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La Cyberdépendance Je vais vous raconter un peu ma petite histoire vis-à-vis de l'Internet, vous verrez qu'elle n'est pas forcément très commune : Personnellement, je me suis mis à l'informatique il y a quelques années, je n'était pas vraiment accro, simple petit Internaute de passage, à une période où je n'était pas vraiment optimiste sur la vie malgré mes efforts, où j'était rejeté par quasiment tout le monde, où une amitié pour moi ne pouvait durer que quelques mois, pas plus, à part un très bon ami. Ce même ami venait de rentrer au collège, j'étais toujours en primaire. Le collège n'étant pas dans la même enceinte que le collège, autant dire que je passais mes journées à arpenter la cour de l'établissement seul à réfléchir sur ma situation sociale ou sur d'autres sujets venant s'immicier dans mon esprit. Alors je dis merci.
Place et rôle des usages des jeux vidéo et d'internet dans la souffrance psychologique Sur la notion d’addiction La notion de toxicomanie, désignée en anglais par l’expression addiction to drug fut progressivement remplacée dans le discours médico-psychiatrique par la notion d’addiction. Le terme, qui désigna tout d’abord les conduites de dépendances à des substances psychoactives (alcool, drogue…), fut étendu à partir des années 1990 aux conduites de dépendances à un comportement, telle que la boulimie, la cleptomanie ou plus récemment l’addiction à internet. Cependant la notion d’addiction ne fait pas l’unanimité auprès des professionnels de la santé mentale, car sa définition reste encore aujourd’hui floue.
L'addiction au numérique chez les jeunes Un cas isolé les addictions chez les jeunes de 15 à 18 ans Addiction Pourcentage Tabac Alcool Drogue Consommation régulière 25% 12% 6% En ont déjà consommé 37% 82% 23% ... More Un cas isolé les addictions chez les jeunes de 15 à 18 ans Addiction Pourcentage Tabac Alcool Drogue Consommation régulière 25% 12% 6% En ont déjà consommé 37% 82% 23% N’en ont jamais consommé 52% 6% 71% Constat: D’après ce tableau, nous constatons que même si la majorité des jeunes ne fument pas, ne se droguent pas ou ne boivent pas d’alcool ou très peu, la plupart a déjà essayé de consommer diverses drogues.
Internet je ne peux vivre sans - Lucrece Online A ce qu’il parait la première étape de guérison d’une addiction est de l’admettre. Donc voila je l’admets je suis accro à internet. Est-ce une bonne chose ? Je ne crois pas. Ai-je envie de guérir ? Je ne sais pas. La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding #Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence ! Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent. Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ?
L’internet de plus en plus prisé, l’internaute de plus en plus mobile Quatre personnes sur cinq ont accès à Internet à leur domicile En 2012, 78 % des personnes âgées de 15 ans ou plus et résidant en France métropolitaine déclarent avoir un accès à Internet à leur domicile, contre 54 % en 2007 et seulement 12 % en 2000. Dans 97 % des cas, il s’agit d’une connexion haut débit. Les plus jeunes sont les plus équipés (tableau 1) : le taux d’équipement culmine à 96 % pour les moins de trente ans, reste supérieur à 85 % avant 60 ans, puis diminue à 62 % entre 60 et 74 ans et chute à 23 % à partir de 75 ans. Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent...
Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Quels sont les signes d’alerte d’un usage excessif ? Le smartphone, ce nouvel ami qui rend accro - 19/02/2015 Le téléphone intelligent rend-t-il accro ? Une étude menée aux États-Unis et au Royaume-Uni montre qu'un nombre croissant d'utilisateurs de smartphones s'avère dépendant à cet outil et notamment sur le plan social. Un quart (25%) des propriétaires de téléphones connectés sont de gros consommateurs d'applications, selon cette enquête menée par l'Institut Apigee et le groupe d'innovation mobile de l'Université de Sandford. Cette population montre de nombreux signes d'addiction à l'outil numérique.
Addictions - Prévention en santé - Ministère des Affaires sociales et de la Santé L’addiction se caractérise par l’impossibilité répétée de contrôler un comportement et la poursuite de ce comportement en dépit de la connaissance de ses conséquences négatives. La notion de conduite addictive comprend à la fois les addictions aux substances psychoactives (alcool, tabac, drogues illicites) mais également les addictions comportementales, sans substances psychoactives (jeu, par exemple). Les addictions posent, en France comme à l’échelle européenne et dans le reste du monde, un problème de santé publique majeur, dont les impacts sont multiples, sanitaires, médicaux et sociaux.La consommation de substances psychoactives est responsable en France de plus de 100 000 décès évitables par accidents et par maladies, dont près de 40 000 par cancers. Les conduites addictives interviennent ainsi dans environ 30 % avant 65 ans (également appelée mortalité prématurée). : le portail des acteurs de santé
Je suis cyberdépendant mais je me soigne … - Le blog CYBERDEPENDANCE Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 23:25 Je blogue à tout va, je « tweete » jour et nuit, je surfe à l’envie et « MSN » avec n’importe qui. Je « googelise » mes contemporains et tchate la nuit, j’émaile et « netvibise » sans retenue. Je télécharge mes envies sur mon iphone et salue mes 1 500 amis sur hi5 et Facebook réunis. Je me filme et me « dailymotionnise », je prends des photos que je « flicke » en un instant… Je déblogue, je suis cyberdépendant… Serons-nous tous un jour accro à cette technologie numérique ?
CRJE - CRESA - CRDASS English Première composante de l'IFAC, le CRJE a été créé, en 2008, à l'initiative du professeur Jean-Luc Vénisse, psychiatre au CHU de Nantes et grâce au soutien financier du CHU de Nantes et deux opérateurs, La Française des Jeux et le PMU. La création du CRJE Le CRJE a été la première structure sur le territoire français à développer une activité de recherche, de formation et d'information sur le jeu excessif et pathologique. Il s'adresse aux joueurs, aux non joueurs, à leur entourage, aux professionnels de la santé et du champ social, ainsi qu'aux opérateurs de jeu privés engagés dans le jeu responsable.Son action s'inscrit dans le cadre des orientations du Plan national de prise en charge et de prévention des addictions 2007-2011 et des recommandations de l'expertise collective de l'INSERM publiée en juillet 2008. La création de L'IFAC
La cyberdépendance, ennemie du sommeil ? Chaque soir, Fabrice, 34 ans, s’adonne à ce qui est devenu un rituel : il se connecte fébrilement, répond à ses courriels, en adresse d’autres, surfe sur ses réseaux sociaux, visite ses nombreux sites préférés. Ses yeux sautent d’une image à l’autre des heures durant. Et comme à chaque connexion, le temps semble s’être arrêté. Internet ne manque pas d’entraîner des cyberdépendances chez ses utilisateurs. Les signes d’alerte sont multiples : sensation récurrente de manque hors connexion, soulagement à la connexion, usage incontrôlé et prolongé d’Internet… Une passion dévorante pour le net peut véritablement naître chez l’internaute, jusqu’à en perturber son sommeil. Selon une étude récente, en effet, différents troubles du sommeil sont susceptibles de se manifester chez les cyberdépendants : troubles de l’endormissement, réveils nocturnes, insomnies ou encore diminution du temps de sommeil.