La pétition #EUdataP à l'international. Rejoignez une association professionnelle dynamique !
Fondée en 1904, l’Association des archivistes français (AAF) regroupe plus de 1700 adhérents, professionnels des archives du secteur public comme du secteur privé.Consciente du défi que représente, dans le monde contemporain, la maîtrise de la production documentaire et de l’information qu’elle renferme, l’Association des archivistes français se définit comme un organe permanent de réflexion, de formation et d’initiative au service des sources de la mémoire, celles d’hier comme celles de demain.
L’AAF décline son activité au travers du conseil d’administration et de différentes sections, groupes régionaux, commissions et groupes de travail. Ses publications et formations sont gérées au sein de son EURL Archivistes français formation. Dans le cadre du développement de ses activités, l’AAF recherche un coordinateur pour son centre de formation. Missions Activités. Les archivistes ne veulent pas du droit à l'oubli. AAF : Droit à l'oubli, les projets européens inquiètent archivistes et généalogistes. Laisserez-vous disparaitre la protection de vos données ? Bruxelles, 19 mars 2013 — La commission des « affaires juridiques » (JURI), menée par Marielle Gallo (France - EPP), vient de voter son avis (en) sur la nouvelle législation relative à la protection des données proposée par la Commission européenne.
Avec ce dernier vote pour avis, légèrement moins catastrophique que les précédents, le Parlement européen affaiblit une fois encore la protection des données personnelles des citoyens européens. Les membres des quatre commissions ayant exprimé leur avis ont choisi de se ranger aux côtés des multinationales américaines qui, comme Facebook et Google, collectent, traitent et vendent des données concernant nos vies quotidiennes. Anonymisation et généalogie. La commission européenne se penche sur le droit à l'oubli.
Ce que je peux comprendre d'un point de vue juridique, surtout vu de mon travail. Les justiciables condamnés ou non, préfèrent ne pas voir leurs noms apparaitre dans des décisions de justice. C'est d'ailleurs pourquoi les institutions judiciaires suivent les recommandations de la CNIL. Vous avez dit généalogie ? Et si vous lisiez mon blog l'année prochaine ... - Bon courage !
A Messieurs les Historiens, Généalogistes, Notaires et autres. N'oubliez pas d'en remercier nos Chers Députés Européens" Relevé dans xxxxxxxxxxxxx de xxxxxxxx xxxx Mais, bon, je suis bonne poire, je vous donnes à lire cette année ( donc pas de panique), un morceau de la généalogie de Bonaparte 1er Consul relevé en 1802. Relevé dans les Affiches d'Angers de Méssidor 1802. Pour de nouvelles approches juridiques en matière d’archives et de données personnelles. Le droit à l’oubli sur Internet : une idée dangereuse. Dans son dernier rapport annuel, la défenseure des enfants aborde la question de donner aux adolescents la possibilité d’effacer d’Internet les données personnelles qu’ils peuvent regretter, en grandissant, d’y avoir mis un peu trop vite… Mais ce ne sont pas les seuls à avoir besoin d’être protégés dans ce domaine.
Bien des adultes, notamment après une séparation ou un divorce, aimeraient pouvoir faire disparaître les images de leur vie privée passée qui peuvent s’avérer problématiques lors de la construction d’une nouvelle relation. Le droit de la presse bientôt sacrifié sur l'autel de l'oubli numérique. Sous couvert d'instaurer un "droit à l'oubli numérique", on pourrait bien assister à un profond bouleversement du droit de la presse résultant de la loi du 29 juillet 1881, considérée à juste titre comme un monument de notre République.
En France, sous réserve de ne pas porter indument atteinte à la réputation ou à la vie privée d’autrui, chacun est libre d’exprimer des opinions sur un tiers ou de révéler des faits relatifs à la vie professionnelle, politique ou associative d'une personne. La protection de cette liberté d'expression est renforcée par de courts délais de prescription en matière de diffamation. La commission européenne va-t-elle fermer les archives en ligne ? Les archives en ligne sont régulièrement l'objet d'attaques de la part d'organismes gouvernementaux, nous nous étions déjà émus de décisions de la CADA et de la CNIL qui allaient à contre sens pour le généalogiste.
