C'est l'histoire d'un Président... vous la connaissez ? Aller au contenu François Ruffin Menu Rejoignez-nous C’est l’histoire d’un Président… vous la connaissez ?
Partager sur facebook Partager sur twitter Partager sur whatsapp Partager sur email C'est l'histoire d'un Président qui fait de son mieux pour convertir la tragédie environnementale en cours en comédie, changer nos larmes en rires. <a href=" target="_blank" rel="noopener"><img src=" alt="" width="1280" height="700" /><br />Lire cette vidéo sur YouTube</a> C’est l’histoire d’un président, vous la connaissez ? Un Président qui change nos rires en larmes Nous vivons une tragédie, une tragédie au ralenti, une tragédie pour nous, une tragédie pour nos enfants. C’est une comédie que vous jouez ici. Comment les lobbys industriels ont saboté les réformes voulues par les citoyens de la Convention climat.
Où est donc passée l’obligation de rénovation thermique des logements ?
Qui a ajouté cette dérogation concernant l’interdiction de nouveaux centres commerciaux ? Pourquoi la redevance sur les engrais azotés est-elle reportée ? Inaction climatique de l’État : de nouveaux arguments déposés au Conseil d’État - L'Affaire du Siècle. Le 19 novembre dernier, dans le recours de la commune de Grande-Synthe soutenu par l’Affaire du Siècle, le Conseil d’État a donné trois mois au gouvernement pour “justifier que la trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030 pourra être respectée“.
Pour répondre à cette question, nous venons de déposer des arguments juridiques, accompagnant une étude de plus de 250 pages réalisée par le cabinet d’expertise indépendant Carbone 4, pour démontrer qu’il est indispensable de mettre en place des mesures supplémentaires pour que la France respecte ses engagements climatiques à l’horizon 2030. Cette étude intitulée “L’État français se donne-t-il les moyens de son ambition climat ?” Haut conseil pour le climat : le projet de loi climat « doit renforcer la stratégie de décarbonation » Avant son passage devant le Parlement, le Haut conseil pour le climat appelle à renforcer les mesures retenues dans le projet de loi climat au regard de la Stratégie nationale bas carbone pour garantir l'atteinte des objectifs climatiques en France.
(624) Victoire historique pour le climat : l’État condamné, l’inaction climatique est illégale ! Le rapport parlementaire qui veut mettre les militants écologistes en prison. Le tempo est plutôt mal choisi, la concordance des temps frappante.
Alors que l’Assemblée nationale examine en ce moment la proposition de loi sur le bien-être animal, les députés ont voté en commission un rapport issu d’une mission d’information parlementaire sur « l’entrave aux activités légales ». En creux, certains députés veulent « renforcer l’arsenal pénal » contre « les militants antiglyphosate, véganes ou antichasse ».
Ils proposent la création de nouveaux délits pour lutter plus efficacement contre la diffusion d’images sur les réseaux sociaux et pour limiter l’intrusion dans les abattoirs ou les fermes usines. Tout ça pour ça : le projet de loi Climat sabote le travail des 150 et condamne le respect des objectifs climatiques de la France. En refusant ou retardant la mise en oeuvre des mesures les plus structurantes et en misant sur des engagements volontaires des entreprises, le projet de loi assure que l’ambition initiale de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre en 2030 ne sera pas atteint, et a fortiori que la France ne tiendra pas le nouvel objectif européen de réduction des émissions de 55% à cette date.
La diffusion du projet de loi Convention Citoyenne pour le Climat confirme la violation par Emmanuel Macron de sa promesse de transmettre sans filtre au Parlement les propositions des 150 citoyens tirés au sort. La quasi-totalité des grandes mesures nécessaires à atteindre l’objectif de réduction de 40% des émissions de la France en 2030 sont sabotées. Le gouvernement et la déforestation importée : des mots, pas d’actes. Sylvain Angerand est ingénieur forestier et coordinateur des campagnes de l’association Canopée Forêts vivantes.
Sylvain Angerand. Reporterre — Quel état des lieux de la déforestation mondiale faites-vous ? Sylvain Angerand — Le WWF vient de publier un très bon rapport sur ce sujet. Il y a plusieurs fronts de déforestation dans le monde, avec des dynamiques de déforestation différentes. Nous avons besoin de tellement de terres pour répondre à nos besoins en énergie et en matériaux qu’on exerce une pression sur les forêts. Où en est-on des 15 mesures structurantes de Convention Citoyenne pour le Climat dans le projet de loi ?
Le Réseau Action Climat déplore le manque flagrant d’ambition du projet de loi issu de la Convention Citoyenne pour le Climat qui ne peut, en aucun cas, être considéré comme une reprise, par voie législative, des recommandations des citoyens.
Il s’agissait pourtant d’une promesse présidentielle : la transmission “sans filtre” au Parlement des mesures de la convention. La grande majorité des propositions des citoyens a été amoindrie, qu’il s’agisse de leur périmètre ou encore de leur date de mise en œuvre. En lieu et place des obligations proposées par les citoyens, pourtant à même de répondre efficacement aux enjeux identifiés et soutenues par les Français, le Gouvernement préfère miser sur des expérimentations, de l’auto-régulation et des engagements volontaires, sans réelle garantie de résultats.
