La métamorphose du travail A l’occasion de la sortie du 5e forum thématique du Digital Society Forum consacré aux transformations du travail à l’heure du numérique (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée, la troisième aux nouvelles formes d’apprentissage et la quatrième au migrant connecté). Ce forum réalisé en partenariat avec la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous donne l’opportunité de republier la contribution d’Amandine Brugière, coresponsable du programme Digiwork de la Fing, qui dresse un bilan très synthétique des enseignements du groupe de travail. En attendant Lift with Fing, qui du 21 au 23 octobre 2014, sera consacré à ce thème… Qu’est-ce qui ne va plus avec le travail ? Qu’est-ce qui, depuis si longtemps, ne va “plus” avec le travail ? Alors même que les pays de l’OCDE n’ont jamais bénéficié de populations aussi instruites et formées qu’aujourd’hui [4] ? Qu’est-ce que le travail ?
Le devoir de paresse, par Thierry Paquot (Le Monde diplomatique, avril 1999) Au siècle dernier, les révolutionnaires de 1848 militaient pour le droit au travail, pour la reconnaissance de ce temps « bien » particulier qu’un personnage bien particulier aussi, le prolétaire, vendait contre un salaire, à son employeur. Un patron de gauche, influencé par Charles Fourier (1) et théoricien des « solutions sociales », Jean-Baptiste André Godin, honorait le travail — et les travailleurs — chaque premier dimanche du mois de mai, avant que ne s’institue le 1er mai, à la suite d’une sanglante répression, à Chicago, en 1886. A cette époque, à droite comme à gauche, le travail était vertueux, grâce à lui l’individu tourmenté ou marginalisé rentrait dans le rang, se moralisait et renouait avec le sage principe biblique, qui pourtant résonne encore comme une malédiction : « Tu te nourriras à la sueur de ton front ! Au cours du XIIIe siècle, la paresse est identifiée à l’oisiveté, « mère de tous les vices » comme chacun sait.
Ottawa comprend mal le monde du travail québécois, dit Agnès Maltais | Martin Croteau | Politique canadienne «Il y a peut-être une reconnaissance de la nation québécoise, mais il y a une méconnaissance des relations du travail au Québec», a dénoncé Mme Maltais dans une entrevue accordée à La Presse. Mme Maltais a écrit à son homologue fédérale, Lisa Raitt, cette semaine, pour lui demander de surseoir à la mise en oeuvre de cette initiative, parrainée par le député conservateur Russ Hiebert. Le projet de loi, adopté par la Chambre des communes mercredi soir, obligera les syndicats à déclarer les salaires de leurs employés ainsi que toute dépense de plus de 5000$. Dans chaque cas, ils devront déclarer le nom du bénéficiaire. La ministre Maltais fait valoir que la mesure va créer un «déséquilibre sérieux» entre syndicats et employeurs. En outre, les premiers seront forcés de dévoiler publiquement les fonds qu'ils mettent de côté en cas de grève ou de lock-out. Les constitutionnalistes qu'a consultés la ministre estiment que le projet de loi empiète sur le champ de compétence des provinces. M.
L'enjeu du salaire et de la cotisation sociale (Réseau Salariat) Activité socioéconomique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Activité. L'activité socioéconomique concourt à la réalisation ou à la transformation d'un produit, d'une prestation ou d'un service. Dans les domaines de l'analyse du travail, de l'ergonomie, de l'Ingénierie de la formation et des Ressources humaines, le terme « activité » est également utilisé dans un sens plus précis : il désigne alors un ensemble distinct d'actions identifiées, organisé selon un processus logique, observable en tant que tel. Il peut désigner aussi une ou plusieurs tâches exécutées par un ou plusieurs employés à l'intérieur d'un processus. Plus prosaïquement, l'activité constitue alors, dans cette perspective, une réponse à la question : « Que fait concrètement ce salarié dans cet emploi ?
Valeur du travail, sens du travail Compte-Rendu. Fabrice Flipo restitue les grandes lignes de l’ouvrage de François Vatin, Le travail et ses valeurs, Paris, Albin Michel, 2008, non sans interroger la plus value que les questionnements écologiques pourraient apporter à cet essai. 16 Novembre 2008. Farnçois Vatin annonce dans cet ouvrage vouloir rouvrir la question du lien entre le travail et la nature. L’ambition de l’ouvrage est tout-à-fait centrale pour notre époque, qui connaît une crise profonde de ce que l’on appelle « nature », une crise qui prend la forme d’un débat récurrent et difficile autour du « productivisme ». Pour ce faire, François Vatin adopte la méthode de l’histoire intellectuelle ou histoire des idées. François Vatin remonte jusqu’à l’Antiquité pour rappeler le mépris grec envers le « travail ». Mais d’où vient ce « travail » ? Dans une quatrième partie, F. En conclusion F. Ce livre ouvre de nombreuses pistes extrêmement intéressantes mais il est loin de toutes les refermer. La question des 35 h, enfin.
