Motivations et comportements d'achats en magasins spécialisés Juil-Aout 2012 Le consommateur bio se décrit lui-même comme assez peu fidèle que ce soit à l’égard des produits et des marques que des différents lieux d’achats. Maintenant bien informé, il est vigilant et réactif à toute modification du rapport qualité/prix. Sa perception de la qualité se construit en premier lieu par les produits en eux-mêmes puis par l’importance du choix dans l’espace de vente et par le prix. L’attractivité du lieu de vente et la qualité des informations viennent ensuite. ...La satisfaction... ... ... ... ... ... ...Le prix... ...L’information du consommateur... ... ... Il accorde plus d’importance au rôle sociétal de l’achat (base 115 p ersonnes - mai 2012)
Motivations et comportements d'achats en magasins spécialisés Juil-Aout 2012 Le consommateur bio se décrit lui-même comme assez peu fidèle que ce soit à l’égard des produits et des marques que des différents lieux d’achats. Maintenant bien informé, il est vigilant et réactif à toute modification du rapport qualité/prix. Sa perception de la qualité se construit en premier lieu par les produits en eux-mêmes puis par l’importance du choix dans l’espace de vente et par le prix. L’attractivité du lieu de vente et la qualité des informations viennent ensuite. ...La satisfaction... ... ... ... ... ... ...Le prix... ...L’information du consommateur... ... ... Il accorde plus d’importance au rôle sociétal de l’achat (base 115 p ersonnes - mai 2012)
Insights consommateurs dans l'industrie de la mode : Comment les plus grandes marques font-elles pour suivre le rythme des tendances de consommation ? S’il y a Une industrie particulièrement affectée par les tendances de consommation, c’est bien le monde de la mode. D’un côté, le comportement des acheteurs est au plus haut point influencé par l’expression publique sur la toile ; de l’autre, les marques Fashion se languissent de découvrir ce que veulent réellement ces derniers avant de lancer leur dernière gamme. Ce qui est beaucoup plus facile à dire qu’à réaliser. Alors on peut toujours compter sur un coup de chance, sur une ou deux créations inspirées… Sauf que les grandes marques, elles, emploient la data offerte par le web social pour anticiper et réagir aux tendances que plébiscitent les consommateurs, dans l’expression d’un mi-chemin entre virtuosité scientifique et savoir-faire artistique. Elles le font car elles ont compris que pour réussir et perdurer sur un marché ultra-concurrentiel, la connaissance-consommateur via des insights bien fondés est indispensable. De l’intérêt des insights consommateurs pour les marques Mode
Infographie : Ce que veulent réellement les consommateurs français aujourd'hui Pouvoir accéder en permanence et à travers n'importe quel point de contact à des offres intéressantes aux meilleurs prix, tel est le désir du consommateur français d'aujourd'hui, qui n'hésite pas à croiser les supports d'informations (boutiques physiques et Internet) pour mieux consommer. Dans cette infographie réalisée par Fullsix, le mot d'ordre du commerce du futur est lancé : il doit être "relationnel". Charge aux enseignes de s'adapter aux souhaits du futur client. Pour y parvenir, retour également sur : - les données-clés du marché français ; - les cinq attentes-clés des clients de la distribution; - les possibilités de connaissance clients qu'offre la big data ; - l'impact réel des usages. Source : Fullsixgroup
Comprendre les comportements utilitaires et hédoniques des cyber-acheteurs La fidélisation est apparue pour développer un cœur de clients attachés à la marque afin de lutter contre une forte concurrence. Garder ses clients permet de maintenir ses parts de marché, ceci n’étant pas tâche aisée sur le marché hyper-compétitif actuel. Les entreprises, afin de fidéliser les internautes doivent être capables de faire vivre au client une expérience intrinsèquement agréable. Pour cela, elles sont avant tout obligées de comprendre ce que désire le client. Une fois cette étape passée, les entreprises pourront ensuite lui proposer des parcours et des expériences adaptées. Les comportements d’achat des internautes : utilitaires et hédoniques ? Les comportements d’achat des internautes peuvent être soit utilitaires, soit hédoniques. Il existe deux comportements d’achat très étudiés en marketing qui permettent d’identifier deux types d’individus : Les individus qui sont dirigés par un but lorsqu’ils réalisent leurs achats (achat corvée). Soyez sympa Partagez ;-) Reviewed by on.
