Coronavirus : les conséquences de l'épidémie sur l'industrie de la tech. Contagiosité, létalité... les études médicales sur le nouveau coronavirus (2019-nCoV) sont en cours et les résultats préliminaires restent incertains.
Son taux de reproduction et sa mortalité seraient inférieurs à celui de son cousin, le Sras, qui fut à l'origine d'une épidémie fin 2002. Néanmoins, le coronavirus se transmet plus facilement et est plus dangereux que la grippe saisonnière, ce qui explique qu'il soit à l'origine de nombreuses craintes. Responsable de plusieurs centaines de morts, c'est une catastrophe humaine qui a aussi de fortes répercussions économiques, la Chine — que l'on présente souvent comme l'usine du monde — tournant au ralenti depuis quelques semaines. Bien entendu, le secteur high-tech n'est pas épargné, bien au contraire.
Coronavirus : crise économique ou changement de modèle ? Tourisme, transport, événementiel… Plusieurs secteurs de l’économie sont très fortement impactés par l’épidémie de Covid-19.
Lundi, les bourses mondiales ont connu des chutes comparables à celles enregistrées en 2008, accentuées par la baisse des cours du pétrole. Pour aider les membres de l’Union européenne à surmonter les conséquences de la pandémie, le Conseil européen a annoncé mardi la création d’un fonds de 25 milliards d’euros. Et alors que la France se prépare au passage au stade 3 de la crise sanitaire, Bruno Le Maire, Ministre de l'Économie et des Finances, a dévoilé une série de mesures à destination des entreprises.
La crise de 2020 est-elle vraiment comparable à celle de 1929 ? A l’instar des autres grandes Bourses de la planète, Wall Street a accusé un krach historique sur février-mars.
Aux États-Unis, sur la seule séance du 16 mars dernier, le Dow Jones a dégringolé de 12,90%. “Hormis le krach historique du 19 octobre 1987, cette chute dépassait de peu la baisse du 28 octobre 1929 (-12,8%) et celle du 29 octobre 1929 (-11,7%), deux journées noires à Wall Street. Quelques jours plus tard, la Bourse de New York rebondissait de 11,37%, sa plus forte hausse depuis les années 30”, relève à cet égard John Plassard, spécialiste en investissement chez Mirabaud . De ce côté-ci de l’Atlantique, selon les estimations du gouvernement français, deux mois d’arrêt de l’économie française “signeraient une chute de 6% du PIB du pays et une situation économique qui serait difficilement gérable, une crise économique majeure succédant alors à une crise sanitaire majeure”, rapporte l’expert. Des similitudes qui sautent aux yeux Les grandes puissances sortent le bazooka. Coronavirus et confinement : licenciement, analyse et impacts - HOUDART et ASSOCIÉS.
Le confinement des français en lien avec le coronavirus (Covid-19) présente-t-il un impact pour les employeurs et les travailleurs dans les procédures disciplinaires déjà engagées ou sur le point d’être engagées ?
La réponse est négative et le droit actuel est adapté pour que, tant les employeurs que les salariés et les agents publics puissent, pour les uns se défendre, pour les autres assumer leur rôle d’employeur. Par un Décret n° 2020-260 du 16 mars 2020 portant réglementation des déplacements dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus covid-19 publié au journal officiel le 16 mars 2020, le gouvernement entend restreindre les déplacements des français et les inciter à rester à leur domicile. Que dit le décret ? L’article 1 de ce décret énonce : Quelle est La problématique juridique ? Les conséquences économiques du coronavirus. Un confinement de quatre semaines, c'est 3 points de PIB en moins...
Croissance : l’économie française a accusé un plongeon historique en mars... L'impact sur l'économie française de la propagation du coronavirus et des mesures de confinement a été pour le moins spectaculaire.
En France, en version définitive, l'indice des directeurs d'achat (IHS) pour le secteur des services est ressorti en mars en nette baisse à 27,4 après 52,5 en février et une version "flash" de 29. L'indice composite, qui intègre l'activité dans les services et l'industrie, s'est établi, lui, à 28,9 après 52 en février et une version "flash" de 30,2. En zone euro, en version définitive, l'indice des directeurs d'achat (IHS) pour le secteur des services s'est effondré en mars à 26,4 après 52,6 en février et une version "flash" de 28,4. Les Français doivent s'attendre à une baisse de pouvoir d'achat après le confinement, selon l'industrie agroalimentaire... Les entreprises de l'agroalimentaire pourraient à terme répercuter des hausses de coût liées à l'augmentation des prix des matières premières, à la maintenance des outils de production ou à l'achat d'équipements de protection pour les salariés.
Pour l'instant, les industries agroalimentaires absorbent le choc. Mais la crise du coronavirus pourrait bien faire monter les prix à la caisse, préviennent-elles, dégradant ainsi le pouvoir d'achat des Français. “La France est la triste championne de la récession !” Vraisemblablement non satisfaite d’être déjà numéro un mondial de la pression fiscale et des dépenses publiques (avec des niveaux de respectivement 45 % et 56 % de son PIB), la France se paie désormais le triste “luxe” d’être “championne du monde” de la récession.
En effet, au premier trimestre 2020, qui ne comportait pourtant que 14 jours de confinement, le PIB français a chuté de 5,8%. Le confinement a provoqué un plongeon historique de l’activité en France... L'économie française n'est pas au meilleur de sa forme.
