Retour cartographique sur le conflit israélo-arabe (1/2) : des prémices du conflit israélo-palestinien à la première guerre israélo-arabe Lire la partie 2 : Retour cartographique sur le conflit israélo-arabe (2/2) : de la crise de Suez à la deuxième Intifada Si la compréhension de la temporalité du conflit israélo-arabe est nécessaire, la compréhension de sa spatialité l’est tout autant. Les rapports de force s’inscrivent sur des territoires donnés dont la géographie est complexe, que ce soit d’un point de vue diachronique – tant les évolutions territoriales ont été nombreuses au cours du temps – ou d’un point de vue synchronique – tant le découpage territorial actuel peut être compliqué (il suffit de regarder l’organisation de la Cisjordanie). Ainsi, nous nous proposons d’ouvrir cette rubrique par une mise en perspective cartographique du conflit israélo-arabe. Cette première synthèse générale se présente comme une introduction, susceptible d’être complétée par la suite par des sujets plus précis. I – Les prémices du conflit israélo-arabe : Israël, entre représentations sionistes et plans de partage britanniques
La mort par guillotine était-elle douloureuse Il y a un peu plus de 40 ans aujourd’hui, la France guillotinait pour la dernière fois un prisonnier, Hamida Djandoubi, « meurtrier tortionnaire à tendance proxénète« , c’était le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes de Marseille. Alors que nous célébrons cet anniversaire, la question de la douleur d’une mort par guillotine ressurgit : finalement, était-ce un supplice pour le prisonnier ? En 1905, une expérience intrigua. Un médecin rapporta ses observations de la décapitation d’un dénommé « Languille » dans les Archives d’Anthropologie Criminelle. Le docteur Beaurieux aurait appelé la victime décapitée, dont les paupières venaient de se fermer, et l’individu aurait réagi en ouvrant ses yeux, fixant le docteur avec force, avant de refermer ses yeux lentement, comme « au bord de l’inconscience« .
Signets - Cerimes - Signets Bibliothèque numérique de la Bibliothèque Diderot de Lyon Ouverte depuis janvier 2014, la bibliothèque numérique de la Bibliothèque Diderot de Lyon est un ensemble de premier ordre et destiné à s'accroître de collections patrimoniales numérisées. . Les collections présentées sont issues des collections nationales « éducation » de l’ex-INRP (devenu l’Institut français de l'Éducation, Ifé) et des fonds slaves de l’ENS de Lyon. Elle propose également un service de numérisation à la demande sur des documents issus de ses fonds. Par ailleurs elle permet la consultation sous conditions particulières de thèses électroniques de l’ENS de Lyon.
Chronologie de la Guerre Iran-Irak Le 22 septembre 1980, la guerre Iran-Irak se déclarait. Un peu plus de trente ans après, nous vous proposons une chronologie de cette guerre qui allait durer huit ans et être la plus meurtrière de la période suivant la deuxième guerre mondiale. Retour sur la genèse et le déroulement de cette guerre. De g. à dr. : Mohammed Reza Pahlavi, Shah d'Iran ; Houari Boumediene, président algérien ; Saddam Hussein, président irakien. Photo prise lors de la signature des accords d'Alger en 1975.
Carte. Où en est la démocratie dans le monde ? Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu. Pour plus d’information, consulter notre politique relative aux cookies.
Robespierre : intransigeance républicaine ou terrorisme étatique ? Pourquoi Robespierre et son héritage politique sont encore, plus de 200 ans après sa mort, un marqueur idéologique fort. C'est à cette question que l'historien Marcel Gauchet répond dans Robespierre, l'homme qui nous divise le plus (Gallimard, 2018). Marcel Gauchet : "Vous donneriez aujourd’hui à un communicant les discours de Robespierre en lui demandant ce que ça va produire, il vous dirait mettez ça à la poubelle, personne ne va vous écouter." Le petit avocat provincial Marcel Gauchet : "C’est au départ un petit notable provincial, un avocat, à Arras qui représente typiquement les Lumières moyennes.