Près de trois quarts des seniors sont désormais actifs sur internet Les offres numériques ont le vent en poupe auprès de la génération des 65 ans et plus. Près de 75% des seniors sont désormais en ligne, selon l'étude "Digital Seniors 2020" de Pro Senectute Suisse. Les personnes âgées ont découvert les opportunités offertes par les services numériques et s'intéressent de plus en plus au monde virtuel. C'est ce que conclut "Digital Seniors 2020", une étude nationale menée avant la crise du coronavirus par l'Université de Zurich sur mandat de Pro Senectute Suisse. D'après un communiqué publié vendredi par cette organisation, la proportion d'internautes de plus de 65 ans a presque doublé en dix ans, passant de 38 à 74%. La fracture numérique à plus de 80 ans La fracture numérique s'est déplacée, se situant à 80 ans. Les personnes âgées qui ne sont pas connectées sont une minorité aujourd'hui mais il y a encore environ 400'000 seniors en Suisse qui n'utilisent pas Internet (contre plus de 820'000 en 2010). ats/gma
Je Like - Comment les produits High-tech influencent l'acte d'achat Publié le 16 avril 2014 Peut-on encore se passer du digital dans un processus d'achat ? Franchement non. Et cette infographie réalisée par l'IFOP pour Bonial.fr, un site de recommandations, prouve que l'impact du numérique est omniprésent et dans tous les compartiments... Raphaël Legrand Rubrique réalisée en partenariat avec ETO Rejoignez-nous et recevez chaque semaine le meilleur d'INFLUENCIA. Marketing : comment collecter et traiter les données clients Même s'il a pu faire ses preuves par le passé, le marketing de masse n'a plus beaucoup de raison d'être aujourd'hui. Pour conquérir et fidéliser des clients, mis à part un prérequis de base (un produit ou service de qualité adapté à leurs besoins), les entreprises doivent apprendre à les comprendre et à décortiquer leurs habitudes de consommation. "Connaître ses clients, c'est aussi mieux comprendre ce que recherchent les prospects qui leur ressemblent ", rappelle Fatima Aliane, responsable "data-mining" chez Acxiom France, spécialiste des technologies et des services marketing. Identifier les données-clés Mais, avant tout, la collecte doit répondre à un objectif précis, en lien avec la stratégie de l'entreprise. Les différents modes de collecte Une fois les données-clés identifiées, reste à les collecter... L'enquête de satisfaction est une autre piste pour récolter des informations. Les logiciels à la rescousse Opérer une segmentation clients
Les 5 grandes tendances du commerce en 2021 La crise sanitaire a largement chamboulé nos habitudes, que ce soit en raison des différents confinements mis en place à travers le monde, ou de la distanciation sociale en vigueur. Si nos vies privées et professionnelles ont été particulièrement impactées, nos comportements d’achat aussi. Ils se sont considérablement transformés sous l’impulsion du coronavirus, avec notamment une accélération sans précédent de l’eCommerce. Pour preuve, on retiendra les profits spectaculaires enregistrés par Amazon ou encore les records de vente en ligne atteints par le Black Friday cette année. C’est dans ce contexte particulier et inédit que Shopify, plateforme leader dans la création de sites marchands, s’est prêtée au jeu des prédictions en tentant de deviner quelles seront les cinq grandes tendances du commerce en 2021. Les jeunes consommateurs continueront de guider l’eCommerce Cette tendance devrait être majoritairement impulsée par les 18-34 ans. … ainsi que les causes qui leur tiennent à cœur
lsa-conso Le vigi-shopper ou « watcher » C'est le profil qui concerne le plus grand nombre de Français. 35% de consommateurs s'identifient à lui, selon l'étude. Ses caractéristiques ? C’est un consommateur attentif et scrupuleux. Ses critères de choix pour faire ses achats ? Un profil qui influence son comportement d’achat : il vérifie au moyens d’application smartphone, par exemple, les infos à connaître avant d’acheter ; ils consulte les conseils de sa communauté au préalable, là encore grâce aux outils modernes et aux réseaux sociaux. Le slow-shopper ou « careshopper » Il est amoureux des petits producteurs, du bio, des circuits courts… Ce consommateur averti respecte les principes environnementaux et sociaux, sans sombrer toutefois dans le militantisme, même s’il descend du « bobo ». Il adhèrera ainsi à l’agriculture urbaine et locale (cueillette de fruits…) ou à une expérience détachée des intrusions publicitaires. Le social-shopper ou « influenceur » Le plus connecté ! Ses outils privilégiés ?
