Coronavirus : Jean-Paul Hamon veut envoyer Jérôme Salomon "compter les pingouins aux Kerguelen"sans titre. ENQUETE FRANCEINFO. "Sans gants, ni gel, ni masque" : la colère des médecins généralistes, sévèrement endeuillés par le coronavirussans titre. VIDEO. Coronavirus : Olivier Véran interpellé par une médecin obligée de laver ses "six masques" FFP2sans titre. Céline Berthie est médecin généraliste à Cussac-fort-Medoc en Gironde.
Et depuis trois semaines, elle exerce avec en tout et pour tout "six masques" FFP2, qu'elle est obligée de laver et de faire sécher, comme elle l'a expliqué sur le plateau de l'émission de Michel Cymes, "Déconfinement, vivre avec le virus", mardi 12 mai, sur France 2. "J'ai eu des masques qu'un patient m'a donné, c'est aussi la solidarité qui peut nous faire sortir de cette crise" du coronavirus, a-t-elle relevé.
La région Grand Est, la plus touchée par la fermeture des services de réanimation. Dans le département du Bas-Rhin, un miraculé.
Le service de réanimation de l’hôpital de Sélestat, fermé en 2016, a été ressuscité en urgence pour lutter contre l’épidémie de Covid-19. "Il a fallu retrouver des infirmières, des aides-soignantes, des médecins pour s’occuper des malades beaucoup plus lourds que les soins intensifs habituellement" explique le chef de service des soins intensifs, Olivier Watrelot. Dix lits de réanimation qui, depuis début mars, se sont avéré précieux pour sauver les malades les plus gravement atteints, et qui ont aussi permis à certains patients de ne pas être transférés dans les hôpitaux des voisins européens.
Le service avait pourtant été fermé quatre ans plus tôt. En 2016, des milliers de personnes défilaient pour empêcher sa fermeture, le maire de Sélestat, Marcel Bauer (LR) en garde un souvenir amer. En France, entre 2013 et 2018, c’est la région Grand Est qui a connu le plus grand nombre de fermetures de lits de réanimation (-7,3%). (11) Nous ne serons plus jamais les bonnes petites soldates de vos guerres. Tribune.
«Nous sommes en guerre» ? Messieurs, cette guerre vous l’avez décidée entre vous – cols blancs et costumes noirs –, bien planqués dans les ministères et dans les hautes sphères où aucune femme ne vient jamais vous déranger. Coronavirus : pour un médecin de Haute-Vienne, soignants et usagers doivent reprendre le pouvoir ! Il est en colère, TRÈS en colère, le Dr Frédérick Stambach, médecin généraliste à Ambazac, en Haute-Vienne !
Pour lui, la crise sanitaire liée au Coronavirus a tristement révélé à la fois l'état dégradé du système de santé français, et, plus grave encore, le rôle des gouvernements successifs et de la haute administration dans cet état de fait. Au sein du collectif "Soignants et Usagers", il a donc lancé une pétition sur Internet, en compagnie du Dr Julien Vernaudon, praticien hospitalier gériatre à Lyon, à destination de l'Assemblée Nationale, afin que le "pouvoir sanitaire soit rendu aux soignants et aux soignés". Un écoeurement né dès le début de la crise du Coronavirus Durant cette crise, c'est alors qu'il participait à l'ouverture du centre Covid-19 installé dans la salle des fêtes d'Ambazac, dès la mi-mars, que l'écœurement de Frédérick Stambach est né.
"On nous pond un rapport un peu décalé. Un mal beaucoup plus profond. Voix du confinement. Depuis cinq jours, c'est la douche froide" : les soignants redoutent un retour en arrière à l'hôpital public après l'épidémie de coronavirus. Des soignants craignent qu'après la crise sanitaire la situation de l'hôpital public reste inchangée.
Ils insistent sur la nécessité de faire passer les besoins des patients avant la logique budgétaire. L’afflux brutal de malades pendant l’épidémie de coronavirus a forcé les hôpitaux à se réorganiser. Plus jamais ça : la vidéo qui fait plus de 10 millions de vues sur Facebook ! Coronavirus : un médecin généraliste de Tourcoing juge "criminelle" la politique du gouvernement. Nous l'évoquions ces derniers jours sur France Bleu Nord, deux médecins généralistes sont morts récemment du coronavirus dans le Nord.
M. Macron, je suis infirmière et je ne me sacrifie pas, c'est vous qui me sacrifiez. LES PLUS LUS Haine. “Chasse aux sorcières” au Maroc contre les homosexuels Partager Vu de l’étranger. De retour à l’école, les enfants vont-ils propager le virus ? Partager Statistiques. En Italie, 10 000 décès supplémentaires seraient liés à la pandémie. Le manque de moyens auquel font face les personnels soignants français dans la crise du coronavirus étonne la presse étrangère.
Celle-ci ne manque pas de faire le parallèle avec la situation critique que dénoncent les professionnels médicaux depuis plusieurs mois. “Pendant que les rues sont désertes, les attractions touristiques fermées et les parcs abandonnés, les hôpitaux français bouillonnent de vie et se préparent au pire”, résume le journal canadien Le Devoir. Je suis en colère. Tribune.
Macron répond au neurologue qui l'a interpellé à La Pitié-Salpêtrière : "Il n'a rien à voir avec le coronavirus. Le Grand Oral de Dr François Salachas, neurologue.