Désormais c'est la commission européenne qui au nom du droit à l'oubli attaque ces ressources, comme nous le signale la très sérieuse AAF (Association des Archivistes de France) Ce futur règlement européen porterait sur les données personnelles sur toutes leurs formes, informatiques ou papier. S’il est évident que la réutilisation des informations personnelles à l’insu des citoyens et à des fins commerciales, qui est largement facilitée par les techniques informatiques, doit être combattue par tous les moyens, la destruction systématique de ces données ou leur anonymisation pour éviter des dérives revient en revanche à jeter le bébé avec l’eau du bain. Citoyens contre le projet de réglement européen sur les données personnelles. Qui veut la tête des généalogistes ? - Le combat pour la gratuité de la consultation en ligne, des Archives est loin d'être terminé que déjà, un deuxième s'annonce.
Plus grave encore que la gratuité des Archives en ligne, plus d'Archives du tout. L'alerte est suffisamment grave pour que l'association des archivistes français (AAF) sonne le tocsin. Relayée par la fédération française de généalogie et par des structures associatives comme FranceGenWeb, la mobilisation prend de l'ampleur contre un projet de règlement européen sur les données personnelles. » le droit à l’oubli et nos merveilleux fonctionnaires de l’Union européenne - Le blog de Pixis. Il y a lieu effectivement de s’inquiéter de ce que veut faire la Commission Européenne, car le moins que l’on puisse dire c’est que ce n’est pas clair.
Dans les déclarations de la vice-présidente de la Commission européenne parues dans Le Nouvel Obs, les explications ne sont pas plus explicites. Pas plus d’ailleurs dans ce qu’elle dit sur le site « Toute l’Europe » On pourrait penser dans un premier temps qu’il s’agit seulement d’un droit à l’oubli numérique, i.e. le droit pour une personne de disparaître des moteurs de recherche s’il le désire. Mais pas que. Et aucun exemple, aucune explication claire sur le site d’Europa qui ‘présente’ la chose (mais qu’en anglais) Il ne semble pas qu’il s’agisse de mettre un blanc dans tous les documents papier (livres d’histoire ou autres, documents notariaux, livres, procès-verbaux etc..) existant à ce jour – du moins peut-on l’espérer car ils peuvent bien décider que la loi aura un effet rétroactif Mais pour le reste rien de précis.
» le droit à l’oubli (suite) - Le blog de Pixis. Voici ce qu’en dit l’AAF (Association des Archivistes Français) : « (…) la Commission européenne et le Parlement européen se préparent à adopter, pour le printemps 2013, une solution radicale : un règlement qui obligera tous les organismes publics et privés à détruire ou à anonymiser ces données une fois que le traitement pour lequel elles auront été collectées sera achevé, ou passé un court délai. (…).
La Commission européenne et le Parlement européen se préparent à adopter, pour le printemps 2013, une solution radicale : un règlement qui obligera tous les organismes publics et privés à détruire ou à anonymiser ces données une fois que le traitement pour lequel elles auront été collectées sera achevé, ou passé un court délai. (…) Pour lire son point de vue complet et si vous voulez voter pour la pétition qu’elle a lancée, allez à Remarque personnelle : dans cette logique, le casier judiciaire n’existera plus. Au nom du droit à l’oubli, quel patrimoine pour l’Europe de demain ? - Archives de Brest métropole océane. La commission européenne travaille actuellement sur un projet de règlement pour défendre le droit à l’oubli sur Internet (= le droit pour un individu de disparaitre des moteurs de recherche "à l'expression ...de sa volonté") En pratique, cela signifie anonymiser toute donnée personnelle informatisée dès la fin de son utilité.
Le problème est que des archives contiennent des données personnelles. Nous les protégeons de toute communication pendant un temps donné au nom de l’individu (entre 50 ans et 120 ans selon le type de d’information), mais les rendons accessibles à tous passé le délai pour découvrir l’histoire, le passé, pour en comprendre le présent et l’avenir,… Merci de relayer massivement cette information à vos contacts, presse... Plus d'infos ici :