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Impacts du numérique sur l'apprentissage

«L'être et l'écran» «Le philosophe Dominique Lecourt analyse les bouleversements apportés par la révolution du numérique dans notre rapport à l’apprentissage et dans nos relations aux autres. » La Croix, le 24/09/2013 Apprend-on mieux sur un support papier ou sur un écran ? « Différentes études seraient plutôt en faveur du papier, mais la différence est faible [...] Un chercheur français (André Tricot, université de Toulouse) affirme, lui, que la lecture sur un écran est plus complexe car il faut en permanence réfléchir à une action : cliquer ou non sur un lien, déclencher le déroulement du texte ou passer à la page suivante. Futura Sciences, le 22/03/2013 Les enseignants plébiscitent le manuel numérique 90% des enseignants interrogés dans le cadre d’un sondage de Savoir livre estiment que le manuel numérique leur permet de mobiliser l’attention de toute la classe. Livre hebdo, 27 mai 2010. Café pédagogique, 18 avril 2010 Fourgous, Jean-Michel. IGEN ; Borne, Dominique. Autres caractéristiques

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Apprendre/désapprendre : sur la ligne de crête des apprentissages numériques A l’occasion de la parution de la 3e édition du Digital Society Forum consacrée aux nouvelles formes d’apprentissages (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée), en partenariat entre la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous republions le texte introductif du sociologue d’Orange Labs, Dominique Cardon, qui revient sur les rapports entre éducation et technologies. Une bonne introduction aux deux principales problématiques de l’apprentissage : qu’est-ce qu’apprendre et qu’est-ce que change le fait d’apprendre avec le numérique… En elles-mêmes, les Technologies de l’Information et de la Communication pour l’Enseignement (TICE) ne sont causes de rien, ne rendent pas les enseignants plus pédagogues, les enseignés plus performants ou la société plus savante.

Controverses numériques Pour la 4ème édition de ce cycle d'analyse prospective des différentes questions relatives au numérique, plus de 400 décideurs, innovateurs et autres chercheurs se sont penchés sur 75 questions relatives au monde digital d'aujourd'hui et de demain organisées selon plusieurs thématiques : Innovation, économie et industrie, Éducation et culture, Données et vie privée, Politique et numérique, Politiques du numérique, Lien social, Travail et emploi, Territoire, Écologie et environnement, Questions éthiques et morales, Santé et corps. Afin d'essayer de comprendre et d'anticiper les mutations présentes et futures, les auteurs proposent un recensement (« controversarium ») des nombreuses controverses afférant aux technologies du numérique. Pour aider à mieux saisir la complexité des débats liés à telle ou telle controverse, le cahier contient également de nombreuses références à des travaux de recherche sur support imprimé ou numérique. Sources et références complémentaires

Comment évalue-t-on dans la classe du futur ? Dans la mesure où une intégration réussie des technologies dépend d'une révision de la pédagogie, tous les dispositifs éducatifs doivent être repensés à l’aune des TICE : outils, méthodes, objectifs et bien sûr évaluation. En pédagogie traditionnelle, l'évaluation porte principalement sur l'acquisition des savoirs et, dans une moindre mesure, sur les savoir-faire. Or, le numérique a rendu les savoirs disponibles et accessibles à (presque) tout le monde. Impact des TICE en EPS Delphine Evain L'usage des TICE (techniques d'information et de communication pour l'enseignement) dans le cadre de l'enseignement d'EPS reste une orientation de l'évolution du métier bien difficile à accepter pour un certain nombre de professeurs tant son efficacité semble relative. Le présent article avance l'idée que les TICE ne pourront jamais remplacer le temps moteur de pratique effective en classe nécessaire aux apprentissages des élèves. Cependant, elles ont la faculté d'augmenter le temps moteur en réduisant d'autres temps de la leçon qui ne sont pas des temps de pratique physique : gestion administrative, transmission d'informations diverses, gestion de pratiques, par exemple. Cette première approche, même si elle paraît incontournable, reste superficielle car l'usage envisagé est entendu dans le cadre de la leçon et selon une manipulation par l'élève. De la différenciation à l'individualisation