DU BÛCHER À LA GUILLOTINE Le 16 octobre 1793, Marie-Antoinette, jadis reine de France, était décapitée à Paris. Sa tête fut ensuite placée sur une lance et présentée au public, venu assister à cette exécution très attendue dans le cadre de la Révolution française. À cette époque, les exécutions furent nombreuses et surtout facilitées par une nouvelle façon de faire, plus rapide et efficace que la hache ou l'épée: la guillotine. Profitons de cet événement historique pour nous intéresser à l'évolution des méthodes d'exécution! Amoureux d’Histoire, accédez gratuitement à des centaines d’anciennes cartes du monde Restez curieux. Suivez nous ! L’History of Cartography Project est un projet de recherche, de rédaction et de publication attirant l’attention de tous sur l’histoire des cartes et de la cartographie.
Camille Desmoulins au Palais-Royal Jusqu'au 12, l'agitation parisienne est demeurée sporadique. Il s'agit plus d'une atmosphère inflammable que d'émeutes. La plupart des gens espèrent encore tellement en Necker que même les plus malheureux se tiennent dans des limites. Patrick Boucheron bouscule l’histoire Il a bouleversé la vision que l’on avait du Moyen Âge et son « Histoire mondiale de la France » a défrayé la chronique. Rencontre avec l'historien Patrick Boucheron, alors que se tiennent du 10 au 14 octobre les 21e Rendez-vous de l'histoire, à Blois. (Cet entretien a été publié initialement dans le numéro 4 de la revue Carnets de science (link is external)) Patrick Boucheron est, à 53 ans, l’historien le plus remuant de sa génération. Ses recherches sur les villes de l’Italie médiévale ont imposé une approche très moderniste du Moyen Âge, reléguant au placard la vision d’une période obscurantiste, agitée de rivalités féodales sur fond de châteaux forts. Celui qui a rejoint le Collège de France en 2015 n’hésite pas à sortir de sa bibliothèque pour s’engager dans le débat public.
états généraux 1. Définition Dans l'ancienne monarchie française, jusqu'à la Révolution de 1789, on appelait Assemblées des états, ou simplement États, des assemblées politiques qui se tenaient à des époques plus ou moins régulières pour délibérer sur des questions d'intérêt public. Ces assemblées se nommaient États, parce qu'elles étaient composées de députés envoyés par les trois ordres, ou états, du royaume : clergé, noblesse, et tiers état. On distinguait les états généraux, qui comprenaient les délégués de tout le royaume – ou d'un très grand nombre de provinces –, et les états particuliers, ou états provinciaux, qui ne réunissaient que les délégués d'une seule province.
Juger et punir : une brève histoire (3/3) : Quand le XXe siècle invente la notion de crime contre l'humanité Pour ce dernier volet consacré à une brève histoire de l'institution de juger et de punir, et de l'invention de certaines peines, Emmanuel Laurentin s'entretient avec Philippe Sands de l'invention des notions juridiques de génocide et de crime contre l'humanité. Pour ce dernier volet consacré à une brève histoire de l'institution du juger et du punir, et de l'invention de certaines peines, Emmanuel Laurentin s'entretient avec l'avocat Philippe Sands de l'invention des notions juridiques de génocide et de crime contre l'humanité. Au départ, il y a une invitation à donner une conférence dans l’université ukrainienne de Lviv.
Les 8 présidents de la Ve République En France, depuis l’adoption de la Constitution de la Ve République en 1958, et a fortiori depuis son élection au suffrage universel direct (votée par referendum en 1962), le président de la République est, selon l’expression consacrée, la « clé de voûte » des institutions. Seul élu de la nation entière, pour un mandat de cinq ans, le président de la République a pour rôle, selon l’article 5 de la Constitution, de veiller : […] au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État.Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités.