Accueil - NEGAOCTET. Les tips indispensables pour réduire son empreinte carbone. Aujourd’hui indispensable, le téléphone est ancré dans nos vies professionnelles comme dans notre vie personnelle.
Il est bien-sûr très pratique mais sa fabrication et son utilisation ont aussi un impact sur la planète. Alors on vous donne quelques tips pour l’utiliser tout en limitant l’impact environnemental et social de ce petit bijou de la technologie. On privilégie l’achat d’un téléphone reconditionné Que ce soit votre premier téléphone ou votre vingtième, on vous conseille de favoriser le reconditionnement. La fabrication d’un portable a un très fort impact environnemental, alors réfléchissez y à deux fois avant d’acheter le smartphone dernière génération et pensez à tous ces mobiles qui rêvent d’une seconde vie. Et si on diminuait notre empreinte carbone numérique ? Célébrer la cause environnementale le 08 décembre c’est bien, en faire une préoccupation sur le long terme, c’est encore mieux.
Et les citoyens sont de plus en plus nombreux à prendre ce sujet à bras-le-corps et à souhaiter réduire leur empreinte carbone ! Et contrairement aux idées reçues, il n’y a pas que les pots d’échappement ou les déchets plastiques qui polluent, le digital aussi. Lutter contre la pollution numérique devient donc un enjeu de taille. Une bonne nouvelle dans tout ça ? Oui. Frugalité Numérique : centres de calcul (Deuxième partie) - Louis Naugès. J’ai commencé l’année 2020 par le premier d’une longue série de billets sur la Frugalité Numérique.
J’aborde aujourd’hui l’un des six domaines d’action que j’y ai identifié, les centres de calcul, Data Center en anglais. Commencer par les centres de calcul n’est pas anodin ; c’est trop souvent sur eux que se concentre la vindicte des écologistes mal informés, qui les accusent d’être de grands méchants consommateurs d’énergie. Ce billet démontre que faire des choix “frugaux” pour ses centres de calcul est l’une des décisions les plus positives pour la planète que peuvent prendre les entreprises, avec des impacts forts et immédiats. Les centres de calcul dans le monde. Numérique : le grand gâchis énergétique.
Ordinateurs, data centers, réseaux… engloutissent près de 10 % de la consommation mondiale d’électricité. Et ce chiffre ne cesse d’augmenter. S’il n’est évidemment pas question de se passer des progrès apportés par le numérique, les scientifiques pointent un mode de fonctionnement peu optimisé et très énergivore. How is your website impacting the planet? Site web éco-responsable : 30 techniques pour avoir la bonne approche. Par equipage | 4 juin 2020 | Site Web Face aux enjeux actuels, la pollution numérique a été pointée du doigt.
En effet, la navigation sur Internet pollue bien plus qu’on ne le pense. Green AI. By Roy Schwartz, Jesse Dodge, Noah A… AI’s Carbon Footprint Problem. For all the advances enabled by artificial intelligence, from speech recognition to self-driving cars, AI systems consume a lot of power and can generate high volumes of climate-changing carbon emissions.
A study last year found that training an off-the-shelf AI language-processing system produced 1,400 pounds of emissions – about the amount produced by flying one person roundtrip between New York and San Francisco. The full suite of experiments needed to build and train that AI language system from scratch can generate even more: up to 78,000 pounds, depending on the source of power. That’s twice as much as the average American exhales over an entire lifetime.
But there are ways to make machine learning cleaner and greener, a movement that has been called “Green AI.” Some algorithms are less power-hungry than others, for example, and many training sessions can be moved to remote locations that get most of their power from renewable sources. Apprentissage profond et émissions de carbone. A provocative paper, Energy and Policy Considerations for Deep Learning in NLP by Emma Strubell, Ananya Ganesh and Andrew McCallum has been making the rounds recently.
While the paper itself is thoughtful and measured, headlines and tweets have been misleading, with titles like “Deep learning models have massive carbon footprints”. Deep Learning’s Carbon Emissions Problem. Earlier this month, OpenAI announced it had built the biggest AI model in history.
This astonishingly large model, known as GPT-3, is an impressive technical achievement. Yet it highlights a troubling and harmful trend in the field of artificial intelligence—one that has not gotten enough mainstream attention. Modern AI models consume a massive amount of energy, and these energy requirements are growing at a breathtaking rate. Mission d’information sur l’empreinte environnementale du numérique - Sénat. Le bureau de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable a retenu, dans son programme de contrôle pour l'année 2020, la création d'une mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique.
Les travaux de la mission devraient durer jusqu'à la fin du premier semestre 2020 et comprendront notamment des auditions des principaux acteurs français et étrangers du secteur ainsi que des déplacements en France. Dans un contexte de numérisation croissante de notre société, la mission a pour objectif d’évaluer les impacts environnementaux du digital en France, directs et indirects, en tenant compte aussi bien des usages que de la fabrication des terminaux, des réseaux et des centres informatiques. Impact environnemental du numérique : le Sénat tire la sonnette d'alarme.
Il est peut-être temps de réfléchir à l'empreinte carbone de l'intelligence artificielle. L'empreinte écologique des entraînements de modèles en data science. Un deep learning durable, c'est possible ? (ETX Studio) - L'entraînement d'une machine de deep learning pollue autant que cinq voitures tout au long leur vie.
Pour diminuer l'empreinte carbone de ces machines, des chercheurs planchent sur de nouvelles méthodes. En juin, l'entreprise américaine OpenAI a dévoilé le plus grand modèle de générateur de texte au monde. Appelé GPT-3, le programme peut écrire de la fiction créative ou traduire du jargon juridique en anglais simple. Il s'agit de la dernière prouesse d'intelligence réalisée par le deep learning.
