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Vers la mort du Design Thinking ? - Les cahiers de l'innovation

Vers la mort du Design Thinking ? - Les cahiers de l'innovation
Quand j’ai cherché ce qu’était le « design thinking » la première fois, je suis tombé sur cette définition : le design thinking permet de réaliser des produits ou des services « désirables par le consommateur, même s’il n’aurait jamais exprimé clairement un tel vœu, réalisables techniquement et viables économiquement », résume Véronique Hillen, aujourd’hui doyenne de la Paris-Est d.school à l’École des ponts . Le design thinking est « un mode d’application des outils de conception utilisés par les designers pour résoudre une problématique d’innovation, par une approche multidisciplinaire centrée sur l’humain ». Si certains annoncent déjà la mort du design thinking, ses méthodologies se retrouvent aujourd’hui disséminés dans toutes les situations où quelque chose est conçu (nouveau produit ou service). Les projets que je soutiens dans le cadre professionnel ont de plus en plus cette approche (je pense à 3pod par exemple). Les grandes dates du design thinking: Mais que reproche M.

https://www.lescahiersdelinnovation.com/2015/04/vers-la-mort-du-design-thinking/

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Les micro-emplois en ligne à l'assaut de l'Afrique Le "jobbing" — du nom de ces tâches confiées à des internautes et payées à l'acte — est né aux États-Unis voilà une dizaine d'années. Isahit, une start-up française, tente depuis six mois de répliquer le modèle en Afrique francophone. Des femmes au foyer ou de jeunes étudiantes boursières chargées, par ordinateurs interposés, de traitement de texte, de modération ou de classement de factures pour le compte d’entreprises qui souhaitent externaliser ces tâches : c’est le principe du « jobbing », né en 2008 dans la tête d’une Américaine, Leah Busque, qui cherchait quelqu’un pour acheter les croquettes de son chien. Elle crée alors Runmyerrand (« Fais mes courses » en anglais), rebaptisé depuis TaskRabbit, ainsi que le racontait en 2014 le quotidien français Les Échos.

Le Guide complet du Design Thinking Adoptée par les entreprises les plus innovantes au monde des Etats-Unis à l’Asie et le Nord de l’Europe, la culture du Design Thinking s'applique avec succès au sein des entreprises françaises. Pour en savoir plus, voici le premier Guide on line sur le Design Thinking. Qu’est-ce que le Design Thinking? [leçon] Qu'est-ce-que le design thinking ? Qu’est-ce-que le design thinking ? Le Design Thinking est tout simplement le terme utilisé pour désigner l’ensemble des méthodes et des outils qui aident, face à un problème ou un projet d’innovation, à appliquer la même démarche que celle qu’aurait un designer. C’est une approche de l’innovation et de son management qui se veut une synthèse entre la pensée analytique et la pensée intuitive.

[Dossier] Qu’est-ce que le design thinking ? On pourrait penser que c’est une mode, mais le design thinking est bel et bien né dans années 1950. De San Francisco à Delhi, en passant par Londres et Berlin, cette méthode qui oblige à repenser les cycles de création et de management en entreprise par le design convainc les plus réfractaires. Trois écoles spécialisées ont déjà ouvert. FrenchWeb a récemment consacré un atelier dédié en juillet dernier : qu’est-ce que le design thinking ? Comment les entreprises peuvent-elles en tirer parti?

L’Ecole 42 de Xavier Niel classée meilleure école de code au monde Comme pour les écoles d’ingénieurs ou celles de commerce, il existe de nombreux classements pour les formations de programmation informatique. La plateforme collaborative d’apprentissage de code informatique par le jeu CodinGame a eu l’idée d’utiliser les scores de ses membres pour établir son propre palmarès. Surprise. Trois écoles françaises occupent la tête du classement, avec au premier rang l’Ecole 42, l’établissement atypique et gratuit fondé par Xavier Niel et dirigé par Nicolas Sadirac. >> L'école informatique 42, un Ovni dans le système éducatif français, et ca marche

Qu’est-ce que le design thinking ? Dans mon billet précédent, je soulignais l’importance de l’innovation en bibliothèque. Mais comment s’y prendre pour innover ? Doit-on se fier uniquement à l’intuition ou bien y a t-il des outils sur lesquels s’appuyer ? Dans ce billet, je vais parler du design thinking, une méthode née dans les ateliers des designers mais qui s’étend désormais à toutes les sphères où l’on cherche à innover : industrie, technologie, services… et même la culture. Si vous avez vu le tag « Management » au bas de cet article vous vous apprêtez peut-être à aller voir ailleurs en imaginant un article super barbant.

Qu'est-ce que le Design Thinking ? - Prim à bord Le Design Thinking est une méthodologie issue du monde des designers qui s’étend aujourd’hui à toutes les sphères professionnelles. Elle s’applique à toute sorte de projet dont l’objectif consiste à inventer un nouveau concept, service, objet pour répondre à un besoin. Il s’agit d’une méthode d’innovation centrée sur la créativité . Depuis une trentaine d’années, le développement du Design Thinking a reçu plusieurs déclinaisons méthodologiques. Design Thinking » CPi - Création d'un produit innovant Une méthodologie qui a germé à la d-School de Stanford: un processus d’innovation centré utilisateur, et axé sur l’observation. La recherche des besoins, le prototypage rapide et l’itération permanente en vue de l’amélioration d’une situation d’usage. 8 ans d’expérience qui se concrétisent aujourd’hui dans le ROADBOOK CPi : la méthodologie CPi appliquée pour les étudiants et l’entreprise.

L’homme qui n’avait pas peur - Pour travailler autrement Nicolas, le numérique et la peur : Mais après l’explosion de la bulle des télécom, internet n’avait pas fini de nous faire des frayeurs, loin de là. Or justement, au fil de sa carrière, Nicolas n’eut de cesse de côtoyer des acteurs touchés de plein fouet par les révolutions successives du numérique… D’abord il y eut le partage de contenus en ligne, et son casse-tête en termes de propriété intellectuelle, réveillant la peur légitime des artistes. Ensuite, devant le refus des grandes multinationales à s’acquitter de l’impôt, naquît l’idée de l’impuissance des États (à se faire obéir ou à financer les recettes publiques). Ensuite, avec les révélations d’Edward Snowden, le grand public, en réalisant l’ampleur des dispositifs de surveillance mis en place par les gouvernements, commença à craindre pour le respect de sa vie privée.

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