Itéractive L’évaluation d’un gazouillis sur un microblogue peut s’inspirer de l’évaluation du blogue, tout en considérant que les productions sont beaucoup plus courtes. C’est pour cette raison que plusieurs critères en lien avec la publication sur un blogue se retrouvent également dans la grille d’évaluation à échelle descriptive proposée pour l’évaluation des gazouillis. Outils ou fonctionnalités pouvant faciliter le suivi Un enseignant désirant intégrer Twitter dans le cadre d’une activité d’apprentissage aurait tout intérêt à choisir un mot-clic que les étudiants devraient utiliser pour diffuser de l’information au sujet de l’activité (plus d’informations sur les mots-clics). Ainsi, l’enseignant pourrait utiliser la recherche intégrée dans Twitter pour regrouper tous les gazouillis des étudiants en lien avec le cours. Il est d’ailleurs possible d’enregistrer une recherche afin d’obtenir les résultats plus rapidement lors d’une consultation ultérieure.
Emploi : les jeunes toujours inconscients de leur e-réputation Une récente enquête effectuée par l’institut américain On Device Research vient confirmer une nouvelle fois que les jeunes en âge de travailler (enquête sur les 16-34 ans) sont toujours aussi peu conscients de l’impact de l’image qu’ils donnent d’eux sur le net — spécialement sur les réseaux sociaux — c’est-à-dire de leur e-réputation, web-réputation, cyber-réputation ou réputation numérique, comme on voudra. Un jeune sur dix concerné aux USA et au Royaume-Uni Réalisée dans six pays plus ou moins développés (Royaume-Uni, États-Unis, Brésil, Chine, Inde et Nigéria) auprès d’environ 20 000 jeunes, cette étude révèle qu’aux États-Unis et au Royaume-Uni, au moins un jeune sur dix serait éconduit d’une candidature à un emploi après examen de l’image que renvoie de lui Internet. Une pratique vieille comme l’emploi Mais au fond le phénomène est-il si nouveau ?