Avec le déconfinement, les associations perdent de nouveau leurs bénévoles. L’entreprise à l’heure du « reset » Chroniques d’experts Stratégie Le 29/04/2020 © Getty Images.
Covid-19 : après la pandémie, une grave crise alimentaire menace au nord comme au sud. [Etude] Pendant le confinement, les salariés cherchent à fuir... leur employeur actuel - RH. Alerte aux DRH.
Si ces derniers pensaient que la crise sanitaire provoquée par la pandémie de Covid-19 et les incertitudes économiques qui s'ensuivront allaient couper l'envie d'aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs, ils vont être vite déçus. En effet, Hellowork a réalisé une étude auprès d'un panel de salariés en poste qui cherchaient déjà un nouvel emploi avant le début du confinement. (*) Partir un jour... Ils sont 86 % à déclarer ne pas avoir changé d'avis et donc à continuer de penser qu'ils peuvent trouver mieux ailleurs.
7 Changements Profonds Dans L’Organisation Du Travail Qui Perdureront. Télétravail et télémanagement imposé, équipes dispersées, chômage technique, rupture du lien social… Le confinement lié à la crise sanitaire du Covid-19 a subitement impacté les habitudes de travail de chacun. 7 impacts perdureront, à la fois pour les équipes et les environnements de travail.
Humilité, solidarité, mais aussi inventivité et résilience seront des qualités indispensables pour tous sortir grandis de cette épreuve. « Au sein de la Direction de la Transformation du groupe Orange, la Villa Bonne Nouvelle accompagne l’évolution des modes et des environnements de travail et est plus que jamais à l’écoute des 7 messages clés qu’adressent aujourd’hui les start-up en résidence. » Maya Sérigne, Directrice Villa Bonne Nouvelle chez Orange. L’immobilier va devenir le principal levier pour mieux collaborer et faire face à une nouvelle contrainte économique De nouvelles solutions vont répondre au besoin de se retrouver, même virtuellement [1] Etude Deskeo mars 2020.
Coronavirus : pourquoi l’Afrique résiste mieux que le reste du monde. L’afro-alarmisme n’a-t-il pas été excessif ?
Les scénarios catastrophe spéculant sur l’effet déstabilisateur du Covid-19 en Afrique n’ont-ils pas été un peu hâtifs ? Plus de onze semaines après son apparition sur le continent (le 14 février en Egypte), le séisme sanitaire tant redouté par de nombreux responsables ne s’est, à ce jour, pas produit. Alors que l’Afrique concentre 17 % de la population mondiale, elle enregistrait vendredi 8 mai 54 027 cas de contamination (soit 1,4 % du total mondial) et 2 074 morts (0,7 %), selon le bulletin quotidien diffusé par le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC), à Addis-Abeba.
Le continent fait bien meilleure figure que l’Europe ou les Etats-Unis. Conséquences de la fermeture des écoles. En savoir plus sur les fermetures d'écoles et la réponse éducative au COVID-19 La fermeture, même temporaire, des établissements scolaires entraîne des coûts sociaux et économiques élevés.
Les perturbations qu’elle induit affectent toutes les communautés, mais les conséquences sont particulièrement graves pour les enfants défavorisés et leurs familles. Quelques-unes des raisons qui expliquent en quoi la fermeture des établissements scolaires est préjudiciable sont exposées ci-dessous. Penser l’après : Pour une école de l’essentiel. Les chercheuses et les chercheurs qui contribuent chaque jour à alimenter notre média en partageant leurs connaissances et leurs analyses éclairées jouent un rôle de premier plan pendant cette période si particulière.
En leur compagnie, commençons à penser la vie post-crise, à nous outiller pour interroger les causes et les effets de la pandémie, et préparons-nous à inventer, ensemble, le monde d’après. Nous venons de subir, coup sur coup, deux chocs qui nous contraignent à revoir notre façon de concevoir et de mettre en œuvre l’action éducative. Le premier choc est celui de la révolution numérique. « Mettons l’environnement au cœur de la reprise économique » Tribune.
Les grands patrons appellent à "mettre l’environnement au cœur de la reprise" Oublier la transition écologique dans la relance serait une "erreur historique", explique depuis quelques jours le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire.
Dans une tribune publiée ce lundi 4 mai dans le journal Le Monde, les grands patrons veulent montrer qu’ils ont compris et affirment "leur engagement collectif". À l’initiative de Jean-Laurent Bonnafé, administrateur directeur général de BNP Paribas et président d’EPE (Entreprises pour l’environnement), celle-ci réunit la signature de plus de 90 grands patrons : ceux de Danone, Saint Gobain, Solvay mais aussi Vallourec, Arcelor Mittal, Total ainsi que les deux organisations patronales, le Medef et l’Afep. Un vrai revirement pour ces deux dernières qui jusque-là visaient plutôt un moratoire sur toute nouvelle obligation en matière d'environnement. COVID19 et risque d'exclusion interview Laurence Drake fondation FACE. Comment construire ensemble le monde d'après pour qu'il soit différent. Coronavirus : le monde associatif en état d'alerte. Christophe Itier: «Aucune entreprise de l’ESS ne doit rester sans solution»
Contre les pandémies, l’écologie, par Sonia Shah (Le Monde diplomatique, mars 2020) Addressing climate change post-coronavirus. A ferocious pandemic is sweeping the globe, threatening lives and livelihoods at an alarming rate.
As infection and death rates continue to rise, resident movement is restricted, economic activity is curtailed, governments resort to extraordinary measures, and individuals and corporations scramble to adjust. In the blink of an eye, the coronavirus has upended the world’s operating assumptions. Now, all attention is focused on countering this new and extreme threat, and on blunting the force of the major recession that is likely to follow. Amid this dislocation, it is easy to forget that just a few short months ago, the debate about climate change, the socioeconomic impacts it gives rise to, and the collective response it calls for were gaining momentum. Comment le Coronavirus va révolutionner le travail. Le télétravail s’est développé de façon exponentielle ces dernières semaines, confinement oblige.
D’après le ministère du Travail, huit millions de salariés l’exercent désormais, contre 1,8 million en novembre dernier. Et ils ne sont pas les seuls. Le nombre de médecins proposant la télé-consultation sur Doctolib a explosé, passant de 3 500 à 35 000 en quinze jours. La crise du Covid-19, stress test grandeur nature de la RSE. Quelques mois avant la crise, la Responsabilité sociétale des entreprises (RSE) ou la Raison d’être avaient bonne presse dans les communications des entreprises, jusqu’aux plus grands banquiers et grandes fédérations d’entreprises qui assuraient y voir une source de performance.
En mettant à plat l’économie, le Covid-19 teste leur engagement réel. C’est d’abord la façon dont les entreprises ont répondu à la crise, dans l'urgence, qui est scrutée. Et "au niveau opérationnel, force est de constater que les entreprises qui portaient une forte attention au social, notamment avec un solide dialogue avec les parties prenantes, ont pu agir plus rapidement, et de façon coordonnée avec leurs collaborateurs", souligne Francesco Bellino, directeur associé en charge de la Sustainability au Boston Consulting group. Des réponses rapides et engagées à la crise Première responsabilité : assurer la protection des salariés.