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Abraham Maslow

Abraham Maslow
Abraham Harold Maslow, né le 1er avril 1908 à New York et mort le 8 juin 1970 à Menlo Park en Californie, est un psychologue américain humaniste, considéré comme le père de l'approche humaniste en psychologie. Il est connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins humains, souvent représentée par la suite sous la forme d'une pyramide. Biographie[modifier | modifier le code] Abraham Harold Maslow est né le 1er avril 1908 à Brooklyn, New York. Abraham Maslow meurt à Menlo Park en Californie, le 8 juin 1970 d'une crise cardiaque[1]. Travaux et apports[modifier | modifier le code] Abraham Maslow reste une référence pour de nombreux psychologues dans le monde entier. Les premières recherches de Maslow ont concerné le comportement des animaux (chiens, singes) et les déterminants du comportement humain en société. Théorie de la motivation et des besoins[modifier | modifier le code] Les expériences paroxistiques («peak experience»)[modifier | modifier le code] ↑ (en) « Dr. Related:  pédagogie pour adulte

Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. 1930.

Je voeu rester en bonne santé « Mens Sana in Corpore Sano. » « Un esprit sain dans un corps sain. » Un esprit sain? * Je dois commencer par garder le moral Si la médecine occidentale s’est toujours davantage intéressée au corps, elle admet de plus en plus l’influence de l’esprit sur celui-ci. Je voeu garder le moral. * Je peux diminuer le stress Rester en bonne santé contribue déjà à diminuer le stress en moi. Je voeu moins de stress. Au delà du moral et du stress, l’homme respire, mange, boit, bouge… * Je peux respirer de l’air pur A la maison, au travail, à l’intérieur et dehors. Je voeu de l’air pur. * Je peux boire sainement Curieux de constater qu’il faut moins d’argent pour boire sainement que pour se pourrir la santé. Je voeu boire mieux. * Je peux manger sainement On pense naturellement d’abord à manger bio mais manger sainement, c’est avant tout manger équilibré et prendre le temps de se nourrir. Je voeu manger mieux. * Je peux jeûner * Je peux faire du sport Je voeu faire du sport. * Je peux dormir sur mes deux oreilles

Philippe Meirieu Philippe Meirieu en 2012. Philippe Meirieu, né le 29 novembre 1949 à Alès (Gard), est un chercheur, essayiste et homme politique français, spécialiste des sciences de l'éducation et de la pédagogie[1]. Professeur en sciences de l'éducation à l'université Lumière-Lyon 2 depuis 1985, il a mené de nombreuses recherches, en particulier sur la différenciation pédagogique et la philosophie de l'éducation. Il a dirigé et fait soutenir 49 thèses[2]. Parcours[modifier | modifier le code] Philippe Meirieu commence sa carrière comme animateur pédagogique au lycée privé Notre-Dame du Grandchamp à Versailles au milieu des années 1970. De 1990 à novembre 1993, il est membre du Conseil national des programmes[5]. À la rentrée 1993-1994, Philippe Meirieu reprend, à côté de ses activités universitaires, un enseignement de français dans un lycée professionnel de Vénissieux (le lycée Marc-Seguin). Il prend sa retraite en octobre 2014 à presque 65 ans. Théories pédagogiques[modifier | modifier le code]

SYSTEMIQUE et COMPLEXITE Comprendre l'économie par l'analyse systèmique: La théorie des systèmes appliquée à l'économie La synthèse la plus brillante est celle de Chris Freeman et de Francisco Louçà "As Time Goes By". Je renvoie le lecteur à mon cours de management public. Mais le père de la systémique comme explication du moteur du développement des sociétés est sans aucun doute Adam Smith, (Darwin l'avait lu, ainsi que Malthus, pour formuler sa théorie de l'évolution) comme le montre brillament la thèse de Michaël Biziou , "Adam Smith et l'origine du libéralisme" . D'après Schumpeter (Histoire de l'analyse économique), Smith n'a pas inventé ni découvert grand'chose, sa contribution a surtout été d'être un professeur qui a formé des professeurs et unifié un corps de doctrine préexistant. Comment les technologies évoluent-elles ? Pourquoi certaines nations savent-elles mieux tirer profit des opportunités qu'offre la technologie? Richesse et pauvreté des nations. Une nouvelle

Malcolm Knowles Il développa un modèle andragogique par opposition au modèle pédagogique traditionnel qui prend en compte les caractéristiques spécifiques de l'adulte dans le processus d'apprentissage. Cette approche s'inscrit dans le courant de l'humanisme contemporain qui s’est développé en réaction au behaviorisme qui a prévalu durant la première moitié du XXe siècle. Malcom Knowles, Carl Rogers, et Abraham Maslow sont les précurseurs de ce courant qui préconise l'apprentissage d'une manière autonome avec une prise en compte essentielle des besoins affectifs et cognitifs[1]. Carrière scientifique[modifier | modifier le code] Malcom Knowles commence sa carrière universitaire grâce à l'obtention d'une bourse à l'université de Chicago. En 1951, il devient directeur exécutif de l'association d'éducation des adultes. À la fin des années 1950, Malcom Knowles devient professeur associé à l'université de Boston[2] jusqu'en 1974. Références bibliographiques[modifier | modifier le code] Knowles, M.

Viktor Frankl Viktor Frankl en 1965. Vue de la sépulture. En 1925, étudiant en médecine, il rencontre personnellement Freud tout en se rapprochant du cercle d’influence d’Alfred Adler. Quand les nazis prennent le pouvoir en Autriche, il sabote les ordres reçus, au risque de sa vie, afin de ne pas euthanasier les malades mentaux dans le cadre du programme Aktion T4. En 1942, sa famille et lui-même sont déportés dans le camp de concentration de Theresienstadt. Dans les premières éditions de son best-seller, Viktor Frankl écrit que c'est la vie dans les conditions inhumaines des camps de concentration qui l'a poussé vers sa théorie du sens de la vie (la logothérapie). Pendant 25 ans, Viktor Frankl sera le directeur de la polyclinique neurologique de Vienne. En 1948, il obtient son doctorat de philosophie sur le sujet : « Le Dieu inconscient ». On trouve aujourd’hui des centres et des associations de logothérapie dans trente pays. ↑ Dossier « La maladie a-t-elle un sens ?

Besoins physiques Andragogie L'andragogie est la pratique de l'éducation des adultes. Le terme « andragogie » apparaît pour la première fois en Allemagne en 1833. Le terme « andragogie » est formé à partir de deux mots du grec ancien, anèr (ἀνήρ) ou andros (ἀνδρὀς), qui signifient « l'homme », dans le sens d’humain mâle ; et agogos (ἀγωγός), qui veut dire « le guide ». Selon Knowles (« the father of andragogy » comme on l'appelle aux États-Unis), l'andragogie ce n'est pas seulement l'apprentissage des adultes, mais c'est également de l'éducation permanente et de la psychologie humaniste dans le monde contemporain à travers des institutions de formations des adultes. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme « andragogie » est inventé par l’Allemand Alexander Kapp en 1833. La théorie de Knowles peut être appréhendée à travers six affirmations liées à la motivation des adultes en situation d’apprentissage[1],[2]. Andragogie et apprenant[modifier | modifier le code] La position active[modifier | modifier le code]

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