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Lanceur d'alerte

Lanceur d'alerte
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme « lanceur d'alerte » a été inventé dans les années 1990 par les sociologues Francis Chateauraynaud et Didier Torny. Il a ensuite été popularisé au début des années 2000 par le chercheur André Cicolella, lui-même un « lanceur d'alerte », en interaction avec des juristes, des journalistes et des militants associatifs. La création de cette notion visait explicitement à la séparer de celles de dénonciateur (sincère) et de délateur (intéressé). Contrairement à ce que de nombreux journalistes ont écrit, l'expression de lanceur d'alerte n'est pas une traduction de whistleblower (littéralement celui qui donne un coup de sifflet). Au Québec et au Canada francophone, le terme utilisé pour traduire whistleblower est celui de dénonciateur – bien que le terme « lanceur d'alerte » ait été reconnu en 2006 dans la fiche dénonciation (domaine comptabilité) du Grand Dictionnaire terminologique de l'Office québécois de la langue française[1].

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lanceur_d%27alerte

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PROTÉGEONS NOS LANCEURS D'ALERTE ! PanamaPapers, amiante, affaire du Mediator, écoutes de la NSA, Luxleaks, il y a urgence à protéger ceux qui prennent des risques pour notre démocratie ! Ensemble, demandons aux parlementaires qu'ils garantissent la protection des lanceurs d'alerte lors du vote du projet de loi Sapin 2. En révélant les failles de nos États, de nos économies ou de nos systèmes sanitaires, les lanceurs d'alerte permettent non seulement de renforcer la démocratie mais aussi de sauver des vies. Alors qu'ils agissent dans notre intérêt à tous, ils sont encore trop souvent la cible de représailles.

Oblivion (film) Pour les articles homonymes, voir Oblivion. Oblivion, ou L'Oubli au Québec[1], est un film de science-fiction post-apocalyptique américain écrit, produit et réalisé par Joseph Kosinski, et sorti en 2013. Le scénario est fondé sur le comics du même nom. Selon Kosinsky, Oblivion est un hommage aux films de science-fiction des années 1970[2]. Du moins, un clin d'œil est fait à La Jetée (Chris Marker, 1962). Les médias collaboratifs, plus influençables que les médias traditionnels En ligne, les médias sociaux (blogs, réseaux sociaux, microblogging) ne seraient pas plus subjectifs que les médias dits traditionnels (journaux, chaîne d'infos...) dans leur relais de l'information. Mais les premiers tendent à s'influencer les uns les autres, phénomène que l'on retrouverait bien moins dans le cas des seconds. C'est en substance ce qui ressort d'une étude menée par Yu-Ru Lin, James P.

24h dans une rédaction : Les sources Il y a quatre sortes de sources : 1. Les sources institutionnelles. Ce sont toutes les sources détentrices d’une autorité publique: gouvernement, ministères, administrations, etc. Elles ont l’avantage d’être répertoriées, structurées, productrices de nouvelles officielles. Daniel Domscheit-Berg Daniel Domscheit-Berg (né Berg en 1978), initialement connu sous le pseudonyme de Daniel Schmitt, est un militant allemand de la technologie. Il s'engage dans le projet WikiLeaks durant trois ans, qu'il quitte dans des circonstances houleuses puis tente de créer une plate-forme similaire, OpenLeaks. Biographie[modifier | modifier le code] Originaire de la région de Francfort, se déclarant anarchiste, Daniel Domscheit-Berg est diplômé d'informatique et spécialisé dans la sécurité des réseaux. Il se marie avec Anke Domscheit (de) en 2010[1]. WikiLeaks[modifier | modifier le code]

Julian Assange, Edward Snowden, Hervé Falciani… Que deviennent les lanceurs d’alerte ? Alors que s’ouvre mardi le procès du Français à l’origine des « LuxLeaks », ces personnes s’exposent souvent à des représailles après avoir révélé des documents confidentiels. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Quentin Vasseur Lorsque François Hollande, en déplacement à Boulogne-Billancourt lundi 4 avril, réagit pour la première fois aux révélations « Panama Papers », il se félicite d’abord de la perspective de nouvelles rentrées fiscales. Puis il émet ce commentaire, qu’iTélé relaie dans un tweet : « Il faut protéger les lanceurs d’alerte, ils font un travail utile et prennent des risques. » Il n’en fallait pas plus pour faire réagir Edward Snowden, l’un des plus célèbres lanceurs d’alerte depuis ses révélations sur les pratiques de surveillance de masse de la National Security Agency (NSA) en 2013. L’ancien consultant de l’agence américaine a aussitôt répondu dans un tweet railleur, constitué d’un seul mot en français : « Vraiment ?

