Siège des Nations unies. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Histoire[modifier | modifier le code] Entre 1946 et 1951, le siège provisoire des Nations unies est établi au palais de Chaillot (Paris)[1]. Bénéficiant d'une exception d'extraterritorialité temporaire, il accueille la troisième assemblée générale des Nations unies[1]. Pour cela, une cérémonie est organisée le 1er septembre 1948, lors de laquelle le ministre des affaires étrangères français Maurice Schumann remet symboliquement les clefs du palais au secrétaire général de l'ONU, Trygve Lie[1].
L'Assemblée générale des Nations unies y adopte la Déclaration universelle des droits de l'homme le . Rôle[modifier | modifier le code] Le complexe abrite cinq des six principaux organes de l'ONU : Le dernier organe principal, la Cour internationale de justice, a son siège à la Haye aux Pays-Bas. Architecture[modifier | modifier le code] Le complexe comprend trois principaux bâtiments : Visite[modifier | modifier le code] Information sur les visites. Les Deux Plateaux,Wikipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’œuvre[modifier | modifier le code] L'œuvre est faite en marbre de Carrare et en marbre noir des Pyrénées, qui sont considérés comme les matériaux les plus nobles de la sculpture (utilisés par exemple par Michel-Ange dans la chapelle Sixtine, ou par Rodin) et sont une référence à la statuaire antique. La façon dont sont disposées les colonnes forme une sorte de damier : peut-être est-ce une référence au jeu.
Elles sont toutes alignées : là encore, une référence à l'architecture antique du lieu. Les colonnes sont dans des tranchées en référence à l'histoire du lieu, qui fut auparavant, en 1899, transformé en une usine électrique semi-enterrée. Sous cette construction, on entend l'eau qui coule : Buren donne ainsi une autre perception du lieu, une perception sensitive. Fiche HDA-Les deux plateaux. Les colonnes de Buren. Bansky,Unwelcome intervention. Unwelcome intervention. Art Attack - Banksy - Palestine mur près de Qalandiya - juillet 2005 En juillet 2005, le graffeur anglais Banksy, dont l'anonymat fait perdurer le mystère, se rend en Cisjordanie à l'occasion de l'anniversaire de l'avis rendu par la Cour Internationale de Justice de La Haye condamnant la barrière de séparation israélo-palestinienne.
Afin de protester contre le mur de Gaza, il réalise clandestinement neuf fresques en territoire palestinien sous le regard médusé des soldats des forces de sécurité qui bien que relativement tendus - coups de feu de sommation - le laisse faire, fusils braqués sur son équipe. Il est épaulé dans son action par des artistes du street art notamment l'américain Ron English transformant le mur en vaste toile vierge. Cette intervention coup de poing se fait sans l'aval des autorités. Afin d'éviter de se faire tirer dessus, l'équipe agit en plein jour faisant en sorte d'être bien identifiée comme touriste. Window on the West Bank - Banksy - Palestine juillet 2005. Invader (artiste) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Invader. Invader, ou Space Invader, est un artiste urbain français, né en 1969[1]. Invader a fait ses études à l'école des Beaux-Arts de Rouen[réf. nécessaire]. La pose de ces figures, mi-vaisseaux, mi-visages, effectuée le plus souvent sans accord formel préalable avec le propriétaire de l'espace concerné, constitue ce qu'il appelle l'« invasion ». Depuis 1998[2], Invader sème ses mosaïques dans les villes du monde entier, incognito, car l’artiste français ne souhaite pas se faire démasquer. Matériau difficilement altérable, la mosaïque résiste très bien aux ravages du temps, même si quelques œuvres ont été dégradées, voire vandalisées. La démarche de l’artiste est multiple : la contamination de l’espace visuel et public, la rencontre entre le pixel et la mosaïque, et la transposition d'un jeu vidéo dans la réalité[5].
Les modèles sont préfabriqués et l’artiste voyage avec.