L'apprentissage numérique à l'école La bonne nouvelle, c’est que les outils numériques sont désormais plus courants à l’école. En 2012, les enfants de 15 ans étaient plus de neuf sur dix à utiliser des ordinateurs à l’école au moins une fois par semaine en Australie et au Danemark, de même que 57 % des élèves en moyenne dans les 29 pays membres pour lesquels on dispose de données, soit quatre points de mieux qu’en 2009. Jusqu’à présent pourtant, l’utilisation accrue des ordinateurs à l’école s’est rarement traduite par de meilleurs résultats. Il n’existe par exemple pas d’association positive entre l’utilisation d’ordinateurs à l’école et les résultats des élèves en mathématiques, selon le Programme international de l’OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA). Au Japon, en Corée, à Shanghai-Chine ou à Singapour, dont les élèves figurent en tête du classement PISA 2012, l’utilisation des ordinateurs à l’école est inférieure à la moyenne de l’OCDE. Cependant, le rôle des enseignants est toujours aussi essentiel.

Inhibition, analogie, erreur, face au numérique Dans son dernier opuscule, destiné davantage au grand public spécialisé qu'aux chercheurs et spécialistes de la psychologie, Olivier Houdé (Apprendre à résister, le pommier 2014) nous parle de l'importance de l'inhibition comme mécanisme permettant d'apprendre. Il rejoint en cela d'autres publications récentes, plus grand public, comme le numéro de la revue Cerveau et Psycho (septembre 2014) consacré au développement de l'enfant qui reprend aussi, entre autres, cette question de l'inhibition. Le terme inhiber n'a pas ici totalement le sens qui lui est attribué communément. On parle volontiers de timidité, de frein, lorsque l'on dit de quelqu'un qu'il ou elle est inhibé. Pour la psychologie cognitive inhiber est plus fort et est considéré comme un processus d'empêchement, de blocage fort. De plus ce processus vise à en permettre un autre, ne pas se fier à la première perception, à la première représentation qui souvent entraîne, dans le contexte de l'apprentissage, à l'erreur.

SANKORÉ Session Inserm : Les nouveaux médias et le développement cognitif de l'enfant SANKORÉ Session Inserm : Les nouveaux médias et le développement cognitif de l'enfant Conférence-Débat : INSERM / SANKORE : ZOOM SUR LES NEUROSCIENCESQue disent les neurosciences sur l’Education numérique ? Les nouveaux médias viennent concurrencer les outils traditionnels de la transmission des savoirs et du développement des capacités cognitives.Dans un domaine où l'innovation est constante, la recherche devient rapidement obsolète. Cependant, une recherche abondante est déjà à notre disposition.Nous essaierons d'en dégager quelques grandes lignes et de proposer des axes sur lesquels les outils à venir pourront être évalués pour mettre en évidence leur valeur ajoutée du point de vue du développement de l'enfant.

Les bébés et les écrans ? Des recommandations basées sur la science et non sur la tendance. Qui n’a pas déjà entendu que “Tous les enfants en dessous de 2 ans ne devraient pas être exposés aux écrans, quelqu’il soit, dans n’importe quelle situation! “ Ces phrases sont souvent associées avec le fameux : “Non, jamais d’écran pour les tout-petits, cela va, affecter le développement de leur cerveau et les rendre complètement apathiques“. Mais pourquoi autant de peurs autour des écrans chez les plus jeunes, surtout sur le développement de leur cerveau et de leurs compétences cognitives ?

Ce document évoque le pour et le contre de l’utilisation du numérique à l’école. Selon des études, les élèves auraient tendance à être plus attentifs quand le professeur utilise le numérique. Les enseignants sont aussi favorables car il permet de trouver différentes sources afin d’enrichir leurs cours. Cependant, contrairement aux manuels papier, le numérique peut être sujet de différents dysfonctionnements. by hmleabiss Nov 14

Cette page web est tres interessante car elle permet de mettre en relief les differents points de vue de chercheurs sur le numerique. Certains chercheurs affirment que par exemple, la lecture numerique sur un ecran, pose plus de problemes que la lecture sur un livre car cela fragiliserait la memorisation de leleve. Eric Jamet, lui, professeur de psychologie a Rennes 2, pense que le numerique peut favoriser l apprentissage mais sous certaines conditions. Ce serait donc aux matieres enseignees de s adapter au numerique et non pas l inverse, car l usage d outils numeriques varie en fonction des disciplines enseignees. Meme si le numerique presente quelques points negatifs, beaucoup de points positifs sont releves. Par exemple, il permet un acces theoriquement illimite aux informations et a la communication. Pour introduire notre sujet, il est donc important de constater que certes, le numerique peut apporter des choses positives aux eleves en difficulte mais ce nest pas sans limites. by camillepeltier Mar 18

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