Discrimination dans le monde du travail - Ndema idriss, Laurent Ries, Renaud Heckmann Mémoire en Ressources humaines La discrimination dans le monde du travail Sommaire I. 1. II. 1. a) Le CV et la première sélection 5b) L'entretien 6c) La discrimination positive 10d) Les politiques actuelles de discrimination positive 13 2. a) Par l'employeur ou d'autres supérieurs 16b) Par les collègues 18 III. 1. a) Les stéréotypes 19b) Les préjugés 19c) Le racisme 20d) Le sexisme 20e) L'homophobie 21 2. a) La situation économique d'un Etat 21 b) En entreprise 21c) Chez l'employé et l'employeur 21d) Chez les clients 23 3. IV. 1. V. 1. a) Le harcèlement moral et sexuel 28b) L'égalité professionnelle et les quotas 32 2. 3. VI. VII. 1. La discrimination au sens large est définie comme étant un traitement inégal et défavorable à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes en raison de différences par rapport à d'autres individus placés dans des situations comparables. Le Code pénal définit la discrimination (article 225-1) comme suit : 2. 4.
Yanis Varoufakis & Noam Chomsky: bedingungsloses Grundeinkommen Noam Chomsky & Yanis Varoufakis discuss Basic Income In the following video, Yanis Varoufakis and Noam Chomsky talk about the concept of a basic income guarantee also knowns as a universal income. To find out more about this concept visit the basic income network. Is a basic income neccessary in today’s day and age? These questions and many others are addressed in the following video: VIDEO: Yanis Varoufakis and Noam Chomsky on a Basic Income NOTE to Yanis Varoufakis: The video with Yanis Varoufakis was originally published by the Gottlieb Duttweiler Institute. NOTE to Noam Chomsky: This event with Noam Chomsky took place on the 6th of January, 2015 and due the the developments in global affairs, acTVism Munich felt the need to republish these videos to inform the public. Notable excerpts from the video: Yanis Varoufakis on the future of humanity and the comparison to sciene fiction films: We are moving towards a science fiction world that will become non-fiction. About Yanis Varoufakis:
Notre système économique est incompatible avec qui NOUS sommes source : Hier soir dans le cadre du colloque sur l’évolution de la Conscience, j’assistais à ma deuxième rencontre avec Erwin Laszlo, fondateur du Club de Budapest qui était en dialogue avec Andrew Cohen. Suite à une incroyable déclaration appelée sentiment de l’Akasha “comment savoir si ma conscience évolue“, Erwin Laszlo nous a réuni par les mots, par la force de leur sens, par la vérité qu’ils transportaient. Un réveil, un éveil, une prise de conscience collective s’il en était besoin, que nous ne sommes qu’un, voici les premières lignes : I am part of the world. The world is not outside of me, and I am not outside of the world. Je suis partie intégrante du monde. Je suis partie intégrante de la nature et la nature fait partie de moi. Je suis partie intégrante de la société et la société fait partie de moi.
VISION CRITIQUE => [Radio] Analyse critique des propositions de Bernard Friot Simplement, nous aurions 1500 euros "à vie" grâce à des caisses de cotisation dont on se demande comment elles seront financées en phase de crise structurelle du capitalisme (parce que, pour avoir de l’argent, il faut en produire, forcément), en travaillant pour nos mêmes entreprises de merde, pour produire des mêmes marchandises de merde, pour une même vie de merde, des mêmes rapports sociaux de merde, avec un même Etat de merde et soumis à un même Marché de merde ! Un capitalisme de "sécurité sociale" laissant intact une même dépossession, aliénation, exploitation, avec des rapports marchands et de domination étatique, en plus complètement irréaliste sauf révolution - et, dans ce cas, faire une révolution pour une sous-réforme du capitalisme, c’est vraiment idiot. Abolition du salariat, du travail, du capitalisme ! L’émission :
L’infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations | Bernard Stiegler « L’infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations, tout cela revient à réfléchir au pouvoir immense du marketing sur une société devenue un troupeau de consommateurs. Permettez-moi un détour… Le capitalisme a muté au début du vingtième siècle, avec le fordisme. Nous sommes alors sortis de l’époque productiviste du capitalisme, celle de la révolution industrielle de la fin du XIXe siècle et début du XXe siécle qui a transformé nos vies – des chemins de fer à l’électricité alimentant l’usine et les nouvelles concentrations urbaines. Ce capitalisme a transformé les ouvriers, les artisans, les paysans en prolétaires. Conférence Isègoria management : Bernard Stiegler parle du "vivre ensemble" et des dérives sociétales. Qu’est-ce qu’un consommateur ? De fait, après Henri Ford, la grande industrie a systématisé sa logique commerciale et capitalistique, comme sa recherche de profits maximisés.
La signification du travail, la sécurité d'emploi et la conciliation emploi-famille 1Comme l’ont indiqué les auteurs dans leur présentation, ce livre visait à repérer, décrire et analyser les ethos du travail dans le contexte actuel qu’ils caractérisent par l’émergence d’un nouveau modèle productif postfordiste, puis d’examiner l’arrimage des types d’ethos du travail repérés avec les principales caractéristiques des idéologies et pratiques managériales propres à ce nouveau modèle productif. L’ouvrage est certes intéressant pour lancer le débat sur ces questions, et en particulier à savoir si les égotélistes, comme ils les appellent, sont effectivement la figure de l’avenir. Comme nous le rappellent les auteurs : 2On nous dit aussi que « L’égotéliste participe pleinement de la nouvelle idéologie du travail, laquelle a su conjuguer les changements culturels et structurels récents aux fins de la valorisation du capital. 4On peut d’abord s’interroger à savoir si ce modèle des égotélistes est ou sera effectivement dominant, comme le proposent les auteurs.