Amazon: qui sont ces utilisateurs qui reçoivent plein d'objets gratuits INTERNET - Vous surfez tranquillement sur Amazon dans le but d'acheter une machine à laver. Dans votre choix, il y a fort à parier que les commentaires laissés par d'autres internautes vont avoir une certaine influence. Des commentaires rédigés par des gens comme vous, qui ont réellement besoin de cette machine à laver. Sur le site numéro un mondial de vente en ligne, un bon nombre d'avis sont en fait postés par des internautes qui reçoivent les objets gratuitement. "Amazon invite les clients à devenir des voix du Club des Testeurs en fonction de leur classement en tant que publicateurs de commentaires, qui reflète le jugement par les autres clients Amazon de la qualité et de l'utilité de leurs commentaires. "J'ai tellement de haut-parleurs Bluetooth, c'est ridicule" Ces meilleurs commentateurs sont réunis sur une page dédiée. Le site économique américain npr.org s'est lui intéressé à l'un de ces membres au statut privilégié sur le site de vente en ligne, qu'il a fait témoigner.
[DECODE] Quelles sont les DNVB françaises ? Pour découvrir l’actualité de la FrenchTech, et les infos à ne pas manquer directement dans votre boite mail à 15h tous les jours, cliquez ici Depuis quelques années, de nouvelles marques branchées, les Digitally Native Vertical Brands (DNVB), ont vu le jour avec la ferme intention de bousculer les acteurs traditionnels dans une multitude de secteurs (mode, alimentation, bien-être…). Nées en ligne, elles font le pari d’une chaîne de valeur maîtrisée de A à Z, doublée d’une expérience client très aboutie pour créer et fidéliser une communauté. Et pour cause, l’approche communautaire est au centre du modèle économique des DNVB. Pour ces dernières, l’enjeu est en effet de faire adhérer une communauté aux valeurs de la marque, de manière à créer un lien émotionnel avec ses clients. Venu tout droit des États-Unis, le phénomène des DNVB, théorisé par Andy Dunn, créateur de la marque de jeans Bonobos en 2007, a traversé l’Atlantique au cours de la décennie écoulée.
Le besoin du client naît toujours d'une insatisfaction ! Il faut créer le besoin du client ! Combien de fois ai-je entendu cette phrase fourre-tout de la part de commerciaux ou de formateur en techniques de vente ? Qui peut se prévaloir d'avoir créé un besoin qui n'existait pas ? Personnellement je n'en connais pas. Il convient déjà de rassurer les commerciaux, un besoin ne se crée pas, il se révèle. En fait le besoin client nait toujours d'une insatisfaction ! L'insatisfaction croissante d'un client se nourrit d'éléments aussi subtils que la perte de temps, que la complexité d'un service ou d'une démarche, de l'exaspération liée, d'un niveau de qualité insuffisante, bref elle nait de situations jugées imparfaites par nos clients. Le meilleur moyen connu de chasser les insatisfactions des clients et prospects est d'être au contact d'eux le plus possible et cela de différentes façons : visite, invitation, co-construction de nos offres de services, questionnement, enquête mystère, stratégie d'alliance... Bio
L'e-commerce, un marché arrivé à maturité Les Français ont dépensé 16 % de plus en achats en ligne au deuxième trimestre, selon une étude publiée mardi. Le panier moyen est reparti à la hausse après deux ans de baisse. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Cécile Prudhomme Les Français ont dépensé 12,2 milliards d'euros sur Internet au deuxième trimestre, indiquent les chiffres publiés mardi 24 septembre par la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad). C'est 16 % plus qu'il y a un an, après une progression de 14 % au premier trimestre. Ces chiffres, qui continuent de progresser, cachent un marché du e-commerce en pleine recomposition, comme en témoigne le salon E-Commerce Paris 2013, qui se tient du 24 au 26 septembre, au parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris. En quelques années, une partie de la génération des acteurs purement Internet est d'ailleurs passée sous pavillon d'un grand groupe : Rueducommerce repris par Altarea-Cogedim, Cdiscount par Casino, Delamaison.fr par Leroy-Merlin...