Du fait du confinement mis en place pour lutter contre la pandémie de coronavirus, l'activité dans l'Hexagone a plongé de 27% au mois d'avril par rapport à la trajectoire attendue avant la crise, a estimé mardi la Banque de France. Début mars, la banque centrale avait estimé la croissance de l'économie française à 0,1% pour le premier trimestre 2020, et la chute de 27% de l'activité s'entend par rapport au niveau qui aurait été atteint si elle avait continué à croître à ce rythme en avril. L'activité a amorcé lundi une reprise sous contraintes après deux mois de confinement.
"Nous rentrons dans un monde qui est nouveau, dans lequel il faut que nous apprenions à conjuguer activité économique, travail et circulation du virus, et le succès de ce défi que nous avons à relever, il dépendra de chacun d'entre nous", a affirmé le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur BFM Business. Dépression, rebond… quels scénarios pour l’économie ?... La croissance mondiale est à la peine depuis l'apparition du coronavirus en Chine à la mi-janvier, l'économie mondiale accusant la pire récession depuis la Grande dépression des années 30...
Pour l'heure, de nombreux économistes tablent sur un scénario dit en U. Après la chute de l'activité, provoquée par la mise à l'arrêt des usines dans les principales économies mondiales, la croissance resterait quelques mois dans le creux de la vague avant de repartir. La reprise prendrait du temps à se dessiner, pénalisée par des secteurs durablement touchés comme le tourisme ou le commerce. Pour des institutions comme le Fonds monétaire international ou la Commission européenne, la France et les autres pays européens pourraient suivre cette trajectoire et sortir la tête hors de l'eau à partir de 2021, à condition qu'il n'y ait pas de seconde vague de la pandémie. La perte d’activité économique due au Covid-19... Covid-19 : la croissance française en danger. Le Covid-19 fait trembler l’économie. La dissémination du nouveau coronavirus va brutalement freiner l’économie mondiale dont la croissance ne devrait pas dépasser 2,4% cette année dans le meilleur des cas, a averti hier l’OCDE (voir en infographie).
L’organisation internationale précise que son scénario principal est celui d’une crise sanitaire atteignant son pic en Chine durant le premier trimestre 2020 et pour laquelle les foyers dans d’autres pays restent contenus. La Chine héberge aujourd’hui plus de 20% de l’industrie mondiale, contre moins de 8% en 2002, un an avant l’épidémie de Sras, tandis que sa part dans le PIB mondial est passée de 6% à plus de 16%. Scénario pire en cas d’épidémie durable Une épidémie plus durable, qui s’étendrait largement en Asie-Pacifique, en Europe et en Amérique du Nord, diviserait par deux la croissance mondiale cette année, qui pourrait alors tomber à 1,4%, avertit l’OCDE.
On assisterait dans ce cas à une contraction d’environ 3,75% du commerce mondial. Dossier : COVID-19 : quels impacts économiques. Page crée le 20/03/2020, dernières mises à jour le: - 09/04/2020 rajout 6 articles (avec 1 nouvelle rubrique) - 08/04/2020 rajout 7 articles (avec 1 nouvelle rubrique) - 07/04/2020 rajout 5 articles - 06/04/2020 rajout 1 article - 05/04/2020 rajout 5 articles - 03/04/2020 rajout 3 articlesLes derniers articles sont mis en début de chaque partie Sommaire1 – Les dossiers qui proposent une synthèse2 – Les prévisions économiques et financières3 – Les situations nationales4 – Le rôle de l’Union européenne5 – Les débats de politique économique6 – Impacts sectoriels7 – Impacts sur les échanges internationaux8 – Impacts sur la transition environnementale9 - Situations des économies en développement10 - Données sanitaires11 - Économie politique des épidémies12 - Travaux de recherche en économie13 - politiques sanitaires14 - Impact social 1 – Les dossiers qui proposent une synthèse 2 - Les prévisions économiques et financières 3 – Les situations nationales.
Covid-19 : l'impact de l'épidémie sur l'économie mondiale - Vidéo Dailymotion. Covid-19 : «L’impact sera extrêmement négatif sur l ... Coronavirus : « Les difficultés financières des PME et des ETI pourraient devenir rapidement intenables » Alors que l’épidémie de Covid-19 continue de se propager, la menace d’un effondrement économique global fait craindre le pire pour les entreprises.
Pierre-Antoine Dusoulier, CEO d’iBanFirst, analyse les conséquences possibles de la pandémie sur l’économie mondiale. Quel sera l’impact économique de la pandémie pour la France ? Du fait de la contraction du PIB au quatrième trimestre 2019, la France pourrait déjà être en récession au moment où nous écrivons. Le gouvernement table désormais sur une baisse de 1 % du PIB cette année, contre une estimation initiale à +1,3 %. Les principales mesures suivantes ont d’ores et déjà été prises : Report de paiement des impôts et des cotisations pour les entreprises, soit un montant d’environ 45 milliards d’euros ;Garantie de prêt aux PME/ETI, pour environ 300 milliards d’euros ;Instauration du chômage partiel, ce qui représente un coût d’environ 15 à 20 milliards d’euros si la crise dure plus d’un mois.
Faut-il craindre une récession mondiale ? L'impact vertigineux du coronavirus sur l'économie française en quatre chiffres. Le gouverneur de la Banque de France a dévoilé ce mardi l'impact vertigineux du confinement sur l'économie française. Face à cette crise sans précédent, Villeroy de Galhau a appelé dans ce contexte de redémarrage de l'activité à "une action patiente" et "sélective", pour aider les entreprises "qui vont se trouver en difficulté" et avec "trop de dettes". Voici en quatre chiffres, le choc subi par l'économie hexagonale. Six points de croissance en moins en deux mois.