background preloader

Eric Gaspar - LA NEUROPEDAGOGIE OU COMMENT APPRENDRE A MIEUX APPRENDRE

Eric Gaspar - LA NEUROPEDAGOGIE OU COMMENT APPRENDRE A MIEUX APPRENDRE

http://www.youtube.com/watch?v=a7mafggbubA

Related:  COGNITIF- NEUROSCIENCESNeurosciencesNeuroNeurosciences & ApprentissagesNeurosciences

Les fonctions exécutives : si méconnues dans le développement de l'enfant Par Lyakout Mohamed Saïd, M.Sc., Clinique Évolution Les fonctions exécutives sont méconnues, mais si importantes pour le développement des jeunes. Votre enfant a du mal à suivre les consignes et/ou à exécuter des tâches complexes. Il a de la difficulté à gérer certaines émotions et/ou à résister à la tentation…Et s’il n’y avait pas qu’une seule piste d’explication pour tout cela? Les fiches ou encarts de mémorisation : un outil pour apprendre et réviser efficacement Jean-Luc Berthier, spécialiste des neurosciences cognitives appliquées à l’apprentissage, propose la mise en place d’un outil de mémorisation et de réactivation des connaissances facilement utilisables dans toute les disciplines et toutes les classes : les fiches ou encarts de mémorisation. Cet outil permet à la fois de pointer les points clés à retenir et de mémoriser efficacement (à la manière des flash cards). En effet, les fiches ou encarts de mémorisation permettent aux élèves de :

Vive les « neuroprofs » ! - 8 novembre 2012 De l’aveu de Nathalie Ré, sa prof d’histoire-géo, Tony [le prénom a été changé, NDLR] était « complètement à la ramasse ». A la fin de sa formation Neurosup, on a demandé à ce collégien redoublant d’Ernest-Bichat à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), ce qu’il en pensait. Il a conclu son mot par cette phrase : « Et maintenant, j’aime l’école ». Depuis, Tony est passé de 5 à 11 de moyenne. « J’ai été épatée, confie Nathalie Ré, émue. Utiliser les intelligences multiples en histoire-géographie Les intelligences multiples qu’est-ce que c’est? La théorie des intelligences multiples proposée par Howard Gardner suggère qu’il existe chez l’individu 8 intelligences multiples. En dehors d’individus exceptionnels comme Einstein qui a très bien développé les 8 intelligences, nous avons chacun généralement des intelligences fortes et des intelligences faibles (celles que l’on a moins sollicité dans notre vie).

Éducation, plasticité cérébrale et recyclage neuronal - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 06 janvier 2015 09:30 Dans le domaine de l’apprentissage, il est vain d’opposer l’inné et l’acquis, l’environnement et l’hérédité. Dès 1949, le psychologue canadien Donald Hebb l’énonce : Deux facteurs déterminent la croissance intellectuelle : un potentiel inné, absolument indispensable, et un environnement stimulant, tout aussi indispensable. Il est inutile de se demander lequel est le plus important. On pourrait supposer que l’intelligence croît jusqu’à la limite fixée par l’hérédité ou par l’environnement – le minimum des deux. Dans un environnement parfait, c’est la structure innée qui donne le rythme ; mais en partant d’une hérédité de génie, c’est l’environnement qui domine.

LES NEURONES DE LA LECTURE CC Giovanni S. Santos / Flickr Si nos gênes n’ont pas évolué pour nous permettre d’apprendre à lire, c’est l’écriture qui a évolué afin de tenir compte des contraintes de notre cerveau. Une question demeure : pourquoi l’espèce humaine est-elle la seule, parmi les primates, à avoir inventé des symboles parlés ou écrits ? Deux concepts récents, celui de "théorie de l’esprit" – c’est-à-dire la capacité d’imaginer ce que pensent nos congénères et celui d’" espace de travail conscient" – un réseau neuronal où les idées se recombinent en synthèses nouvelles- pourraient contribuer à cerner la singularité culturelle de l’esprit humain au sein de l’évolution biologique des espèces. En effet, la lecture est une invention culturelle récente.

Construire une fiche de mémorisation Nous rêvons que tous les enseignants-formateurs incluent dans la présentation de leurs cours un outil permettant : • De mettre en exergue des points essentiels du chapitre. • A l’apprenant de procéder à la mémorisation de ces connaissances de base de façon active (par opposition au mode passif hélas universellement pratiqué, consistant à lire et relire le cours, sans effet efficace de mémorisation à terme). • De réviser aisément et autant que nécessaire pour consolider, ces notions essentielles, selon le principe essentiel de la consolidation en mémoire. La technique de la fiche de mémorisation rejoint les éléments des sciences cognitives en 4 points : 1. L'intelligence reconsidérée à la lumière des neurosciences éducatives Pascale Toscani est maître de conférences en psychologie cognitive. Depuis le début de sa carrière, elle lutte contre l’idée reçue, avant tout dans le domaine scolaire, que tout serait joué avant l’âge de six ans. Elle s’est spécialisée en neurosciences de l’éducation, un domaine de recherche qui a pour but d’aider les enseignants à intégrer dans leur pratique professionnelle, les connaissances sur le cerveau. Elle s’intéresse particulièrement au concept de “plasticité cérébrale“, c’est à dire la capacité qu’a le cerveau de s’adapter en permanence à son environnement.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.

Related: