Comment piéger le virus ? Grippe de Hong Kong, sida, SRAS, Ebola, Covid-19… Depuis maintenant un demi-siècle, nous subissons un nouveau cycle de pandémies.
Virologues, biologistes, anthropologues, écologues travaillent d’arrache-pied pour comprendre et combattre ces virus. Mais, ils ont eu beau souligner les invariants de ces maladies liées à nos modes de vie et à la mondialisation, l’opinion et les États ont tardé jusqu’à présent à prendre la mesure des enjeux. Afin de mieux saisir ce que peut la science et ce qui ne dépend pas d’elle, le 1 se penche cette semaine sur ce que les chercheurs nous disent de la crise, ainsi que sur leurs conditions de travail – de la dévalorisation de leur statut aux nouveaux outils dont ils disposent. Grippe de Hong Kong, sida, SRAS, Ebola, Covid-19… Depuis maintenant un demi-siècle, nous subissons un nouveau cycle de pandémies.
Virologues, biologistes, anthropologues, écologues travaillent d’arrache-pied pour comprendre et combattre ces virus. Covid-19 : le virus détecté dans la sueur humaine par des chercheurs à Bangkok... Dans les allées d'un marché fréquenté de la capitale thaïlandaise, un homme et une femme en combinaison de protection demandent à un vendeur de placer un écouvillon sous son aisselle.
Quinze minutes plus tard, la tige est transposée dans un flacon de verre, stérilisé par des rayons UV. Un échantillon est prélevé et analysé. 30 secondes plus tard, le résultat tombe: négatif. Cette méthode est "fiable à 95%", un résultat comparable au PCR nasal, d'après les premiers essais réalisés sur 2.000 personnes, assure à l'AFP le chercheur Chadin Kulsing de l'université Chulalongkorn de Bangkok qui développe ces unités mobiles de détection. Son équipe a déjà lancé une expérimentation avec des chiens renifleurs de sueur pour détecter les cas asymptomatiques au Covid-19 et ce nouveau projet est complémentaire.
"Les personnes infectées par le Covid-19 sécrètent des substances chimiques très distinctes", relève le chercheur. "C'est aussi plus pratique", note un vendeur sur le marché. Covid-19 : le ministère de la Santé autorise la vente d'autotests en pharmacie... Un arrêté du ministre de la Santé publié dimanche 11 avril au Journal officiel autorise la vente en pharmacie d'autotests de dépistage du Covid-19 sur prélèvement nasal, pour les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans.
Ces autotests "vont se déployer progressivement dans des milliers d'officines tout au long de la semaine", a indiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran, dans un entretien au Journal du dimanche. Ils "vont être rapidement mis à disposition dans les établissements scolaires", a-t-il ajouté, disant envisager "d'aller jusqu'à deux tests par semaine par élève et par enseignant". Ces autotests, qui ne nécessitent pas de présence de professionnels de santé et dont le mode de prélèvement est "moins invasif" que les dispositifs RT-PCR, "permettront la réalisation de tests plus fréquents", souligne l'arrêté publié au JO. Leur prix sera encadré: il ne pourra excéder 6 euros jusqu'au 15 mai, puis au-delà 5,20 euros. Leur vente sur internet est interdite. Les autotests ne seront finalement pas en vente en supermarchés pour l'instant... La Haute Autorité de Santé (HAS) a donné cette semaine son feu vert à la commercialisation d'autotests.
Alors que la grande distribution se tenait prête à les mettre en vente dès ce week-end, il semblerait qu'elle n'ait pas encore obtenu l'autorisation, rapporte BFMTV. Carrefour avait rapidement annoncé avoir commandé un million d'autotests, qui seraient disponibles en fin de semaine dans les rayons de ses magasins, mais officiellement, les grandes surfaces n'ont pas encore le droit d'en vendre. Des centres de dépistage gratuits sont déployés à Paris dès lundi... Pour faciliter l’accès des Parisiens aux tests de dépistages du Covid-19, le gouvernement annonce le déploiement de centres gratuits devant la plupart des mairies d’arrondissement.
Gabriel Attal l’a annoncé sur RTL : des laboratoires temporaires seront installés dès demain, lundi 31 août, à Paris. "On a franchi hier la barre historique des 900.000 tests réalisés en une semaine", a précisé le porte-parole du gouvernement. Les personnes qui le souhaitent, assurés ou non, pourront réaliser un PCR, dépistage virologique, sans rendez-vous ni ordonnance, et gratuitement. Ces tests consistent à enfoncer une sorte de coton-tige dans les narines. Cette annonce intervient alors que les laboratoires parisiens connaissent un afflux important de personnes souhaitant se faire dépister, sans ordonnance ni rendez-vous.
Coronavirus: Des chercheurs d’Harvard veulent généraliser les tests rapides et moins fiables... Pour l’ensemble des gouvernements, la question des tests pour dépister le Covid-19 est un vrai casse-tête.
D’un côté, les tests PCR, les plus fiables, sont encore rares dans de nombreux pays et nécessitent du personnel médical, de l’autre on en trouve des moins précis mais moins onéreux et donc plus facilement généralisables. Pour aider les politiques à faire un choix, des chercheurs aux Etats-Unis militent pour l’adoption de tests rapides à un dollar, répétables plusieurs fois par semaine par toute la population. A faire à la maison comme un test de grossesse Michael Mina, professeur d’épidémiologie à Harvard, prône depuis des semaines pour ce qu’il a appelé des tests de mauvaise qualité, « nuls » ou plus familièrement « merdiques » (« crappy »). L’idée est de s’affranchir du modèle actuel PCR, pour lequel les gens font souvent la queue des heures, et attendent des jours, voire une semaine, pour les résultats. Prélèvement dans le nez, fiabilité, remboursement... Neuf questions sur les tests virologiques qui auront lieu après le 11 mai...
L'armée va elle aussi investir ses efforts dans le dépistage du Covid-19... Retrouvez ce contenu plus tard en appuyant sur ce bouton Ce contenu a bien été ajouté à vos favoris dans votre profil !
Ce contenu a bien été retiré de vos favoris. L'armée a décidé d'investir 1,8 million d'euros pour le développement par une société française d'un test de dépistage rapide du Covid-19, a annoncé ce mardi 7 avril le ministère des Armées, saluant le second projet de ce type en quelques jours. Le laboratoire Roche annonce un test sérologique d’ici deux semaines... Retrouvez ce contenu plus tard en appuyant sur ce bouton Ce contenu a bien été ajouté à vos favoris dans votre profil !
Ce contenu a bien été retiré de vos favoris. Le groupe pharmaceutique suisse Roche a annoncé ce vendredi 17 avril le développement d'un test sérologique pour détecter les personnes ayant développé une forme d'immunité contre le nouveau coronavirus grâce à la présence d'anticorps. Un test sérologique qu'il espère lancer début mai. Réalisé à partir d'une prise de sang, ce test appelé Elecsys Anti-SARS-CoV-2, permet d'identifier les personnes qui ont été infectées, sans forcément présenter de symptômes, et développé des anticorps contre le virus, a indiqué le groupe suisse dans un communiqué. Roche travaille activement avec l'agence américaine des médicaments, la Food and drug administration (FDA), pour obtenir une autorisation de mise sur le marché dans le cadre d'une procédure d'urgence. Coronavirus : les tests sérologiques utiles seulement "pour compléter ou confirmer le diagnostic", estime la Haute autorité de Santé...
Coronavirus : des chiens capables de détecter les personnes positives. Coronavirus : voici la procédure pour se faire tester et éviter de propager l'épidémie. "Le virus est toujours là, et nous pouvons tous être contaminés".
A l'occasion de la levée du confinement imposé à la population pour lutter contre la pandémie de coronavirus, lundi 11 mai, le ministère de la Santé, l'Assurance maladie et Santé publique France ont diffusé une nouvelle vidéo revenant sur la procédure de dépistage mise en place afin de freiner la diffusion du SARS-CoV-2. Dans ce spot, les autorités invitent les Français à "être responsables". N'hésitez donc pas à contacter votre médecin traitant dès l'apparition de symptômes, même légers, tels que de la toux, de la fièvre, un mal de gorge, le nez qui coule, ou encore la perte de goût ou de l'odorat. Celui-ci décidera de vous soumettre ou non à un dépistage. Si votre médecin décide de vous tester au Covid-19, les autorités sanitaires vous invitent à rester chez vous en attendant les résultats et à éviter les contacts, en particulier avec les plus personnes les plus fragiles. Coronavirus: Les Etats-Unis autorisent un nouveau kit de test à domicile...
L’Agence américaine des médicaments (FDA) a autorisé ce samedi un nouveau kit de prélèvement d’un échantillon nasal dans le but de dépister le nouveau coronavirus, augmentant la panoplie disponible dans un pays qui cherche à accélérer le dépistage de sa population.
Coronavirus : fonctionnement, utilité, fiabilité... Cinq questions sur les tests sérologiques, dont l'efficacité est en cours d'évaluation... De nombreux laboratoires proposent de réaliser facilement des tests sérologiques, qui permettent de détecter la présence d'anticorps contre le coronavirus. Toutefois, leur efficacité n'a pas encore été clairement démontrée, alertent les autorités sanitaires. Ils sont l'un des outils pour assurer la réussite du déconfinement. En recherchant des anticorps, les tests sérologiques doivent permettre d'identifier si une personne a été en contact avec le coronavirus.
Mais, pour l'heure, en France, les autorités veulent limiter leur utilisation. Des tests sérologiques pour le coronavirus homologués... Qu’a annoncé le gouvernement concernant les tests de dépistage ? Le ministère de la Santé a publié aujourd’hui sur son site une liste de tests sérologiques jugés fiables pour détecter une infection passée au coronavirus responsable la maladie Covid-19. Parmi 32 tests examinés, 23 ont été homologués par le Centre national de référence consacré aux virus des infections respiratoires, un groupe de laboratoires spécialisés missionné par le ministère de la Santé. Les tests sérologiques permettent de déterminer si une personne a été infectée au cours des semaines précédentes, même si elle n’a pas présenté de symptômes, en détectant la présence d’anticorps. Voici la liste des tests sérologiques jugés fiables et qui pourraient être remboursés par l'Assurance maladie.
L’arrêté ministériel à ce sujet se fait encore attendre. Mais les tests sérologiques devraient être remboursés par l’Assurance maladie à compter de la semaine prochaine. C’est ce qu’a annoncé Nicolas Revel, son directeur, à franceinfo le 20 mai. La Haute autorité de santé (HAS) s’est déclarée favorable à ce remboursement, mais seulement pour les “tests sérologiques de type ELISA et TDR à la fiabilité établie par le CNR" (centre national de référence). Alors qu’une trentaine de tests sérologiques existent, une liste de 23 tests jugés “fiables” a été dévoilée par le CNR jeudi soir, a repéré Sciences et avenir. L’évaluation de certains tests serait toutefois toujours en cours, précise franceinfo. ENQUETE FRANCEINFO. Coronavirus : peut-on se fier aux tests sérologiques proposés par les laboratoires ?... Bientôt des tests Covid aussi rapides que l’éthylotest ?... Cette machine, utilisée depuis juin à l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon, pourrait révolutionner les tests de la Covid-19.
Comme le rapporte Le Progrès, des chercheurs de l’Institut de recherches sur la catalyse et l'environnement de Lyon (Ircelyon) planchent sur la possibilité de mettre en place un test par le souffle, à l'image de l'éthylotest, qui détecterait la maladie. Cet instrument, s'il se révèle efficace, représenterait un véritable gain de temps. "Si l’on parvenait à identifier des composés volatils typiques du Covid-19, une sorte de 'signature', on pourrait alors mettre au point une méthode de dépistage de la maladie via le souffle", précise le journal du Centre national de la recherche scientifique (CNRS).
Depuis le mois de juin, cette machine, de la taille d'un réfrigérateur, du constructeur suisse Tofwerk, passe de chambre en chambre dans le service Covid de l'hôpital de la Croix-Rousse, pour étudier l'air expiré par les patients contaminés. Coronavirus : les pharmacies autorisées à effectuer des tests rapides... Coronavirus : cette start-up d’Israël vise un test de détection en 30 secondes... Pourra-t-on bientôt détecter le coronavirus en 30 secondes ? C'est le pari ambitieux de NanoScent, start-up israélienne, pour permettre un dépistage à grande échelle et assurer "un retour à la normale", alors que le Codid-19 fait un retour en force dans le pays. Il s'agit de déterminer la présence du virus, pas celle d'anticorps.
Spécialisée dans l'analyse des odeurs grâce à des algorithmes, la société a mis au point un test faisant penser aux éthylotests, à la différence qu'il faut expirer par le nez et non par la bouche. Il faut dans un premier temps inspirer par le nez, retenir son souffle, se boucher une narine et placer un tube dans l'autre narine. Puis expirer dans l'embout nasal, inséré à l'autre extrémité dans un sachet transparent. Les tests pour le Covid-19 gratuits et sans ordonnance...
Covid-19 : quand faut-il passer un test PCR... et quand vaut-il mieux s'abstenir ?... Covid-19 : cinq questions sur les tests dans les eaux usées pour évaluer l'évolution de l'épidémie... Rechercher dans l'eau trouble ce qui ne peut pas se voir ailleurs. C'est l'idée à l'origine de l'Observatoire épidémiologique dans les eaux usées. Obépine, de son petit nom. Créée début mars 2020, à l'initiative de l'université de la Sorbonne, de l'opérateur Eau de Paris et de l'Institut de recherche biomédicale des armées, la structure s'attache à détecter la charge virale du Covid-19 dans les eaux des stations d'épuration françaises.
Une telle recherche a permis, lors des première et seconde vagues, d'identifier de manière précoce la recrudescence de la circulation du virus. Covid-19 : trois questions que l'on se pose sur les autotests, mis en vente "dès cette semaine" en France... Les autotests de dépistage contre le coronavirus seront en vente "dès cette semaine" en France, a annoncé dimanche 14 mars le directeur général de la santé, Jérôme Salomon sur le plateau de BFM TV.
