background preloader

Les dangers du glutamate, un tueur lent, mais implacable !

Les dangers du glutamate, un tueur lent, mais implacable !
De nombreuses études tendent à démontrer que le glutamate monosodique (GMS ou MSG), cette simple petite poudre blanche, un exhausteur de goût très largement utilisé dans la cuisine asiatique et qui se cache derrière à peu près 25 noms différents est un poison lent. Irritant du tube digestif, il déclenche une faim mécanique qui pousse à la consommation. Voyons cela de plus près D’abord, on sait, dans le monde de la recherche scientifique, que le glutamate monosodique, administré à des rats à leur naissance, les rend systématiquement obèses et a pour effet de tripler la quantité d’insuline que secrète leur pancréas… Une découverte très utile pour les scientifiques qui se penchent sur les tests d’études portant sur les régimes amaigrissants ou sur le diabète. Génétiquement, le rat ou la souris ne sont pas obèses. Il faut donc en créer l’espèce. Et ce n’est pas un scoop !!! Les premières études constatant les effets secondaires du glutamate datent de 1978 ! Pour les sceptiques… en France :

http://www.cuisine-en-sante.com/glutamate-danger/

Related:  Additifs

Le glutamate de sodium, définition et danger Qu’est-ce que le Glutamate de sodium ? Il règne une grande confusion à propos du Glutamate (ou glutamate monosodique ou GMS, -MSG en anglais-). C’est avant tout un acide aminé présent naturellement dans le corps et utilisé surtout par le système nerveux. Hyperactivité des enfants : les additifs alimentaires impliqués La revue médicale britannique The Lancet, a mis en cause l'effet de certains additifs alimentaires sur le comportement hyperactif des enfants. Cet article est fondé sur un rapport de l'Université de Southampton réalisé en 2007 pour l'agence des normes alimentaires britannique (Food Standards Agency, FSA). Hyperactivité des enfants et colorants Cette étude menée sur 298 enfants de trois, huit et neuf ans, démontre que l'association de certains additifs favorise l'hyperactivité infantile.

Les dangers du glutamate Le glutamate ou E621 est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Pourtant, il présente de vrais inconvénients qu’il faut connaître. Le glutamate monosodique. Edulcorants : pas de sucre mais pas zéro impact Un édulcorant courant, le sucralose, peut modifier la façon dont l’organisme réagit au sucre. Ils ont le goût du sucre sans apporter autant de calories, mais attention : les édulcorants ne sont pas sans effet sur l’organisme ! Une petite étude américaine publiée en ligne dans Diabetes Care apporte de nouvelles preuves. On connaissait les controverses autour de l’aspartame, voici que cette fois-ci le sucralose, que l’on retrouve par exemple dans Canderel®, est montré du doigt.

Le glutamate monosodique (GMS) présente un danger pour le consommateur - Salubrité et sécurité des aliments - Échelle de crédibilité - Mythes et réalité Le glutamate monosodique (GMS), communément nommé glutamate ou MSG en anglais, est principalement utilisé comme rehausseur de saveur dans l’industrie agroalimentaire. C’est un professeur japonais du nom d’Ikeda qui découvrit cette substance à partir de l’algue Kombu au début du 20ième siècle. Dans la culture alimentaire japonaise, l'acide glutamique est responsable du cinquième goût, l'umami. Aspartame : des dangers confirmés ? En 2010 une étude Danoise faisait parler d'elle. Celle-ci mettait en évidence une relation statistique entre la consommation de boissons édulcorées contenant de l'aspartame et le risque d'accouchement prématuré (1). L’EFSA, l'agence européenne qui traite de la sécurité alimentaire, avait conclu qu’aucune preuve disponible dans l’étude ne permettait d'affirmer qu’il existait un lien de causalité entre la consommation de boissons non alcoolisées contenant des édulcorants artificiels et l'accouchement prématuré mais avait sollicité des données supplémentaires. Aujourd'hui c'est un groupe de chercheurs Suédois et Norvégiens qui vient de publier une étude qui confirme ces inquiétudes.

Acide glutamique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'acide glutamique (ou glutamate sous la forme anionique de l'acide glutamique) est l'un des 20 acides-α-aminés naturels constituant les protéines. Sa chaîne latérale contient un résidu carboxyle, ce qui en fait un acide aminé « acide », dicarboxylique, polaire. On l'abrège Glu, ou E s'il est incorporé à une chaîne peptidique.

E171 : l'additif alimentaire perturbe le système immunitaire Des chercheurs de l'Inra montrent que l'exposition orale au dioxyde de titane induit de façon spontanée des lésions précancéreuses chez le rat. Notre assiette nous veut-elle du mal ? Difficile de ne pas la regarder avec défiance alors que pesticides, perturbateurs endocriniens et autres molécules chimiques s’invitent dans notre alimentation. Et les conclusions d’une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) publiées ce vendredi dans Scientific Reports ne vont pas calmer cette inquiétude : l’additif alimentaire E171, retrouvé notamment dans les bonbons, est capable de traverser la paroi de l’intestin, perturber le système immunitaire et d'induire des lésions précancéreuses chez le rat.

Faut-il se méfier des carraghénanes (E407) Les carraghénanes, qu’est-ce que c’est ? Les carraghénanes sont des extraits d’algues rouges utilisés comme épaississants ou gélifiants dans de nombreux produits ultra transformés. On peut les identifier également sous le code E 407. Le groupe d’experts de l’Efsa a fixé une dose journalière admissible (DJA) provisoire de 75 mg/ kg de poids corporel qui doit être réévaluée dans les 5 ans. Les aliments industriels nous rendent-ils malades Mardi 11 décembre 2018, sur France 5, l’émission Enquête de santé sera consacrée à l’impact des aliments industriels sur notre santé. Avec, dans le reportage deux collaborateurs de LaNutrition.f, bien connus de nos lecteurs : le chercheur Anthony Fardet, docteur ès-sciences et auteur de Halte aux aliments ultra transformés ! Mangeons vrai et Anne-Laure Denans, docteure en pharmacie, et l’auteure du Nouveau guide des additifs.

Ce que l’on sait des effets des émulsifiants de synthèse sur le cerveau Plusieurs équipes de chercheurs ont pointé du doigt le rôle que pourrait jouer l’alimentation moderne, et les additifs alimentaires, sur l’augmentation de l’incidence des troubles psychologiques (anxiété, dépression) et des troubles du comportement [1]. Certains additifs alimentaires, comme les émulsifiants de synthèse qui sont couramment retrouvés dans les produits dits « ultra-transformés », auraient ainsi un impact négatif sur notre cerveau d’une manière indirecte. En effet, ces substances seraient capables d’altérer le réseau de communication complexe entre l’intestin et le cerveau, appelé « axe intestin-cerveau ». L’axe intestin-cerveau L’axe intestin-cerveau est un système de communication bidirectionnel entre le cerveau et l’intestin.

Related: