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Macro Timelapse

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Co-evolution of methods and thoughts in cereal domestication studies: a tale of barley (Hordeum vulgare) Open Access Highlights Models of cereal domestication help understand the origin of agriculture. Genome-wide analyses greatly increased the complexity of cereal domestication models. Cultivated barley genomes consist of blocks of the heterogeneous ancestry. Introgression played a major role in cereal domestication. Tracing ancestry of domestication genes is critical to unraveling the domestication history. Five major cereals such as wheat, rice, maize, barley and sorghum were among the first Neolithic crops that facilitated the establishment of the early agricultural societies. “For every complex problem there is an answer that is clear, simple, and wrong”H.L. Introduction Cereals have a long history of interaction with humans. Advancements in the genome sequencing technologies enabled the elucidation of the genetic ancestry and evolutionary history of domesticated genotypes at the unprecedented resolution and scale [13, 14• and 15••]. Genome resequencing in cereal domestication studies

Ghostlayer בקיעת צבוני ים The physics of pollinator attraction - Moyroud - 2016 - New Phytologist I. Introduction Attracting animal pollinators is essential to the reproductive success of the great majority of angiosperm species. The angiosperm flower, particularly the corolla, has been described as a sensory billboard, catching the attention of potential pollinators and advertising the presence of nectar and pollen rewards within (Raguso, 2004). II. Most objects appear colourful because of chemical pigments that selectively absorb certain wavelengths of light. Light focusing When Noda et al. (1994) identified the mixta mutant of Antirrhinum majus they expected the causal mutation to affect the production of anthocyanin pigments as the flowers appeared paler than those of the wild type (Fig. 1a). Is this optical trick part of the flower's arsenal to attract pollinators? Gloss Structural colour The physical features of the petal can not only modify the appearance of pigments but also generate colour directly. Polarization III. Conical cells, grip and slip Triggering pollen transfer IV. V.

Les plantes aussi ont une vie sexuelle Le tour de force perceptif des plantes pour se maintenir à la verticale Nous partageons avec la plupart des plantes la station debout, verticale. On sait depuis longtemps que nous contrôlons la verticalité de notre posture grâce à une perception de la gravité au sein de notre oreille interne, en particulier au niveau du système otolithique, un ensemble de petits « cailloux » pris dans un gel et reposant sur des cils mécanosensibles. Dans les statocytes, des grains d'amidon appelés statolithes (violet) sédimentent sous l'action de la gravité et leur position est perçue par un capteur mécano-biologique. Or, les plantes sont très souvent agitées par le vent, sans pour autant perdre le sens de la verticale. Ces dernières années, les chercheurs ont révélé que les plantes partageaient avec nous le contrôle postural en combinant sens de la verticalité et aussi celui de la configuration de leur corps via le sens de la proprioception1. 1.

Les fleurs sous-marines aussi ont leurs pollinisateurs ! - Sciencesetavenir.fr POLLEN. Sur terre comme dans la mer, les fleurs ont trouvé des alliés pour se reproduire : les animaux. Il était jusqu'à présent admis que la pollinisation sous-marine se faisait uniquement par l'eau, mais des chercheurs de l’Université nationale autonome du Mexique ont réussi à prouver que des amphipodes (petits crustacés) ainsi que des polychètes (vers aquatiques) participaient également au transfert de pollen des fleurs mâles vers les fleurs femelles. *Herbier. Ces plantes peuvent aussi se reproduire par clonage mais la reproduction sexuelle permet de maintenir le flux de gènes dans les populations et de recoloniser un milieu après de fortes perturbations (tempêtes, eutrophisation de l’eau etc.). Faune avec des grains de pollen (entourés) - Crédit : Nature Communications Les chercheurs ont choisi d’étudier cette reproduction sexuée en laboratoire pour s’assurer qu’il s’agissait bien d’une "réelle" pollinisation.

Diversité génétique et origines des citrons et limes C’est à un véritable travail d’investigation scientifique que se sont livrés les chercheurs de l’Inra San Guliano pour trouver les origines phylogénétiques et géographiques du citron jaune et des citrons verts, appelés aussi limes. Les résultats montrent que les citronniers jaunes qu’ils ont étudiés, incluant les variétés commerciales classiques et ceux de deux collections (Corse et Espagne) présentent un même profil génétique. Leur génome est composé à 50 % de cédratier, à 30 % de mandarinier et à 20 % de pamplemoussier. À partir de ces résultats, les chercheurs ont proposé une origine hybride entre le bigaradier, le parent femelle (dont l’ADN est à 50 % d’origine mandarinier et 50 % d’origine pamplemoussier) et le cédratier, le parent mâle. Le cédrat est le premier agrume à être introduit en Méditerranée en 300 avant J.C. en provenance de la Mésopotamie. Origine phylogénétique supposée des cultivars modernes d'agrumes © Inra, Franck Curk * Cellule possédant 3 jeux de chromosomes.

