22 mars 2021 Application StopCovid : Anticor saisit la Cour de Justice de la République. L’application StopCovid a été développée dans le cadre de la crise sanitaire, avec pour objectif de lutter plus efficacement contre la propagation de l’épidémie, via un système de traçage numérique.
L’Ordonnance n°2020-319 du 25 mars 2020 ne prévoit pas d’accepter à la règle de mise en concurrence. Disponible gratuitement depuis le 2 juin, sur les plateformes App Store et Google Play, elle est désormais téléchargeable sous le nom TousAntiCovid (mise à jour du 22 octobre 2020). Application StopCovid : Anticor saisit le parquet national financier. - Anticor. L’application StopCovid a été développée dans le cadre de la crise sanitaire, avec pour objectif de lutter plus efficacement contre la propagation de l’épidémie, via un système de traçage numérique.
Elle est disponible gratuitement, depuis le 2 juin, sur les plateformes App Store et Google Play, pour tous les utilisateurs Iphone et Androïd. Or, d’après les révélations de l’Obs, la maintenance et l’hébergement de l’application est assurée par la société Outscale, filiale de Dassault Systèmes, pour un coût d’exploitation estimé à un montant de 200.000€ à 300.000€, par mois. Anticor rappelle que le gouvernement est tenu de procéder à un appel d’offres à partir de 139 000 euros HT pour les marchés de fourniture et de services, selon les règles de la commande publique.
Les débuts décevants de l’application StopCovid 10 juin 2020. Où en est StopCovid, l’application française de suivi des cas contacts, une semaine après son arrivée sur les magasins de Google et d’Apple ?
Censée identifier les personnes côtoyées par le détenteur d’un smartphone – sur lequel elle aura été préalablement téléchargée – afin de les notifier si ce dernier s’avère malade du Covid-19, elle a été l’objet de polémiques, notamment sur sa capacité à être largement adoptée par les Français. En une semaine, 1,4 million d’activations ont été dénombrées, précisait au Monde, mardi 9 juin, le cabinet de Cédric O, le secrétaire d’Etat chargé du numérique. Ce chiffre, qui représente environ 2 % de la population française, correspond au nombre de fois où les utilisateurs ont téléchargé StopCovid, ouvert l’application, puis ont cliqué sur le bouton « J’active StopCovid » après l’avoir autorisé à utiliser le Bluetooth du smartphone – la technologie qui sert à enregistrer les téléphones à proximité.
Une campagne de communication bientôt lancée. Qatar : Une faille dans l’application de traçage contre le Covid-19 a exposé les données de plus d’un million d’utilisateurs. Nous avons révélé de graves failles de sécurité dans l’application de traçage des contacts devenue obligatoire au Qatar pour lutter contre le Covid-19.
Un signal d’alarme pour tous les gouvernements qui lancent des applications de ce type. Cette révélation apparaît dans le cadre d’une analyse plus globale des applications de traçage des contacts, qui avait pour objectif d’évaluer leur degré de respect des droits humains. Une énorme faille de sécurité Notre Security Lab a mené des recherches et découvert une énorme faille au niveau de la sécurité d’EHTERAZ, l’application de traçage des contacts mise en place au Qatar.
Faut-il ou non installer « StopCovid » ? Le débat résumé en une conversation SMS. Après plusieurs semaines de débats et de développement, et une validation par le Parlement, l’application StopCovid va être déployée mardi 2 juin : elle sera disponible au téléchargement pour les smartphones iOS et Android.
Elle doit aider à lutter contre la pandémie de Covid-19 en France, en permettant d’identifier les cas contacts et de prévenir les personnes ayant croisé d’un peu trop près, et un peu trop longuement, des personnes diagnostiquées positives au Covid-19. Ses détracteurs dénoncent néanmoins un dispositif dangereux pour les libertés publiques, généralisant un fichage médical à travers nos smartphones. Bob et Alice, deux citoyens bien informés, exposent leurs arguments pour ou contre StopCovid : Pour vous plonger davantage sur la manière dont cette application a vu le jour et sur son fonctionnement, nous vous invitons à lire notre dossier consacré à StopCovid, et plus précisément les articles ci-dessous, publiés ces dernières semaines. Martin Untersinger et Pierre Breteau. Le traçage anonyme, dangereux oxymore - 21 avril 2020. COVID-19 en France : NON au traçage numérique !
Une démocratie ancrée que vous tentez de bafouer Cher Monsieur Philippe, Premier Ministre, Nous aimerions vous rappeler que la France est un État de droit et une démocratie.
Même en pleine crise sanitaire, vous ne pouvez pas revenir sur ces principes pour lesquels nos ancêtres se sont battus. Nous, Français, avons dû tuer une famille royale il y a maintenant plus de 300 ans pour arriver à être libres aujourd’hui. Nous nous sommes battus, hommes comme femmes pour obtenir le droit de circuler. Vous comprendrez donc que les Français sont énormément attachés à leurs libertés inscrites dans la Constitution de 1958. Avec la crise du coronavirus, nous avons de plus en plus l’impression que le gouvernement cherche à s’octroyer les pleins pouvoirs et à nous enlever les droits que nous avons acquis pendant des siècles. Depuis le 17 mars, nous avons désormais l’interdiction de sortir et circuler librement à cause du confinement. StopCovid : en marche vers le totalitarisme en costard 28 mai 2020. L’Assemblée nationale et le Sénat ont donné le feu vert au déploiement de l’application StopCovid.
De nombreux parlementaires, sur tous les bancs, ont dénoncé dans cet outil une entreprise liberticide. C’est un débat historique qui s’est tenu hier à l’Assemblée nationale, sur l’application StopCovid. Car il marque l’entrée dans un nouveau monde. Celui où l’homme abandonne au numérique sa liberté contre la promesse d’une sécurité qui dévore jusqu’à la moindre parcelle d’intimité. Un jour noir, puisque l’Assemblée a donné son accord au déploiement de l’application par 338 voix contre 215. StopCovid : inefficace, dangereux, totalitaire. Coronavirus : après l’Assemblée, le Sénat valide l’application StopCovid. StopCovid a passé, mercredi 27 mai, une étape décisive.
En recevant la double onction des députés, puis celle, plus inattendue, des sénateurs, ce projet d’application controversé va pouvoir être déployé, sauf énorme surprise, dès le début de la semaine prochaine. Le gouvernement a d’abord obtenu, avec une confortable majorité (338 voix contre 215), la validation par l’Assemblée nationale de ce projet d’application censé identifier les personnes côtoyées par un malade du Covid-19, et donc risquant de contracter la maladie à son tour.
FAITES CE QUE VOUS VOULEZ, MAIS ALLEZ BOSSER. Débat sur le tracing : Occitanie Data propose un cadre éthique et de confiance. Alors que l'Assemblée nationale doit voter mardi 28 avril sur l'application de tracking StopCovid, au coeur d'une vive controverse, Bertrand Monthubert, président d’Occitanie Data et conseiller régional d’Occitanie, ancien président de l’université Toulouse3, et par Emmanuelle Rial-Sebbag, responsable de la commission éthique d’Occitanie Data, directrice de recherche à l’Inserm et titulaire de la chaire Unesco Ethique Science et Société, signent une tribune "Face au Covid-19, Occitanie Data propose un cadre éthique et de confiance.
" Occitanie data rassemble des structures publiques, privées, du monde de la recherche, et des collectivités de la région et travaille depuis près d’un an sur les questions éthiques de l’usage de la donnée, notamment au travers d'une charte du Big Data. Cette charte et la tribune ci-dessous seront adressées aux parlementaires membres des commissions ad-hoc. Coronavirus : en Chine, des malades surveillés grâce au numérique. Application StopCovid : la CNIL appelle le gouvernement « à une grande prudence » Son avis était un jalon attendu pour le futur de StopCovid, le projet d’application mobile de « suivi de contact » qu’étudie le gouvernement contre la pandémie de Covid-19.
Dimanche 26 avril, l’avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été rendu public. Le gendarme français des données personnelles donne un satisfecit global au projet du gouvernement, tout en soulignant les garanties qu’il attend en matière de protection des données. Grâce à cet avis globalement positif, le gouvernement s’évite une difficulté de plus dans le débat déjà houleux autour de cette application. Epidémiologistes et exécutif estiment que StopCovid pourrait être un outil de plus dans la lutte contre la pandémie, tandis que ses opposants pointent les nombreux risques liés à son utilisation.
