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L'économie sociale et solidaire

L'économie sociale et solidaire
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Le circuit économique Sélectionné pour la Nuit du film scientifique, samedi 8 juin à Paris Suivez le circuit, parfois inattendu, de l’argent dépensé par Mademoiselle Rose pour l’achat d’une boîte de petits pois dans un supermarché ! De Mademoiselle Rose à Monsieur Gino, en passant par la société Orditop ; de l’entreprise à l’État en passant par les salariés, la banque, l’actionnaire, etc : un circuit apparemment complexe expliqué de manière simple et humoristique. Source : Banque de France - Cité de l’Économie et de la Monnaie, en partenariat avec Universcience (ce film a été présenté en 2013 à l’exposition « L’’économie : krach, boom, mue ? Objectif : Comprendre le principe du circuit économique. Public : 10+ (et plus particulièrement à partir du collège) Durée : 4’50’’

Les doutes de Jeremy Rifkin sur "l'économie du partage" Dans "Les Échos" du 2 octobre 2014, Jeremy Rifkin brosse la vision d'une "économie hybride entre capitalisme et partage". Frictions et collaboration entre "l'économie collaborative" et les "oligopoles du Net" Dans son entretien aux "Les Échos" , Jeremy Rifkin reconnaît d'abord une tension entre "l'économie du partage" et la tendance à l'oligopolisation dans certains secteurs du numérique sous la houlette des grands acteurs venus d'Internet. Or, cette tension est une réactualisation de celle qui est apparue à partir de la popularisation du web au milieu des années 1990, mais elle a en quelque sorte pris une ampleur phénoménale du fait du succès de certains modèles économiques. L'enjeu nouveau porte bien en effet sur "l'Internet des objets/machines" et surtout les modes de production "déconcentrés". Mais il y a donc un paradoxe dans le modèle esquissé par J. Plus fondamentalement, J. La question cruciale de la rémunération des "prosommateurs" Un enjeu énergétique fondamental J.

Le fonctionnement du marché - Love Communication : Cours BTS Gratuit Le marché est au centre du fonctionnement de notre système économique. Sa fonction est d'organiser le mieux possible des échanges. Des règles sont mises en place pour qu'il fonctionne le plus efficacement. L'organisation des échangesLes différents types de marchéLe marché de biens et servicesLe marché du travailLe marché des capitauxLes principes de fonctionnementL'économie de marchéLe circuit économiqueLa concurrenceLes garanties pour les intervenantsL'accès à l'informationLa garantie de bonne exécution des contratsLa confiance mutuelle entre les participants En économie, le marché se définit comme un lieu de rencontre entre l’offre et la demande. Ainsi, l’organisation des échanges sur les marchés est possible par la présence des offreurs (entreprises qui vendent) et des demandeurs (clients qui achètent). L'observation de la nature des échanges permet de distinguer trois types de marchés : des biens et services, du travail, du capital. La productionLa répartitionLa consommation

L'économie collaborative s'invente en France : gardons notre avance Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts: ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative dont la France est pionnière. Consommation collaborative, production distribuée, finance participative, éducation et savoir ouverts. Ces mouvements nés de la rencontre de l'innovation numérique et sociale sont les piliers d'une nouvelle économie : l'économie collaborative. La France est un pays pionnier en la matière. « Ce n'est pas une crise, c'est un changement de monde », prophétisait le philosophe Michel Serres. Alors que la banque Lehman Brothers s'effondrait et emportait l'ancien monde dans sa chute, quelques poignées d'enthousiastes anonymes, éparpillés un peu partout entre l'Europe et les États-Unis, commençaient à expérimenter des façons inédites de consommer, fabriquer et échanger. 1. 2. 3.

Epargne : des livrets solidaires pour investir utile Dans la famille des livrets solidaires, on connaît surtout les livrets de partage. Ils prévoient de reverser tout ou partie des intérêts à des associations ou des organismes solidaires, mais l'épargne y est généralement placée de manière conventionnelle, c'est-à-dire sur les marchés traditionnels. Ils ne font donc pas profiter d'un engagement total. Lire aussi : Extension du domaine des produits solidaires Il en existe cependant quelques-uns qui poussent plus loin l'engagement, en consacrant la totalité des sommes collectées au financement d'activités déterminées et solidaires. Le Crédit coopératif, la banque fer de lance de ce mouvement, vient ainsi de lancer avec la Chambre de commerce et d'industrie de région Nord de France un Livret Troisième Révolution industrielle très ciblé. Concrètement, les sommes déposées par les épargnants sur ce livret permettront à la banque d'octroyer des prêts aux projets d'entreprises liés à ces thématiques.