Quels espoirs ?... Coronavirus : pourquoi l'essai européen Discovery, voué à trouver un traitement, patine... Covid-19 : on vous explique ce qu'est "l'immunité muqueuse", une piste de recherche prometteuse pour un futur vaccin nasal... Même si elle reste efficace contre les formes graves de la maladie, la vaccination seule ne suffira pas à contenir une nouvelle vague épidémique à l'automne. L'Institut Pasteur l'a écrit clairement dans ses modélisations publiées le 6 septembre. En cause, la "baisse d'efficacité des vaccins contre les infections : on sait qu'on était à 80% [avant le variant Delta], on est plutôt autour de 60% de protection" aujourd'hui, a expliqué le journaliste et médecin Damien Mascret sur France 2.
Pour lutter contre la transmission du Covid-19, des chercheurs misent désormais sur une nouvelle forme de vaccin, par spray nasal, pour conférer aux patients une immunité dite "muqueuse". Qu'est-ce que "l'immunité muqueuse" ? Covid-19 : certains malades développent une immunité “surhumaine”, selon une étude...
Certains scientifiques l’ont appelée "immunité surhumaine" ou "pare-balles", mais l’immunologiste Shane Crotty préfère parler d’immunité "hybride" au Covid-19. Dans une étude publiée par la revue scientifique Science en juin, relayée le 7 septembre par la radio américaine NPR, ce spécialiste de l’immunologie a noté que certains malades développaient une résistance au SRAS-CoV-2 "d’une puissance impressionnante". Covid-19 : les chercheurs japonais trouvent un mécanisme qui bloque le virus... Ces chercheurs de l’université d’Hokkaido au Japon ont compris le mécanisme qui empêche le virus de se répliquer dans nos cellules.
Ils viennent de publier leurs résultats dans la revue Nature Immunology pour expliquer le rôle clé de la protéine appelée RIG 1. Elle agit comme un système d’alarme de la cellule quand elle est attaquée par un virus. Coronavirus: un essai clinique avec du sang de ver marin obtient son feu vert... Coronavirus : les hôpitaux de Paris testent l'oxygénation de patients à domicile... Chine: l'ours et sa bile sacrifiés sur l'autel du coronavirus... La Chine a donné son feu vert à un médicament à base de bile d'ours afin de traiter des patients victimes du Covid-19, relançant la controverse sur le traitement des plantigrades élevés à cette fin.
Des associations écologistes dénoncent de longue date le sort fait en Chine à des milliers d'ours, immobilisés dans d'étroites cages où leur abdomen est perforé par un cathéter relié à leur vésicule afin d'en prélever la bile. GENCI, le CEA, la CPU et Atos arment les scientifiques européens pour lutter contre le COVID-19 grâce au Calcul Haute Performance... L’agence nationale du calcul intensif GENCI indique ainsi que plus de 20 projets scientifiques liés au COVID-19 bénéficient aujourd’hui de la puissance de calcul des trois supercalculateurs nationaux, dont font partie Joliot-Curie et Occigen (avec la machine Jean Zay à l’IDRIS), et ce, après seulement quelques semaines d’ouvertures des machines en mode “urgent computing”, grâce surtout au support technique des équipes locales des trois centres concernés. Joliot-Curie au Très Grand Centre de Calcul du CEA. Coronavirus : un lien entre la pollution et la mortalité de la maladie ?
Covid-19 & anticorps... Rôle du microbiote intestinal... La médecine ancestrale contre le Covid-19... Manger du fromage permettrait-il de se protéger du coronavirus ?... Covid-19 : cinq questions sur les traitements à base d’anticorps monoclonaux... Le premier vaccin contre le Covid-19 sera autorisé "d'ici une semaine" en Europe, annonce Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. En France, les premiers vaccins seront administrés, au mieux, fin décembre. Mais le plan vaccinal européen et français ne permettra pas de vacciner d'une traite toutes les personnes présentant des risques de développer une forme grave du Covid-19, maladie qui a fait à ce jour plus de 1,6 million de morts dans le monde, selon le décompte de l'université Johns-Hopkins.
Pour limiter les hospitalisations et les morts liées à la pandémie, de nouveaux traitements pourraient venir en renfort. "Un nouveau médicament à base d'anticorps monoclonaux pourrait aussi être validé" début 2021, avance Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, dans une interview accordée au Parisien. En quoi consiste ce traitement ? 1Comment ça marche ? Leur administration se réalise en une seule injection par voie intraveineuse. La vitamine D diminuerait la gravité de la Covid-19...
VRAI OU FAKE. Le vin protège-t-il du Covid-19 ?... Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité. L’aération : une arme fatale contre le Covid-19 ?... Covid-19 : où en est la recherche de traitements contre la maladie ?... L'association des jeunes médecins de Martinique vous informe... Très bel hommage... Coronavirus : Un collectif de médecins appelle à siffler « la fin de la récréation » en France...