Au-delà de l'avancée technologique, il ne faut pas perdre de vue la pollution monstre de cet outil. [1906.02243] Energy and Policy Considerations for Deep Learning in NLP. Training a single AI model can emit as much carbon as five cars in their lifetimes. The artificial-intelligence industry is often compared to the oil industry: once mined and refined, data, like oil, can be a highly lucrative commodity.
Now it seems the metaphor may extend even further. Like its fossil-fuel counterpart, the process of deep learning has an outsize environmental impact. In a new paper, researchers at the University of Massachusetts, Amherst, performed a life cycle assessment for training several common large AI models. Pourquoi l'intelligence artificielle est un désastre écologique. A quand une taxe carbone pour les géants de la tech ? Selon des chercheurs de l’Université du Massachusetts, aux Etats-Unis, l’IA ne fait pas que « raffiner » des données comme l’on raffinerait du pétrole : tout comme l’or noir, les méthodes d’apprentissage en profondeur ont en effet un impact environnemental considérable.
Les scientifiques américains ont mesuré l’empreinte carbone d’une branche de l’IA qui explose, au fur et à mesure que les assistants vocaux et les services de traduction instantanée se développent : le traitement automatique du langage naturel (NLP) . « Les progrès récents en matière de matériel et de méthodologie pour la formation des réseaux neuronaux ont donné naissance à une nouvelle génération de grands réseaux formés à l'abondance de données. Ces modèles de deep learning ont permis d'obtenir des gains notables en termes de précision pour de nombreuses tâches du NLP.
Manifeste - Planet Tech'Care. « Climat : l'insoutenable usage de la vidéo » : le nouveau rapport du Shift. « Si l’on veut être sérieux avec les objectifs de transition énergétique, il est indispensable de prendre en compte l’impact du numérique, qui est en croissance exponentielle. Cette analyse montre que c’est possible. »Matthieu Auzanneau, Directeur général, The Shift Project « Les opportunités du numérique étant précieuses, mieux les calibrer est essentiel pour en préserver l’utile. Être ‘sobre’ à l’échelle de notre société, c’est donc réinventer nos usages pour qu’ils soient compatibles avec les contraintes climatiques.
C’est un défi stimulant, et ce rapport m’a permis de commencer à le mesurer. »Maxime Efoui-Hess, auteur du rapport, The Shift Project Le numérique émet aujourd’hui 4 % des gaz à effet de serre du monde, et sa consommation énergétique s’accroît de 9 % par an. « Pour une sobriété numérique » : le nouveau rapport du Shift publié. La consommation d’énergie du numérique est aujourd’hui en hausse de 9 % par an. Il est possible de la ramener à 1,5 % par an en adoptant la « Sobriété numérique » comme principe d’action. La transition numérique telle qu’elle est actuellement mise en œuvre participe au dérèglement climatique plus qu’elle n’aide à le prévenir.
Il est urgent d’agir. C’est ce que conclut le rapport sur l’impact environnemental du numérique publié le 4 octobre par The Shift Project, think tank de la transition carbone, quatre jours avant la publication du rapport spécial du GIEC sur un monde à 1,5°C. Cet impact environnemental doit être adressé, faute de quoi le numérique fera davantage partie du problème que de la solution. Le numérique étant reconnu comme un levier de développement économique et social, la transition numérique apparaît comme incontournable pour l’ensemble des pays et des entreprises. 25 debat numerique college. Inès Leonarduzzi diminue l’impact écologique du numérique - Les Echos Planète. Faire prendre conscience de la pollution numérique, accompagner les acteurs économiques vers des usages plus vertueux, sensibiliser les citoyens, les missions de Digital for the Planet sont plurielles et pionnières.
A suivre la trajectoire d’Inès Leonarduzzi, on pourrait se perdre. Blog - Greenspector. - Accueil. Quels sont les impacts environnementaux du numérique en France. [article mis à jour le 30 janvier 2021 avec les résultats finaux de l’étude suite à la revue critique menée entre juillet et décembre 2020] Suite à la pandémie de COVID19, l’humanité aspire encore plus qu’avant à construire un « jour d’après » où le respect de l’environnement joue un rôle clé. Green IT - GreenIT.fr - la communauté des acteurs de la sobriété numérique et du numérique responsable (Green IT, low-tech numérique, écoconception web et de service numérique, etc.) Sénat : Rapport alarmant sur l’impact environnemental du numérique en France et 25 propositions à la clé ! - TechSnooper.
Quelques entreprises régionales, e-Mana (Aix-en-Provence), Qwant (Sophia-Antipolis), Jaguar Network (Marseille) et Wooxo (La Ciotat), pour ne citer qu’elles, se sont associés à l’appel lancé le 9 avril dernier, par un collectif d’entrepreneurs, de pionniers et de décideurs du numérique français, pour une liberté, une souveraineté et une sécurité numériques immédiates. Ce collectif rassemble à ce jour plus de 200 acteurs du numérique qui s’engagent à lutter contre la dépendance numérique en offrant des solutions souveraines pour répondre aux besoins et usages essentiels du numérique. Leur objectif : réduire la dépendance numérique avec pas plus de 50% d’outils numériques d’acteurs extra-européens pour limiter notre dépendance dans le secteur public. Privilégier les solutions alternatives françaises ou européennes à tous ces services américains. La situation est la même dans le numérique.
La pollution numérique a-t-elle augmenté durant le confinement ? L'informatique est une source de pollution : datas centers, objets informatiques et des besoins dans ce domaine toujours en hausse. Dans la problématique de la pollution numérique, l'enjeu réside en partie sur le fort taux de renouvellement des objets informatiques. « Climat : l'insoutenable usage de la vidéo » : le nouveau rapport du Shift. Syntec Numérique a publié 7 livres verts sur le développement durable.