Amap ou Ruche qui dit oui : quel système vous correspond Qualité, proximité et pied de nez à l’industrie agroalimentaire : d’un système de distribution en circuit court à l’autre, les mots d’ordre se font écho. Pourtant, depuis la diffusion, en mars dernier sur Internet, d’une lettre dans laquelle un apiculteur explique son refus d’approvisionner la Ruche qui dit oui, les partisans de la vie sans supermarché sont divisés. Entre ripostes, rumeurs et amalgames, la saveur retrouvée des produits fermiers a pris un arrière-goût amer. En deux mots, pouvez-vous rappeler le principe de votre système ? Léo Coutellec : Les Amap sont des Associations de maintien de l’agriculture paysanne. Guilhem Chéron : La Ruche qui dit oui est un système de vente directe qui s’organise via Internet. Chez vous, on dit plutôt « clients », « consommateurs responsables » ou « militants » ? Léo Coutellec : Certainement pas « clients » ! Quel degré d’engagement votre système demande-t-il ? Léo Coutellec : Dans les Amap, l’engagement est central. Guilhem Chéron : La qualité.

[Chronique] Un marketeur doit-il apprendre à partager ? Vous aimiez le capitalisme et le libre-échange ? Vous allez adorer l'économie du partage ! La " sharing economy ", dont le concept est apparu il y a quelques années dans la Silicon Valley, est en train de débarquer dans tous les compartiments de notre petite vie bien pépère. Voiture, appartement, cave, tout ce que nous possédons peut, un jour ou l'autre, devenir une source de profit, à condition qu'on accepte de le mettre en location et d'en faire bénéficier les quelques millions d'internautes qui nous entourent, et qui ne demandent qu'à en profiter. Comment un tel concept est-il apparu, et qu'est-ce que cela va modifier dans l'univers des marketeurs ? C'est ce que je vous propose de voir ensemble. L'homme est un animal social, et très tôt, nous apprenons à partager nos biens, ou à les prêter à nos proches, certains y parvenant même mieux que leurs congénères. Mais plusieurs événements sont venus perturber cet équilibre. L'internet et le mobile ont également eu un impact.

L'économie collaborative en quête d'un modèle pérenne Ils sont réunis pour trois jours à la VIllette. Pour la troisième année consécutive, les participants du OuiShareFest vont débattre et échanger à propos de l'avènement de l'économie collaborative, plus tout à fait nouvelle, pas encore installée. C'est justement à ce moment charnière que les organisateurs ont choisi de s'intéresser en intitulant leur rendez-vous "Lost In Transition". "On est un peu au temps 2 de l'économie collaborative, pointe Marc-Arthur Gauthey, du laboratoire d'idées OuiShare. Un temps qui suit celui de l'émergence de cette ribambelle de nouveaux acteurs. Certains reproches commencent à être formulés, avec l'idée que la répartition n'a pas toujours fonctionné comme elle aurait dû." Des idéaux et des mastodontes Parler des têtes d'affiche de l'économie du partage ou collaborative, c'est égrener des noms désormais aussi familiers que Airbnb ou BlabaCar ou Uber. Des chiffres à prendre avec des pincettes. La fin du salariat ?

Le Prêt Economie Sociale et Solidaire de Bpifrance L'économie sociale et solidaire a désormais un prêt qui lui est consacré spécifiquement au sein de la banque publique d'investissement. Bpifrance propose le PESS aux PME du secteur, créées depuis plus de trois ans*. Quels types de dépenses? Il finance essentiellement "les dépenses immatérielles et l'augmentation du fonds de roulement liées au développement de l'activité ou à la réalisation d'un programme d'investissement corporel ou incorporel". Quel montant? Ce crédit, d'une valeur de 10 000 euros au minimum, et 50 000 euros au maximum (voire 100 000 euros en cas d'intervention de la région), ne requiert aucune garantie. Quelle durée? Sa durée est de cinq ans, dont un an de différé en amortissement de capital. Concours bancaire, apport en fonds propres ou quasi fonds propres exigé Très important : comme la quasi-totalité des "produits" Bpifrance, le Prêt Economie Sociale et Solidaire ne peut être accordé seul. A noter : Bpifrance peut garantir le prêt bancaire.

