Sundar Pichai, l’ascension fulgurante d’un simple ingénieur propulsé à la tête d’Alphabet. PDG de Google depuis 2015, Sundar Pichai, 47 ans, était déjà l’un des patrons les plus puissants de la Silicon Valley.
Avec sa désignation à la tête d’Alphabet, la maison mère du moteur de recherche – un groupe qui compte à présent plus de 100 000 employés dans le monde –, l’ingénieur d’origine indienne, réputé discret et consensuel, confirme son ascension. Un parcours emblématique du rêve américain et révélateur du poids des Indiens dans les industries technologiques aux Etats-Unis. “L’effondrement de l’économie en Inde est un coup dur pour celle de la planète !” L’effondrement économique de l’Inde n’est pas surprenant compte-tenu de ce qui se passe dans le monde entier, mais d’une importance capitale puisque la contribution du pays à la croissance mondiale est presque aussi importante que celle des États-Unis.
D’après les dernières prévisions du FMI publiées mi-avril, l’Inde devrait être l’une des seules grandes puissances, avec la Chine, à terminer l’année 2020 avec un taux de croissance positif de son PIB. Cela étant, le ralentissement de la croissance est brutal et sans précédent. L’économie indienne est passée d’un taux de croissance de 4,2% en 2019 à seulement 1,9% en 2020, en comptant sur le fait que les mesures de confinement prises par le gouvernement sont efficaces pour endiguer la pandémie. Même lors de la crise de la balance des paiements au début des années 1990, la contraction n’avait pas été aussi brutale et rapide.
Terrassée par la pandémie, l’Inde investit dans la santé et les infrastructures. L’Inde connaît la pire récession économique de son histoire, mais espère rebondir avec une croissance de 11 % au cours de l’exercice budgétaire 2021-2022, qui commence en avril.
Le sous-continent enregistre une accalmie spectaculaire sur le front de la pandémie de Covid-19, qui a terrassé son économie au moment du confinement national imposé sans préavis à partir du 25 mars 2020, entraînant un chômage massif dans les petites et moyennes entreprises, et l’appauvrissement des migrants. L'Inde, un partenaire stratégique. Rapport d'information n° 584 (2019-2020) de MM.
Ladislas PONIATOWSKI, co-président, Rachid TEMAL, co-président, Hugues SAURY, Olivier CIGOLOTTI et Joël GUERRIAU, fait au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, déposé le 1er juillet 2020 Disponible au format PDF (8,7 Moctets) Synthèse du rapport (634 Koctets) Synthèse du rapport (en anglais) (617 Koctets) Geopolitique de l'Asie. L'Inde, puissance mondiale? General (CR) Alain Lamballe. AVEC ENVIRON UN milliard deux cents millions d’habitants, l’Inde ne peut plus être ignorée du monde.
Elle ne l’ignore pas non plus et tourne son regard vers le large. Certes son auréole et sa puissance d’aujourd’hui paraissent faibles si l’on se réfère à la Chine voisine. L’Inde, champion mondial de la sous-traitance informatique. Si la Chine est l’usine du monde, l’Inde est plutôt son département informatique.
Avec ses bataillons d’ingénieurs qui touchent des salaires cinq fois moins élevés que leurs homologues occidentaux, le pays est devenu, depuis trente ans, un géant des services informatique. Cette activité emploie 4 millions de personnes dans le pays et génère un chiffre d’affaires de 123 milliards d’euros, quasi intégralement gagnés à l’exportation. Le pays abrite quelques-unes des plus grandes entreprises du secteur, au premier rang desquelles Infosys. Créée en 1981 par sept jeunes entrepreneurs indiens, elle emploie aujourd’hui 200 000 salariés, dont 25 000 dans un campus ultramoderne à Bangalore. Le parcours du combattant des étudiants indiens.
L’IIT Madras, l’un des plus prestigieux instituts d’ingénierie d’Inde. Pour la 5ème année consécutive, l'IIT-Madras se classe dans les 1ers instituts d'ingénierie du pays dans le classement 2020 du National Institutional Ranking Framework (NIRF) Cette année, honneur à L'Institut indien de technologie de Madras (Indian Institute of Technology Madras) qui obtient la première place dans la catégorie générale pour la deuxième année consécutive.
Du côté de la catégorie des universités, l'Indian Institute of Science, Bangalore, a été classé numéro un, tandis que l'Université Jawaharlal Nehru et l'Université hindoue Banaras se sont classées respectivement deuxième et troisième. "Nous sommes ravis de conserver notre première place pour la cinquième fois consécutive. Sundar Pichai, le rêve américano-indien. 04 décembre 2019 Aujourd'hui à 21:30 Le nouveau patron d’Alphabet, Sundar Pichai, est né en Inde et a gravi tous les échelons chez Google grâce à un style discret et des compétences solides.
La trajectoire de Sundar Pichai pourrait symboliser à elle seule le rêve américain. Né dans un milieu modeste en Inde, il est à 47 ans le patron d’un géant multimilliardaire, Alphabet, qui emploie plus de 100.000 personnes. "Sundar apporte de l’humilité et une grande passion pour la technologie à nos utilisateurs, à nos partenaires et à nos employés au quotidien. (…) Nous n’aurions pas pu trouver mieux pour mener Google et Alphabet vers l’avenir", ont écrit les deux cofondateurs, Larry Page et Sergey Brin, qui lui ont passé la main mardi. L'ascension de Sundar Pichai, le nouveau PDG de Google. Après l'annonce fracassante de la naissance d'Alphabet, la nouvelle holding qui gèrera notamment Google, Nest, ou Fiber, c'est la nomination de Sundar Pichai, à la tête de Google, qui fait la Une.