Applications Covid-19 : vers une surveillance de masse. La pandémie de coronavirus que nous vivons est-elle une aubaine pour les tenants de la société de surveillance ? Les États, classés comme démocratiques ou dictatoriaux, en profiteront-ils pour accroître leur emprise sur les citoyens, comme cela a déjà été le cas avec la “guerre mondiale contre le terrorisme” ? De fait, alors que plusieurs pays, dont la France, construisent leurs stratégies de déconfinement, on parle un peu partout des applications mobiles de traçage du virus. À priori, elles devraient permettre de mieux détecter les personnes infectées, de mieux les isoler et de mieux les traiter. Mais ces applications inquiètent. Pour mieux cerner cette problématique, nous avons fait appel à trois grands témoins. Non au tracking ! StopTracking Après notre mobilisation, le Gouvernement et l'Assemblée nationale organisent enfin un vote, mais uniquement indicatif, à l'issue du débat qui aura lieu le 28 avril sur le tracking.
Un débat public et une prise de position transparente sont la moindre des choses lorsqu'il s'agit de nos libertés publiques. La mobilisation ne s'arrête pas là, nous interpelons désormais les élu.e.s pour qu'ils et elles rejettent ce projet d'application de tracking de la population. La surveillance de la population n’est pas une politique de santé et ne doit pas masquer les insuffisances de l’action du gouvernement dans la lutte contre l’épidémie. Nous n’avons que quelques jours pour nous faire entendre : face au risque de surveillance généralisée, faisons pencher la balance dans le sens des libertés publiques. Par ailleurs, cette application peut induire un faux sentiment de sécurité, qui aurait pour conséquence un moindre respect des gestes barrières. STOPCOVID. ANDRÉ CHASSAIGNE, "LE GOUVERNEMENT VEUT RENDRE ACCEPTABLE DES ATTEINTES AUX LIBERTÉS" Le traçage anonyme, dangereux oxymore. « Stop Covid » : une application de pistage du virus respectueuse des libertés est-elle possible ?
Le gouvernement prépare une application de traçage des contaminations au virus du Covid-19. L’application s’appellerait « Stop Covid ». Son objectif, « limiter la diffusion du virus en identifiant des chaînes de transmission », explique Cédric O, secrétaire d’État chargé du Numérique [1]. De telles applications sont déjà en place en Corée du Sud, à Singapour, à Taïwan, en Israël… Elles n’ont pas toutes la même fonction. En Israël, les autorités utilisent les données de localisation des téléphones portables pour identifier les malades potentiels.
En Corée du Sud, les personnes en quarantaine doivent installer une application qui permet de vérifier qu’elles respectent bien leur isolement. Deux modèles d’applications coexistent, qui ont des buts différents. « Deux logiques sont en œuvre », précise l’Observatoire des libertés et du numérique, qui regroupe notamment la Ligue des droits de l’Homme, la Quadrature du net, le Syndicat de la magistrature. Tout cela aurait de quoi rassurer. COVID-19 et surveillance numérique : et nos droits humains. Plusieurs gouvernements développent ou envisagent de développer la surveillance numérique pour endiguer l’épidémie de Covid-19. Ces pratiques doivent répondre à des critères stricts : la pandémie de COVID-19 ne saurait servir d’excuse pour vider de sa substance le droit à la vie privée. Avec la pandémie de COVID-19, le monde est actuellement confronté à une crise sanitaire planétaire sans précédent. Au nom de la lutte contre cette maladie, certains gouvernements s'empressent de développer leur utilisation des technologies de surveillance afin de suivre des personnes, voire des populations entières.
Si elles ne sont ni suivies, ni contrôlées, ces mesures risquent de changer profondément l'avenir du droit à la vie privée et d'autres droits humains. Lire aussi : Tout savoir sur le COVID-19 et les droits humains. DRÔLE DE DRONE… Ami abonné, Ça fait déjà un moment que je m’interroge sur mon engagement politique de fin de vie ; et je crois bien que ce coup-ci, je n’ai pas le choix. Je suis dans son collimateur au jeune Corola-virus, et ça sera lui ou moi.
Et ne me dis pas que je suis parano.