Plafond sécurité sociale 2016 Le 17 décembre 2015, l'arrêté portant fixation du plafond de la sécurité sociale pour 2016 a fixé les valeurs mensuelle et journalière du plafond de la sécurité sociale pour les rémunérations ou gains versés à compter du 1er janvier 2016. Il suit la présentation des comptes de la Sécurité sociale pour l'année 2014, ainsi que les prévisions pour 2015 et 2016 de la Commission des comptes de la Sécurité sociale du 23 octobre 2015. Le rapport prévoyait de revaloriser le montant du plafond de la Sécurité sociale de 1,5 % pour l'année 2016. Le plafond de la sécurité sociale passe à 38 616 euros en 2016 (contre 38 040 en 2015), soit 3 218 euros par mois et 177 euros par jour. Le plafond de la sécurité sociale sert de référence dans de nombreux calculs de cotisations sociales dites plafonnées (les cotisations d'assurance vieillesse, la contribution au FNAL, les cotisations aux régimes complémentaires de retraite, les cotisations aux complémentaires santé...). Année >>> 38 616 euros Le PASS 2015

Comment les marques font-elles face à "l'ubérisation" ? Ubériser ou se faire ubériser, telle est la question. Pour s'adapter et participer à l'économie de partage, les marques doivent repenser leur rapport au marché et aux consommateurs. "Ubérisation : partager ou mourir !?". L'étude menée par Monitor Deloitte, cabinet de conseils en stratégie livre ses préconisations aux entreprises "traditionnelles", afin de les aider à sauter le pas de l'économie collaborative. Au risque de disparaître, les marques devraient donc s'adapter à l'économie on-demand - synonyme d'économie collaborative - un "modèle disruptif qui appelle un nouveau regard sur l'innovation et sur le leadership", souligne le rapport publié en juillet. Et pour cause. Innover et adopter un nouveau modèle de leadership : telle est donc la clé, selon

Loi Travail: les entreprises de l'ESS réclament des changements "Nous étions intéressés par les intentions de la loi, notamment développer le dialogue social et sécuriser les employeurs, et, au final, nous sommes déçus". Hugues Vidor, président de l'Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire (Udes) faisait part, jeudi 19 mai, de ses récriminations contre le projet de loi Travail devant l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis). L'organisation, qui regroupe 80% des employeurs fédérés du secteur de l'ESS (associations, mutuelles, coopératives...), compte bien se faire entendre auprès des sénateurs qui l'étudieront en séance à partir du 13 juin. Impact sur le coût du travail Première des revendications, et non des moindres, le rétablissement de la capacité de régulation de la branche. L'Udes regrette donc que l'amendement du rapporteur Sirugue qui imposait un contrôle a priori des accords d'entreprise par la commission paritaire de branche n'ait pas été adopté. Oui au référendum "patronal"

Economie collaborative: les acteurs veulent aller plus loin que la loi Travail Pas question de laisser tomber l'article 27 bis du projet de loi Travail qui instaure une responsabilité sociale des plateformes de l'économie collaborative. Le Sénat l'a supprimé en commission, mais le gouvernement a déposé un amendement pour son rétablissement en séance. Myriam El Khomri recevait par ailleurs ce 10 juin au matin des représentants de l'Observatoire de l'ubérisation, rassemblant plateformes et auto-entrepreneurs. Ce dernier lui a fait part de propositions que la ministre dit vouloir étudier sérieusement. LIRE AUSSI >> Loi Travail: des droits pour les travailleurs des plateformes collaboratives Première suggestion: modifier l'article 27 bis dans son volet assurance accidents du travail/maladies professionnelles. Recouvrement des cotisations par les plateformes La seconde proposition est ambitieuse: faire que ce soit les plateformes qui versent les cotisations sociales pour le compte de leurs travailleurs. Du pain sur la planche

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