Avez-vous dit Homo Economicus ?
Comment prenons-nous nos décisions ? Quelles sont les motivations qui sous-tendent nos choix ? Ce genre de questionnement est directement à l’origine de la microéconomie puisqu’elle « prend comme objet d’études les comportements des agents économiques individuels ». Or, les économistes classiques qui ont essayé de comprendre les comportements de ces agents économiques se sont basés sur le modèle contestable d’un homme aux motivations exclusivement égoïstes et utilitariste ; l’homo economicus .
Studio Bagel
Retrouve toutes les vidéos du Studio Bagel en t'abonnant à la chaîne : Suis-nous sur Facebook : sur Twitter : Crédits : Réalisé par Ludoc Ecriture par Monsieur Poulpe et Alison Wheeler Avec Alison Wheeler, Monsieur Poulpe, Natoo, Marion Seclin, Gaël Mectoob, Alex Lutz, Bruno Sanchez, Gunther Love, Tom Dingler, Christophe Marotte, Lionel Laget, Bruno Leveque, Yakhouba Kanoute, Sebastien Lepeu, Theo Brassac, Arthur Lanne et Clément L'incruste.
Des logiciels libres pour créer votre banque par
Cet article a été publié il y a 3 ans 8 mois 5 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. En ces temps de crise financière, le moment idéal n’est-il pas venu pour créer votre banque ?
10 poncifs sur la richesse
La richesse d’un pays n’est pas ce que l’on croit, et surtout pas ce que l’on mesure ... Patrick Viveret analyse 10 idées reçues sur la richesse... Il y est question de monnaie, de tiers secteur, d’économie domestique, d’écologie ...
Le prix humain et écologique de l'industrie minière
A partir du XIXe siècle, l’Homme a commencé à extraire à échelle industrielle les ressources minérales de la Terre, aidé par des techniques de plus en plus performantes et de meilleures connaissances en géologie. Au fur et à mesure, l’exploitation est devenue de plus en plus compliquée : les matériaux ne se trouvent plus sous forme concentrée, ils sont disséminés dans la roche ou le sable qui les enferme. Par conséquent, les techniques d’extraction sont devenues de plus en plus invasives et destructrices.
Une monnaie de secours , le Wir en Suisse
Né en 1934, le réseau Wir, compte 60 000 participants aujourd’hui en Suisse.Extraits d’un texte de Pierre-François Besson publié en février 2005 dans Swissinfo,( Des nombreuses expériences de réseaux d’échange lancées dans les années trente, le système wir est sans doute l’unique survivant. Le système wir est né au plus fort de la crise économique et monétaire des années trente. En 1934, devant la pénurie d’argent liquide, deux petits artisans zurichois mettent en place un système parallèle pour assurer la survie de leurs échanges. Ces hommes s’inspirent de plusieurs penseurs.
Le wir, carburant de l'économie suisse
« C’est tout sauf du folklore », assure Jean-Marc Ayrault évoquant le projet de lancement d’une monnaie locale complémentaire sur l’agglomération nantaise. L’objectif affiché du député-maire est d’aider les entreprises à faire face à la crise des liquidités et à faciliter l’accès au crédit à une période où les défaillances de PME se multiplient. « En 2008, beaucoup d’entreprises sont parvenues à passer le cap parce qu’elles avaient de la trésorerie. Aujourd’hui, elles se trouvent en difficultés parce qu’elles en sont dépourvues », souligne Pascal Bolo, adjoint au maire de Nantes chargé des finances, du dialogue citoyen et de l’évaluation des politiques publiques. Si les élus nantais sont aussi convaincus, c’est aussi qu’ils ont en tête le succès de monnaie locale, comme le Wir. Cantonné à la Suisse, le Wir circule aujourd’hui au sein d’un réseau de 60 000 PME adhérentes, soit 20% des PME helvétiques. Ici, pas de taux d’intérêt.
L'info insolite, le journalisme à l'état mythologique
Située dans une zone grise entre l’information et le divertissement, l’info insolite est un angle mort du journalisme, un sujet jamais évoqué dans les réflexions sur le journalisme. Pendant que les colloques de la profession s’épuisent à réfléchir sur le data-journalisme ou le webdocumentaire, les infos insolites font —avec d’autres— le sale boulot d’audience pour financer ces activités plus prestigieuses. Vieille activité de la presse, Internet redonne une vigueur à l’insolite, pour une simple raison comptable. Une info est un clic, quelle qu’elle soit. L’audience des sites web d’information français est comptabilisée par Nielsen/Médiamétrie qui mesure chaque mois le nombre de visiteurs uniques, une donnée qui est ensuite présentée au marché publicitaire. publicité