> L’analyse détaillée < Projet de loi Convention climat : un délit d’écocide à la portée très réduite. C’est l’éléphant qui accouche d’une souris.
Le ministre de l’Agriculture veut banaliser les nouveaux OGM. Matthieu Orphelin : « Pour 2022, si l’écologie et la gauche sont séparées, on va droit à la défaite » Matthieu Orphelin est député (ex-La République en marche) de la première circonscription du Maine-et-Loire.
Docteur en énergétique de l’École des Mines, il a été porte-parole de la fondation Nicolas Hulot et vice-président (Europe Écologie — Les Verts) de la région Pays-de-la-Loire. Reporterre — Vous êtes membre du groupe de suivi du projet de loi Convention citoyenne pour le climat, comment réagissez-vous au détricotage des propositions des cent cinquante citoyennes et citoyens ? Matthieu Orphelin — Depuis le début, je crois à cette initiative. Le 25 novembre 2018, [la chercheuse et membre du Giec] Valérie Masson-Delmotte et moi avons publié une tribune qui appelait à « réinventer le dialogue autour de la transition écologique » dans laquelle on proposait de tirer au sort cent citoyens. On est parmi les premiers avoir mis sur la table cette idée et à l’avoir présentée comme une des portes de sortie à la crise des Gilets jaunes. Face à cela, les citoyens ne sont pas dupes.
Plutôt, oui. Réchauffement climatique : 70% des mesures du plan de relance ne vont pas dans le bon sens, juge le Haut Conseil pour le climat. Un choix de couleur en dit parfois davantage que des mots. C'est le cas de l'avis du Haut Conseil pour le climat (HCC), publié mardi 15 décembre, sur le plan de relance mis en place par le gouvernement pour sortir de la crise économique provoquée par l'épidémie de Covid-19. Cette instance indépendante, composée de climatologues, d'économistes, d'agronomes et de sociologues, est chargée depuis 2019 d'éclairer les politiques de lutte contre le réchauffement climatique. En présentant son plan, le gouvernement avait insisté sur les 30,6 milliards d'euros budgétés pour la transition écologique et qualifié les 69,6 milliards restants de "neutres" pour l'environnement.
HVE : label du greenwashing pas de la transition agroécologique. Home > Actualités > HVE : label du greenwashing pas de la transition agroécologique La Confédération paysanne a organisé ce jour avec France Nature Environnement, Agir pour l’Environnement et le syndicat Synabio une conférence de presse pour dénoncer l’illusion de transition agroécologique que constitue la HVE*. Alors que le Sénat, dans le cadre de l'examen du PLF 2021 s'apprête à valider la création d'un crédit d’impôt HVE* - de plus de 76 millions d'euros - après notre interpellation aux parlementaires, un amendement de suppression de cette disposition (article 43 duodecies) a été déposé par le sénateur écologiste du Morbihan Joël Labbé.
Il sera débattu en séance publique au Sénat sans doute ce week-end. Notre décryptage de la tromperie que constitue la HVE*, tant pour les paysan.nes que pour les consommateurs.trices. « Zéro artificialisation nette » : un objectif gouvernemental contredit par le projet de budget. L’engagement date d’il y a deux ans. Le gouvernement annonçait alors, avec le plan biodiversité, l’objectif de « zéro artificialisation nette ». Comprenez : le béton ne devait plus gagner sur les terres agricoles ou naturelles. Emmanuel Macron se présente sans rire comme un champion de l’écologie. Vendredi 4 décembre, Emmanuel Macron était interrogé par la rédaction du média en ligne Brut. Dans la deuxième partie de l’interview ( à partir d’1 h 42 min) le président de la République a consacré un long moment aux questions écologiques et s’est emporté face aux critiques.
S’il a reconnu « un échec collectif sur le glyphosate », il a défendu ardemment son bilan « sans précédent », jugé le nucléaire « indispensable à la transition écologique » et déclaré qu’ « il n’existait pas de lobby en France ». Sur le glyphosate, dont l’abandon a été repoussé aux calendes grecques, Emmanuel Macron a dit ne « pas avoir changé d’avis, être pour qu’on en sorte ». Mais il a admis « ne pas avoir réussi » et a reporté en partie la faute sur l’Europe. « On ne pouvait pas gagner la bataille seul », malgré « le volontarisme français » et « les autres [pays européens] ne sont pas allés assez vite [
. . . ] « Ce n’est parce que les citoyens ont écrit un truc que c’est la Bible ! Puisque vous êtes ici… Glyphosate 1 – France 0 : et maintenant, que fait-on ? Trois ans après un fameux tweet d'Emmanuel Macron promettant la sortie du glyphosate d'ici novembre 2020, le résultat n'est pas au rendez-vous. Le président change de stratégie et veut entraîner l'Europe, mais pour le pire ou le meilleur ? Dans le domaine des pesticides, les objectifs se suivent et les échecs se ressemblent. Le gouvernement renonce au crime d’écocide, mais crée un délit général de pollution. C’est l’une des propositions phares de la Convention citoyenne sur le Climat (CCC) : la création d’un crime d’écocide, qui permettrait à la justice de punir aussi sévèrement des atteintes à l’environnement qu’elle le ferait pour un crime contre l’Humanité.
