʿarrī', nom complet أبو العلاء أحمد بن عبد الله بن سليمان التنوخي المعري 'Abū al-ʿAlāʾ Aḥmad ibn ʿAbd Allāh ibn Sulaimān al-Tanūẖī al-Maʿarrī'; 973-1057) est un grand poète syrien de langue arabe, connu pour sa virtuosité, pour l'originalité et le pessimisme de sa vision du monde. Ses poèmes philosophiques sont construits sur la base d’une tristesse existentielle profonde, faisant du pessimisme une ligne de conduite et le départ de toute réflexion philosophique.
Biographie[modifier | modifier le code] Twitter. Pourquoi la croyance ne peut jamais justifier la violence. L’attentat à Nice jeudi 29 octobre qui a fait trois morts, et qui suit de près l’assassinat de Samuel Paty, professeur de collège qui enseignait la liberté d’expression, nous rappelle avec douleur que le combat contre l’intolérance et le fanatisme est loin d’être gagné.
De tels actes font des victimes directes, les personnes assassinées, leurs familles et leurs proches, mais également des victimes indirectes : toutes les personnes de confession musulmane qui condamnent l’assimilation de leur foi à la violence. Mais quels arguments opposer à ceux qui pensent que la vérité ou l’autorité religieuse peut justifier d’outrepasser les règles de la morale ? Qui croient qu’au nom d’une vérité supérieure, il est de leur devoir de sacrifier des vies ? Djihad, charia, hidjab : l'abécédaire des mots-pièges de l'islam 16h37 , le 15 avril 2016, modifié à 10h46 , le 21 juin 2017 Qu'est-ce que la Charia?
Une fatwa est-elle toujours une condamnation à mort? Le djihad est-il forcément guerrier?. L'essor de Daech, la montée du radicalisme et les événements dramatiques de ces deux dernières années (dont les attentats de Charlie, Paris et Bruxelles...) ont installé dans l'actualité française des mots parfois peu compris ou utilisés à mauvais escient. Petit lexique pour ne plus s'emmêler les pinceaux au sujet de l'islam. Le Coran, impossible à interpréter? Abdelwahab Meddeb : «L'islam a la même genèse que le judaïsme» LE FIGARO LITTÉRAIRE.
L'antisémitisme d'une partie du monde musulman actuel procède, écrivez-vous, d'une occidentalisation des consciences islamiques. La laïcité en questions. Toujours utile exposition de la BNF. Le titre de l’exposition que la Bibliothèque Nationale de France consacrait en 2015 au thème de la laïcité résonne tristement depuis quelques jours dans le pays après le drame de Conflans.
“La laïcité en questions” est un formidable travail de la BNF et une ressource utile pour tous ceux et celles qui ont à traiter le sujet avec leurs élèves. Une exposition en ligne avec de nombreuses ressources pédagogiques prêtes à être utilisées. Dix questions sur la laïcité d’une cruelle actualité. La laïcité, "une interprétation fallacieuse de la neutralité de l'Etat" Faut-il repenser la laïcité?
Les attentats récents ont relancé l'éternel débat qui, du voile aux crèches, a déjà donné lieu à dix ans de polémiques. On semble toujours nager en pleine confusion autour de ce concept bien français... Il y a là, en effet, un paradoxe. La laïcité nous semble à la fois une idée familière, évidente, dont on fait le quatrième pilier de la République, avec la liberté, l'égalité et la fraternité. Et, en même temps, je passe mon temps à répondre à des gens qui me demandent : "C'est quoi, la laïcité? "
CARICATURES CHARLEI HEBDO. François-Jean Lefebvre de La Barre. François-Jean Lefebvre de La Barre Biographie[modifier | modifier le code] François Jean Lefebvre naît à Férolles, à l'époque dans le diocèse de Paris ; il est baptisé deux jours plus tard, le 14 septembre 1745, en l'église Saint-Germain-d'Auxerre de Férolles[1].
Il est le fils de Jean Baptiste Alexandre Lefebvre, chevalier et seigneur de La Barre, et de Claude Charlotte La Niepce. Ses parents se sont mariés le 29 janvier 1738 en l'église Saint-Germain-d'Auxerre de Férolles[2]. Sa mère meurt alors qu'il a neuf ans, son père quand il en a dix-sept. Terroriser l’école, c’est attaquer la Fabrique du citoyen de demain. Face à l’horreur, nous invoquons la démence.
Confrontés à la violence extrême, nous l’attribuons à la folie. Écœurés par des photos macabres, nous pensons immédiatement à la pathologie. Mais qu’on ne s’y trompe pas : l’assassinat barbare de Samuel Paty n’est pas le résultat d’un comportement pathologique. La méticuleuse préparation de ce crime atteste son statut : c’est un acte qui se proclame politique. Représentations de Mahomet : ce que disent le Coran et les autres textes de l’islam. Nous republions cet article initialement publié en janvier 2015, après l’attentat qui a endeuillé la rédaction de Charlie Hebdo.
L’attentat de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), dans lequel Samuel Paty, un enseignant de 47 ans, a été assassiné par un terroriste islamiste parce qu’il avait montré des caricatures de Mahomet en classe, a de nouveau déclenché le débat et les critiques sur la représentation du prophète de l’islam. Cette dernière est vue comme strictement interdite par de nombreux musulmans, or les textes et l’histoire de l’art islamique sont moins catégoriques. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Pourquoi le blasphème continue à faire scandale Ce que disent les textes Le Coran n’interdit pas la représentation du Prophète ni la représentation humaine en général. La sunna, l’ensemble des paroles et actions de Mahomet, un très large corpus distinct du Coran trié et mis par écrit entre le VIIIe et le IXe siècle, n’interdit pas non plus de représenter le Prophète. Langues et rencontre interculturelle en éducation : loyautés, conflits, autorisations.
En référence au sociologue clinicien Vincent De Gauléjac, Cécile Goï a interrogé cette délicate question de l’autorisation à réussir qui renvoie d’une part à l’individu lui-même, et à celles et ceux qui font autorité sur lui, ses parents mais aussi ses enseignants. « Faire autorité pour l'autre nous rend responsable de la dimension à faire grandir, à faire évoluer afin qu’il puisse devenir auteur de sa propre vie » nous dit la chercheuse. Dans les contextes de la migration, les contacts de langues, la rencontre des cultures, les processus d’acculturation, les tensions sous-jacentes à l'autorisation à réussir se complexifient.
Dans certains cas mieux réussir que ses ascendants est une gratification mais dans d’autres cela peut relever de la trahison d’où cette notion de « conflit de loyauté ». Réussir c’est s'émanciper. Twitter. Laïcité vue d'ailleurs. Et dans les autres pays ? – Questions réponses sur la laïcité. Le blasphème en France et en Europe : droit ou délit. Le procès intenté contre l’hebdomadaire Charlie Hebdo en 2007 pour la publication des caricatures de Mahomet a fini de clarifier la position des juges. En France, il est possible d’insulter une religion, ses figures et ses symboles, il est en revanche interdit d’insulter les adeptes d’une religion. Néanmoins la différence entre l’un et l’autre est parfois ténue, ce qui a entraîné une inflation de procès "en blasphème", sans que le mot ne soit jamais prononcé.