Apprentissages informels : quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles ? - Le blog de la Formation professionnelle et continue
Dans certaines entreprises, le modèle 70-20-10 est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ? Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ? Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Le savoir devient hautement périssable.
Pourquoi vous devriez utiliser des jeux en formation et comment les intégrer de manière simple et efficace
«Tous les jeux, y compris ceux qui paraissent les plus simples, recèlent d’antiques sagesses.»– Bernard Werber, «La Révolution des Fourmis» Si vous travaillez dans le secteur RH ou de la formation en entreprise, il y a 9 chances sur 10 que vous ayez déjà entendu la réflexion suivante : «Jouer en formation ça ne sert à rien, nos collaborateurs sont là pour apprendre, pas pour s’amuser !» Et vous, que diriez-vous si je vous disais que les meilleures formations sont celles qui font appel aux jeux ? Il s’agit d’une erreur communément partagée de penser que les jeux ne servent à rien en formation. J’observe au moins 3 bonnes raisons d’intégrer une approche ludique dans ses dispositifs pédagogiques :
Serge Tisseron : La pédagogie de projet et le numérique, où en est la France ? - Numérique et pédagogie de projet : osons innover !
Ainsi, n‘utiliser que du papier, du crayon, que du livre entraîne forcément un certain type de relation à soi-même, aux autres, aux savoirs et aux apprentissages et d’un autre côté, utiliser parallèlement ou exclusivement les outils numériques en entraînent une autre relation type. Il faut souligner cependant qu’aujourd’hui, ces deux cultures sont en train de se métisser très fortement puisque les repères traditionnels de la culture du livre, qui sont traditionnellement axés sur la temporalité et la chronologie, se retrouvent désormais dans la culture des écrans. Preuve en est la fameuse timeline de Facebook que nous connaissons tous : avant, les informations que nous mettions sur Facebook se répartissaient sans ordre précis, à tel point qu’il était difficile de s’y retrouver ; aujourd’hui, elles s’ordonnent selon une ligne temporelle, c’est-à-dire selon quelque chose qui reste l’un des fondements de la culture du livre, à savoir la chronologie. La relation au savoir
9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants durant vos formations et présentations
Comme je vous le disais dans l’article de lundi, la surcharge cognitive est un phénomène crucial qui peut menacer la digestion mentale de vos participants. Lorsque leur mémoire de travail est trop sollicitée – notamment en raison d’un contenu trop important ou trop complexe – le cerveau de vos participants peut rapidement devenir saturé en informations. Outre un tube d’aspirine, je vous invite à découvrir ci-dessous 9 manières de réduire la charge cognitive au moment de délivrer votre contenu, que ce soit dans le cadre de formations, conférences et présentations : Découvrez 9 manières de réduire la charge cognitive de vos participants lors de vos prochaines formations et présentations en public. 1.
Qu’est-ce qu’apprendre avec le numérique
Dossier15/12/2013 Si les ordinateurs ont enfin pénétré dans les salles de classe, la révolution numérique commence à peine à toucher l’enseignement. Il est vrai qu’entre les innovateurs révolutionnaires et les conservateurs réfractaires, le débat sur les bienfaits du numérique sur l’apprentissage est loin de faire l’unanimité. La faute revient principalement au manque de moyens d’évaluation, mais aussi à un manque de préparation et de formation des professeurs pour l’intégration de ces outils dans leurs cours. Pour le moment, on n’observe aucune différence quantifiable entre un cours « classique » et un cours utilisant le numérique. Cela ne veut pas dire que le numérique ne possède pas la capacité d’opérer plusieurs grands changements.
Méthodes et modèles pédagogiques
Frédéric Haeuw :"L’irruption massive des technologies et des réseaux dans la formation des jeunes et des adultes fait ressurgir de vieux débats sur les méthodes pédagogiques. Les Massive Open Online Courses, par exemple, sont généralement distingués en « xMOOC » plutôt basés sur une pédagogie transmissive de savoirs clairement identifiés dans des référentiels fermés, et en « cMOOC » dont les objectifs d’apprentissage sont plus ouverts et qui se basent sur le principe que ce sont les participants qui créent le contenu. On parle alors de méthodes pédagogiques, classées généralement en méthodes déductives (démonstrative, expositive …) ou inductives (active ou expérientielle), et l’on considère souvent que la méthode dépend de l’objet à construire ou à transmettre : les savoirs académiques se prêteraient davantage à une méthode déductive et les compétences à une méthode inductive. Les constructivistes répondent à cette question de manière radicalement opposée.
Les parents et les intelligences multiples
L'auteur Sébastien Bohler est rédacteur en chef adjoint du magazine Cerveau&Psycho Du même auteur Pour en savoir plus Croyez-vous à l’existence de plusieurs formes d’intelligence ? Lesquelles comptent le plus pour réussir dans la vie ?
Le blog de Christine Vaufrey » Blog Archive » L’illusion de la pédagogie numérique
Je lis avec quelques semaines de retard le texte de J.M. Fourgous publié dans Le Monde, intitulé « Oser la pédagogie numérique !« .
Définir des objectifs pédagogiques efficaces et cohérents grâce à la taxonomie de Bloom et la méthode SMART
Une fois les besoins et attentes de formation analysés, définir vos objectifs pédagogiques constitue une étape fondamentale dans le développement de votre projet de formation. C’est le message que j’avais tenté de faire passer dans l’article de lundi : cette étape vous permet non seulement de baliser votre parcours, et aussi d’en faciliter l’évaluation. Toutefois il n’est pas toujours évident de définir facilement ses objectifs pédagogiques : quelles formulations utiliser ? faut-il nécessairement intégrer des verbes d’action ? comment vérifier que les objectifs soient effectivement opérationnels ?
Pour avoir enseigné beaucoup avec des Power-points l'an dernier, je ne peux qu'abonder dans le sens de l'article. Si je l'avais connu avant mon enseignement j'aurais évité certaines erreurs au départ, notamment celui de cohérence, de redondance et de segmentation. by romainmartiny Feb 4
Super article avec plein de liens pour d'autres articles sur les présentations multimédias... et pour continuer la lecture! by valeriedormansoucy Feb 2