La Médecine 2.0 A l’horizon 2010
2010, c’est demain... Relever un défi est toujours excitant ; celui posé par Dominique Dupagne « Je serais intéressé pour Atoute par un article dans lequel tu décrirais ta vision de la Medecine 2.0 à l’horizon 2010. » l’est tout particulièrement pour plusieurs raisons : 2010 est une date qui « sonne futuriste », bien que déjà très proche puisque c’est un rendez-vous dans un tout petit peu plus de deux ans. Et pourtant, il va se passer un nombre considérable de choses sur le web pendant ces deux ans, et tout particulièrement en médecine.
web 3.0 « Demain le Web 3
Parler aujourd’hui de « Web 3.0″ ou « Web 3″, revient à imaginer, décrire, émettre des hypothèses sur ce qui n’existe pas encore, mais dont on peut deviner les contours. Les gigantesques bouleversements constatés ces dernières années sur la création de Tim Berners-Lee, ont demandé du nouveau également en terme de marketing, parce qu’aujourd’hui il faut « nommer » les choses pour qu’elles existent. Ainsi, est créée la terminologie « Web 2.0″, dont la principale fonction nouvelle est la suppression d’intermédiaires dans de nombreuses activités (lucratives, commerciales, politiques, éditoriales…) pour multiplier l’efficacité de la communication : le « peer-to-peer » (et ses ravages) en soi, était déjà du 2.0, puisqu’il permettait à des acteurs privés physiques d’échanger des choses, sans intermédiaire (hors plateforme technique).
Web au cube : la révolution
1. web collaboratif dans lequel l’internaute est à la fois consommacteur et consommauteur et crée des contenus (il publie, commente, modifie via les blogs, wikis, réseaux sociaux, sites participatifs ; 2. évolutions techniques à l’image des flux RSS, des feuilles de style CSS, d’Ajax ; 3. changement du rapport aux données à travers les applications du Web qui se les approprient (par exemple Flickr pour les images, del.icio.us pour les signets, LinkedIn ou Viadeo pour les carnets d’adresses, Gmail pour les méls) même si en même temps une interopérabilité entre les outils est souhaitée à l’image de l’OpenID. Pour tenir compte des évolutions récentes du Web 2.0 (par exemple évolution dans l’instantanée induite avec des outils comme Twitter) – ou à mon sens amender la définition incomplète donnée en 2004 – Tim O’Reilly l’a fait évoluer avec John Battelle en « Web au carré ». Beaucoup a été publié sur l’après Web 2.0. topographie des discours sur le Web 3.0
Google Moves Toward Web 3.0, Acquires Metaweb
The basic fiber of the operation of the Web today is based on pages (and metadata that defines pages) and hyperlinks. To find "things" we go to one of several search sites, most notably Google, Bing and Yahoo. These search engines crawl the web automatically producing an index of the words, pages and links that make up the web. Google's rise to dominance was a combination of the strength of its algorithms and the concept of "pagerank" that was used to rank order web pages based on an interative algorithm that looks at pages in relation to other pages (and votes up pages with more links, type of links, trust, etc.).
Why Web 3.0 is a meaningless term
A couple of months ago when I was spending a few packed days of meetings up and down the 101 in Silicon Valley, several people asked me about Web 3.0. I told them pointedly what I thought, and at the time I determined to write a blog post on why Web 3.0 is a meaningless term, but never got around to it. This seems worth coming back to, since Jason Calacanis has just proferred his own definition : “Web 3.0 is defined as the creation of high-quality content and services produced by gifted individuals using Web 2.0 technology as an enabling platform.” Which is a fabulous illustration of my point: that when people refer to Web 3.0, it means whatever they want it to mean. In other words it’s a meaningless term until the point that there is a reasonable degree of common understanding of its meaning, so it can be used in a sentence and actually convey something.