Comme promis, Emmanuel Macron a bien soumis la proposition à son gouvernement. Celui-ci a adopté une mesure qui va en ce sens mais sérieusement amoindrie. Dans une interview conjointe au JDD dimanche 22 novembre, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti et la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili ont annoncé la création d’un délit d’écocide. Un délit d'écocide pour effacer le crime.
Merci, je l'ai ajouté. 🙂 – alwen
Une avancée historique pour la justice climatique ! - L'Affaire du Siècle. Ce matin à 9h30, le Conseil d’Etat a rendu une décision véritablement historique pour la lutte contre la crise climatique : il met l’Etat face à ses responsabilités en considérant que les objectifs de réduction de gaz à effet de serre fixés par la loi sont contraignants. Répondant au recours climatique de la commune de Grande-Synthe, que soutient l’Affaire du Siècle, la plus haute juridiction administrative a donné 3 mois à l’Etat pour montrer que les actions mises en place sont suffisantes pour les atteindre.
Une réforme discrète et hop ! la France est revenue à l’Ancien Régime. Jean-Claude Boual, syndicaliste et militant associatif, a été président du Collectif des associations citoyennes pendant cinq ans (2014-2019). Face à Macron, les citoyens de la Convention pour le climat se rebiffent. Les promesses n’engagent que ceux ou celles qui y croient. Il en va de même pour les engagements d’Emmanuel Macron. Convention citoyenne pour le climat : nous boycottons un processus de concertation biaisé.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE MARDI 6 OCTOBRE 2020 RETOUR DES NÉONICOTINOÏDES, MASSACRE DE DAUPHINS, DIALOGUE CITOYEN BAFOUÉ… SOMBRE JOURNÉE POUR L'ENVIRONNEMENT. Ce mardi 6 octobre, les député.e.s ont voté pour le retour des insecticides tueurs d’abeilles, les néonicotinoïdes, dans nos champs. Du fair-play à l'Assemblée. Dans sa chronique, Nicole Ferroni nous raconte les coulisses de la loi ASAP, loi Accélération et Simplification de l'Action Publique, une loi de 50 articles, proposée par le Gouvernement, et dont la validité était débattue la semaine dernière à l’Assemblée nationale.
Loi Asap : le gouvernement continue à défaire le droit de l’environnement. Un texte « fourre-tout », dénoncent en cœur ses détracteurs. Ou qui permettra de « rapprocher l’administration du citoyen, simplifier les démarches (…), faciliter le développement des entreprises », comme l’explique le gouvernement ? Le projet de loi Asap — pour accélération et simplification de l’action publique — est discuté à l’Assemblée nationale depuis lundi 28 septembre. Son titre est transparent quant à l’intention de l’exécutif : « asap » comme « as soon as possible » — aussi vite que possible. « Sous couvert de simplification, ce texte détricote tout », dit Mathilde Panot, députée France insoumise. « C’est une loi de dérégulation », ajoute Émilie Cariou, députée ex-LREM qui a rejoint le groupe Écologie Démocratie Solidarité (EDS). « La simplification, c’est quand on allège les procédures pour les usagers.
Mais là, beaucoup de mesures n’ont aucun effet sur eux. » Biosphere-Info, Emmanuel Macron l’anti-écolo – Biosphère. Climat : huit propositions de la Convention citoyenne écartées par le gouvernement (malgré la promesse d'Emmanuel Macron) Le rêve du “monde d’après” ne doit pas céder la place à la politique écologique des petits pas. Nous soutenons les 150 de la Convention Citoyenne pour le Climat contre les manoeuvres dilatoires du gouvernement. Ce que les Coquelicots ont vraiment dit à Barbara Pompili... - Nous Voulons des Coquelicots. TRIBUNE. Des "risques majeurs sur le climat" : des ONG réclament l'abandon de l'accord entre l'Union européenne et le Mercosur.
5G contre "modèle Amish" : le maire EELV de Grenoble, Éric Piolle, dénonce les propos "totalement outranciers" d’Emmanuel Macron. Nicolas Hulot. Plan de relance : une accélération de la transition agricole sans grande révolution. La transition écologique reléguée au 2ème plan de la relance. Tourterelle des bois : Emmanuel Macron accepte la demande des chasseurs. TRIBUNE. "La France ne peut pas être complice" : des ONG réclament des actions contre les incendies en Amazonie. Climat : la France n’est pas sur la bonne voie. Le Haut conseil pour le climat torpille la politique climatique de la France dans un nouveau rapport.
Réchauffement : "Les actions climatiques de la France ne sont pas à la hauteur des enjeux ni des objectifs qu'elle s'est donnés", dénonce le Haut conseil pour le climat.