Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage S'investir dans un processus d’acquisition de savoirs n'est pas toujours aisé. Parfois, selon son histoire personnelle, il peut persister des blocages à l'apprentissage (échecs scolaires par exemple). Optimiser ses études nécessite une forte motivation à apprendre, de développer des capacités d’appropriation de connaissances, de méthode et d’organisation. De toute manière, s'engager dans un cursus d’enseignement nécessite de se « remettre dans le bain ». Les compétences à développer Tout d’abord, qu’est-ce qu’apprendre ? L’acquisition de connaissances est fortement favorisée si l’apprenant assimile des méthodes et des pratiques, comme par exemple, être capable de : Traiter efficacement l’information, Prendre des notes, Synthétiser, partager et reformuler les acquis, Résoudre des problèmes, S’auto évaluer et estimer sa capacité à réaliser une tâche, Planifier et gérer sa formation, S’auto motiver, Résilience (capacité à surmonter les épreuves). Quelques pistes méthodologiques Notes :
EDU CERI Résumé | Table des matières | Comment obtenir cette publicationUn abécédaire du cerveau | Sites web Résumé Après vingt ans d’un travail de pointe en neurosciences, la communauté éducative prend conscience du fait que « comprendre le cerveau » peut indiquer de nouvelles voies de recherche et améliorer politiques et pratiques éducatives. Ce rapport constitue un panorama synthétique de l’apprentissage informé par le fonctionnement cérébral, et soumet des thèmes cruciaux à l’attention de la communauté éducative. Résumé entiere Table des matières Partie I : Le cerveau apprenant1. Comment obtenir cette publication Les lecteurs peuvent accéder à la version complète en choisissant parmi les options ci-après : Les lecteurs d'organismes abonnés peuvent y accéder via SourceOCDE, notre bibliothèque en ligne. Un abécédaire du cerveau Télécharger la premiere chapitre : Un abécédaire du cerveau Sites web: www.oecd.org/edu/cerveau Also Available Understanding the Brain: The Birth of a Learning Science
Métacognition et transfert des apprentissages à l'école - Le Cercle de Recherche et d'Action Pédagogiques et les Cahiers pédagogiques Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ? Pour soutenir l’association et sa démarche de mutualisation de réflexions et de pratiques en accès libre, Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ? Les articles en accès libre des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Vous-même les consultez de temps en temps ou souvent, et vous les appréciez ?
Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. Il était fait pour sentir, parler, entendre, regarder… Mais nous n’étions pas programmés génétiquement pour apprendre à lire ». La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Pourquoi la lecture numérique est-elle différente ? Hubert Guillaud
Neurosciences et pédagogie Dans le monde de l'éducation, c'est une innovation : améliorer l'enseignement et l'apprentissage par ce qu'on connaît du fonctionnement du cerveau. Et cela s'appelle la neuropédagogie. Domaine de recherche relativement nouveau qui fait la jonction entre les neurosciences et les sciences de l'éducation, il s'intéresse aux processus biologiques en jeu dans l'apprentissage ainsi que les expériences sociales et émotionnelles. La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. En toile de fond, l'apprentissage Références
Autodidacte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un autodidacte est une personne qui a appris par elle-même, en dehors des institutions éducatives. L'autodidaxie (autodidacte, autodidactisme ou autoformation) est un terme générique qui désigne le fait pour une personne de se former elle-même, dans un cadre qui lui est propre, d’une façon plus ou moins éloignée des structures et institutions enseignantes et formatives. Éléments de définition[modifier | modifier le code] L'autodidacte est souvent conduit au savoir grâce à la pratique. Certains[Qui ?] « On présente souvent des génies comme autodidactes. Dans Les Nouveaux Autodidactes, Georges Le Meur signale que dans la vie quotidienne, « l'autodidacte représente souvent la réussite socio-professionnelle d'une personne qui ne devait « normalement » pas s'élever dans la hiérarchie sociale ». Sociologie[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail de l’éducation
Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés. Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation. Que faire devant cette réalité ? Les enseignants tentent de les aider à retrouver le chemin des apprentissages scolaires afin qu’il apprennent les savoirs scolaires que l’Ecole s’engage à leur donner et définissent sur cette base la plupart des activités qu’ils leur proposent.
Les chemins de l'intelligence L'intelligence ne dépend pas de la génétique mais de l'aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. L'important est la façon dont nous traitons et organisons les informations, dont nous interprétons nos expériences, et plus globalement, la façon dont nous nous représentons la réalité. Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"... Penser par soi-même Ne pas faire son jugement en fonction de celui des autres, et ne pas prendre pour argent comptant ce qui est dit ou suggéré par les médias, la publicité, les responsables politiques. Celui dont l'esprit ne produit aucune pensée autonome et ne contient rien d'autre que ce qu'on y a déversé est pour ainsi dire "sans valeur ajoutée". Ecouter son intuition L'hémisphère droit du cerveau possède des capacités intuitives qui sont complémentaires de l'intelligence rationnelle du cerveau gauche. L'intuition est capable de prendre en compte une multitude d'éléments dont nous n'avons pas conscience. Penser en 4D
Neurosciences et salle de classe : beaucoup de bruit, peu d’effets L’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) annonçait en 2007 la naissance d’une science de l’apprentissage qui aurait pour parents les neurosciences et l’éducation. Si on arrivait à mieux comprendre comment fonctionne le cerveau, les enseignants pourraient alors adapter leurs pratiques pédagogiques. Évidemment, tout ça n’est pas si simple. C’est ce que nous expliquent Marie Gaussel et Catherine Reverdy, suite à la publication d’un dossier sur ce sujet. Nous nous sommes intéressées aux domaines éducatifs sur lesquels les neurosciences pouvaient avoir un impact : que se passe-t-il dans le cerveau quand on apprend à lire ? à parler ? Nos capacités cognitives sont-elles mobiles et évolutives ou bien sont-elles fixées depuis la naissance ? Marie Gaussel Et la salle de classe, peut-elle devenir un laboratoire ? Quels sont donc les problèmes liés à l’implantation des neurosciences à l’école ? Catherine Reverdy Pour en savoir plus Article extrait du numéro :
Six milliards d’autodidactes François Taddei, 41 ans, rêve d’une société de créateurs, c’est-à-dire de gens qui sachent innover pour vivre bien dans un monde qui change à grande vitesse. Ingénieur sorti de Polytechnique et des Eaux et Forêts, converti à la biologie, il est lui-même un mutant polymorphe, spécialiste de l’évolution. Côté labo, il est directeur de recherche Inserm à l’université Paris-Descartes, où il étudie comment des organismes s’adaptent à de nouveaux environnements et coopèrent, même pour les modifier à leur profit. Côté fac, il a créé le Centre de recherches interdisciplinaires, qui héberge une école doctorale soutenue par la Fondation Bettencourtet un master interdisciplinaire unique en France : il recrute, sur projets et motivations, des étudiants de tous horizons (maths, bio, économie, sciences politiques, etc.) qui ont envie de travailler dans des labos des disciplines qui ne sont pas les leurs. Vous rêvez d’une société d’autodidactes. Le paradoxe n’est qu’apparent. Comment ? Pas du tout.