L'homme, âgé de 43 ans, fait désormais partie du club des ingénieurs indiens qui ont réussi à l'étranger. Entré à Google en 2004, il a successivement travaillé à la création de la barre de recherche Google, avant d'imposer, quatre ans plus tard, la création de Google Chrome. Un fait d'arme, alors que Firefox et Internet Explorer se disputaient le marché. En juin 2014, le magazine Bloomberg Business lui décerne même le titre "d'homme le plus puissant du mobile", quand il annonce vouloir créer un opérateur mobile virtuel.
Quelques mois après il devient responsable d'Android, de Chrome, de Google Maps et de Youtube. "Maintenant nous allons voir comment on peut prendre différentes applications et les faire fonctionner mieux dans le cadre d'une utilisation mobile. " Les populations d'origine indienne hors de l'Inde : fabrique et enjeux d'une « diaspora » Bibliographie | citer cet article L’année 2015 marque le centenaire du retour du Mahatma Gandhi sur le sol indien après plus de vingt ans passés en Afrique du Sud.
De Bangalore à Whitefield : trajectoire et paysages d’une région urbaine en Inde. À travers l’exemple de Bangalore [1], cinquième ville de l’Inde par la population, cet article donne à voir les défis que constituent tout à la fois l’ampleur de la croissance démographique et les modalités de la croissance économique à l’heure de l’émergence pour gouverner les métropoles indiennes. Bangalore à cet égard est un cas frappant : ne serait-ce qu’estimer sa population pose la question de l’échelle pertinente pour le faire.
En effet si l’unité urbaine prise en compte pour le recensement (Urban Area [U.A.]) est passée de 5,7 à 8,5 millions d’habitants entre 2001 et 2011, la population du Greater Bangalore aurait pour sa part bondi de 8,49 à 12,38 millions d’habitants (Center for Policy Research, 2013) [2]. Cet article propose d’éclairer les mécanismes et les formes de cette croissance spatiale spectaculaire. 1. La trajectoire géo-historique d’une métropole technopolitaine 1.1. 1.2. Bangalore en 1924. Bangalore, capitale indienne de l'informatique. Publication : 23 sept. 2013 À partir de 2000, l'Inde a connu une croissance économique de 8 % en moyenne par an. Deuxième pays le plus peuplé de la planète avec 1,2 milliard d'habitants, elle s'est ainsi considérablement enrichie et modernisée.
Même si sa croissance est descendue sous les 5 % depuis 2011, elle est l'un des principaux pays émergents. Bangalore symbolise parfaitement l'essor fulgurant de l'économie indienne. Située dans l'État du Karnataka, dans le sud du pays, c'est avec plus de 8 millions d'habitants la cinquième ville la plus peuplée de l'Inde. Ces entreprises trouvent à Bangalore une main-d'œuvre anglophone, d'un faible coût et hautement qualifiée. C'est essentiellement grâce à Bangalore que l'Inde est devenue le premier exportateur mondial de services informatiques aux entreprises. Bangalore : une technopole indienne entre dynamisme, inégalités et. L'image de Bangalore, grande métropole dans le sud de l'Inde, a été prise par le satellite Sentinel 2A le 19 mai 2019.
Il s’agit d’une image en couleurs naturelles de résolution native à 10m. Contient des informations © COPERNICUS SENTINEL 2019, tous droits réservés. Bangalore, une technopole du Sud confrontée à de nombreux défis sociaux et environnementaux Un milieu et un territoire spécifique : les hauts plateaux indiens du Sud. RevueMosella2004. Accord de partenariat avec Hyderabad. Bordeaux Métropole inspire des projets liés au développement urbain et à l'aéronautique à Hyderabad, en Inde. Une délégation s'est rendue sur place du 25 novembre au 2 décembre 2015. Suite à la signature du 1er accord de coopération, le 13 septembre 2015 avec la ville d'Hyderabad, une mission s’est rendue en Inde du 25 novembre au 2 décembre 2015. Objectif : enclencher la mise en œuvre de plusieurs projets faisant appel à l'expertise de Bordeaux Métropole.
Bangalore, Inde. La fabrique de l’innovation : un monde en mutation (1/4) - De Bangalore à la Silicon Valley : les modèles de technopôles. « La fabrique de l’innovation, un monde en mutation » . Nous allons parler d’innovation toute cette semaine dans Culturesmonde : comment s’inventent les objets, les modes de vie qui transforment notre quotidien ? Et pour commencer par le commencement nous explorons aujourd’hui ces laboratoires de l’innovation aux quatre coins du monde: de Bangalore à la Silicon Valley, les modèles de technopoles en question.
La silicon valley est le cœur palpitant de l’innovation technologique mondiale: de la micro-informatique aux réseaux sociaux, les inventions majeures de ces dernières années sont nées dans des cerveaux de la côte ouest américaine.