Ces plantes qui élèvent leurs bactéries Ces plantes qui ont domestiqué les bactéries. Pour leur croissance, toutes les plantes ont besoin de lumière, de gaz carbonique, d’eau et de nutriments. Si la lumière et l’air sont des ressources ultra-abondantes et faciles d’accès, les nutriments, eux, sont puisés dans le sol qui n’en détient qu’un stock limité. Parmi ces éléments indispensables : l’azote. Cette exploitation - la ferme du Moulon - est le lieu d'une expérimentation agricole dont le but est de déterminer la quantité optimale d’azote à fournir à un champ de blé. ITV Didier Tropée, technicien de recherche C’est une plante qui a été bien nourrie, et il y a une plante qui a souffert. Les céréales comme le blé ou le maïs souffrent de l’absence d’engrais azotés. ITV Benoit Alunni, biologiste Donc historiquement on travaille plutôt sur des luzernes, mais plus récemment on introduit d’autres modèles comme le pois, et encore plus récemment, des eschinoménés, qui sont des plantes tropicales.

FleurOfruit FleurOfruit 2016 propose 4 activités, à réaliser en individuel ou en binôme, sur la reproduction et la dissémination des plantes à fleurs. Deux problèmes scientifiques sont posés : Comment les graines assurent-elles l’installation des plantes à fleurs dans un nouveau milieu ? Activité 1 : Les modes de dissémination des semences. Activité 2 : La graine et les conditions de sa germination. Comment se forment les fruits et les graines des plantes à fleurs ? Activité 3 : La transformation d’une fleur en fruit. Téléchargements : Les versions 2016 en ligne (connexion internet obligatoire) : La version ordinateur (Windows, Linux, Mac Os X) (autre lien possible)La version tactile (tablette/smartphone Windows, Androïd, iOS) (autre lien possible) Les versions 2016 téléchargeables (au format zip) qui permettent de lancer l’application sans internet (et donc sans temps de chargement : Le mode d’emploi Les documents d’accompagnement (activités) : activité 1, activité 2, activité 3 logiciel "FleurOfruit"

Science et vie Dépourvus de leur feuillage, les abres rentrent en dormance l’hiver – Ph. Wefi_Official / Flickr / CC BY SA 2.0 C’est étrange, un arbre, en hiver. Immobile, sombre, décharné. Si on pose la question à un biologiste, il répond : en hiver, les arbres dorment… à moitié ! Car l’arbre a un objectif : protéger ses bourgeons, que menace notamment le gel. L’hiver, ils plongent dans un état de dormance Cette phase où l’arbre prend ses quartiers d’hiver, c’est la “paradormance”. Mais qu’on ne s’y trompe pas ! L’arbre n’est donc pas mort ! Ils ont besoin du froid pour revivre Parallèlement, l’arbre ne fait pas seulement le dos rond contre le froid : il oppose aussi à celui-ci une résistance dont il a le secret. Et il compte aussi les jours ! Au final, “il existe trois grands mécanismes ‘antigel’, énumère Thierry Améglio. Car en plus des mécanismes de protection proprement dits, les arbres ont mis en place des processus de réparation. 1. L’amidon sert de base pour construire un antigel végétal – Ph.

Dossier : la vie sexuelle des fleurs Découvrez à travers ce dossier à quel point la vie sexuelle des fleurs est importante et comment la fleur réussit à réunir dans une même trilogie botanistes, poètes et généticiens.Où sont... Les noms des fleurs : règles de dénomination Pourquoi le nom de Rosier des chiens (Rosa canina) pour l’églantier ? La fleur et ses organes reproducteurs mâles et femelles : étamines et pistil Les fleurs sont le plus souvent hermaphrodites, c'est-à-dire qu'elles possèdent des organes reproducteurs mâles (les étamines libèrent le pollen) et femelles (le pistil reçoit le pollen).Goethe... Floraison : pourquoi une plante fleurit-elle ? Pourquoi le corps des plantes peut-il évoluer tout au long de la vie, en produisant de nouveaux organes, alors que le corps de la plupart des animaux reste quasiment identique de la naissance à la... Fleur et sexualité : la reproduction des plantes La découverte d’une sexualité chez les plantes a bouleversé la botanique. Sexualité : l'évolution des plantes à fleurs

Dossier > Les fleurs et leur vie sexuelle de A à Z ChristianDumas Biologiste Fleur Découvrez à travers ce dossier à quel point la vie sexuelle des fleurs est importante et comment la fleur réussit à réunir dans une même trilogie botanistes, poètes et généticiens. « - Où sont les hommes ? Cette citation issue de l'œuvre d'Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince (1946, New York), illustre bien toute l'étendue poétique des fleurs. Comment fonctionne la vie sexuelle des fleurs ? Pour le grand public, la science est souvent considérée comme austère et la fleur semble être un bon moyen de résoudre l’équation d’un certain bonheur scientifique ; équation avec plusieurs termes : un peu d’art, de poésie, d’histoire des sciences et quelques données scientifiques pour montrer en quoi la vie sexuelle des fleurs est essentielle. L’Arum titan, aussi baptisée « phallus de titan », n’est pas seulement la plus grande fleur du monde, c’est aussi celle qui a le parfum le plus nauséabond.

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