Némésis (roman de Philip Roth) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Némésis (titre original en anglais : Nemesis) est un roman de l'écrivain américain Philip Roth, publié aux États-Unis le 5 octobre 2010 aux éditions Houghton Mifflin Harcourt, traduit en français et publié en France le 4 octobre 2012. C'est le dernier tome du « cycle Némésis », qui se trouve être aussi le dernier roman publié de Philip Roth. Écrit entre 2008 et 2009, Némésis constitue le 31e roman de son auteur et paraît aux États-Unis en octobre 2010. Travailler avec les lanceurs d’alerte à l'ère numérique: nouvelles lignes directrices - Observatoire Arabe du Journalisme - AJO Crédit Photo : @Screenshot Du « Watergate » aux « Panama Papers », le journalisme d’investigation qui s’appuie sur des sources confidentielles et des lanceurs d’alerte s’est avéré essentiel au maintien des démocraties et des sociétés ouvertes au niveau international. L’un des principes éthiques centraux du journalisme professionnel est «premièrement, protégez vos sources». Ce principe est inscrit dans les codes professionnels au niveau international, tandis que des lois ont été élaborées au fil des décennies pour soutenir cet engagement éthique. À l’ère de l’analogique, de tels cadres normatifs et réglementaires permettaient aux journalistes de se présenter devant les tribunaux – parfois sous peine de prison – et de refuser de révéler leurs sources.

24h dans une rédaction : 01. Bien utiliser les sources d’information L’accès aux sources Avoir un vrai carnet d’adresses : La qualité du carnet d’adresses et l’étendue des contacts personnels du journaliste vont servir son efficacité et sa crédibilité. Alimenter un fichier de personnes-ressources : Ce fichier, partagé avec l’ensemble de la rédaction, permet de choisir l’interlocuteur le plus fiable ou le plus original, l’expert pertinent pour chaque reportage. Régulièrement tenu à jour, il permet de vérifier que la rédaction ne sollicite pas toujours les mêmes interlocuteurs.

Top 8 des lanceurs d’alerte les plus importants de l’Histoire, de Snowden à Erin Brockovich Si le terme est relativement récent, les actions de ces lanceurs d'alerte ne datent pas d'hier et il a toujours existé des personnes dénonçant de manière désintéressée des agissements, des exactions, décidant de les porter à la connaissance d'instances officielles et du grand public via des articles ou des ouvrages (et aujourd'hui via des plate-formes telle Wikileaks). Parce qu'aujourd'hui, malgré certains discours, les lanceurs d'alerte sont toujours menacés et jugés pour leurs actions, voici une liste des 8 lanceurs d'alertes les plus importants de ces dernières années, histoire de pas oublier à quel point ils nous sont utiles. Edward Snowden Le plus influent et le plus emblématique des lanceurs d'alertes "modernes", Edward Snowden est un ancien employé de la CIA, consultant de la NSA qui a dénoncé avec l'aide de plusieurs journalistes le système de surveillance de masse mis en place par le gouvernement américain. Depuis ses révélations, il a trouvé asile en Russie.

Into the Wild Into the Wild ou Vers l'inconnu au Québec[1] (Into the Wild en version originale) est un film américain réalisé par Sean Penn, sorti en 2007. Il s'agit de l'adaptation cinématographique du récit Voyage au bout de la solitude (Into the Wild pour le titre original), écrit par Jon Krakauer en 1996, et relatant l'histoire réelle de Christopher McCandless. Résumé[modifier | modifier le code] Affamé, il se base sur son guide botanique Tanaina Plantflore[2] qu'il interprète mal et s'empoisonne accidentellement en mangeant des graines de Hedysarum mackenzii[3], toxique et différente de Hedysarum alpinum (une légumineuse ressemblant à la gesse tubéreuse) dont la racine renflée est consommée dans certaines conditions par les populations autochtones. Entre-temps, il comprend que la solitude n'est pas l'idéal de l'homme.

Pluralisme des médias et démocratie Qu’ils défendent la diversité culturelle ou les droits humains, la liberté d’expression ou le libre examen, qu’ils luttent contre le racisme et les préjugés ou pour la fermeture des centres fermés, qu’ils sensibilisent à la cause des indiens mapuches ou qu’ils oeuvrent à la sauvegarde de l’environnement, de nombreux acteurs de la société civile prennent peu à peu conscience de la nécessité d’une réflexion approfondie et critique sur les médias et leur impact sur nos représentations et notre perception du monde. Car pour qu’un autre monde soit possible, l’un des préalables incontournables est que d’autres points de vue puissent s’exprimer et se faire entendre. C’est sans doute là un des enjeux majeurs de la question médiatique aujourd’hui. Les logiques économiques qui réduisent de plus en plus l’information à sa seule valeur commerciale ont des effets majeurs sur le rôle des médias et le traitement de l’information.

France culture : "Le journaliste peut-il toujours refuser de livrer ses sources ?" Une des protections indispensables du métier de journaliste est-elle en train de vaciller ? La DCRI et la justice ont récemment fait pression sur plusieurs journalistes et médias pour qu'ils révèlent leurs sources. Dans ce contexte, le journaliste peut-il dans certains cas livrer une source dans l'intérêt général ? Peut-on redéfinir le contour du secret des sources ? Est-ce compatible avec le "secret défense" ?Pour en parler : - Anne Michel , journaliste au journal Le Monde- Olivier Laurelli , co-fondateur de Reflets.info- Pierre Alonso , journaliste pour Slate.fr, ex-OwniAvec les chroniques de Fabrice Lorvo , avocat spécialiste du droit de la presse au cabinet FTPA :Sur le secret des sources :

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