Se former Hist-Géo cycle 4 - Mooc HG5 Comprendre des évolutions spatiales dans le temps. Remonter le temps en images sur le site de l'IGN, un outil d'une grande facilité de prise en mains, à la fois par l'enseignant et par les élèves.
Les situations d'usages et compétences travaillées en histoire géographie et en EMC (Enseignement moral et civique) : Des exemples d'usages : - étudier la périurbanisation : deux exemples : dans la vidéo avec Reims et dans l'activité proposée par Jérôme Nicolodi avec Toulouse.- mettre en évidence les changements climatiques (fonte des glaciers par exemple: voir sur le site de l'IGN La vidéo de présentation et les missions associées L'ensemble de ces propositions a été élaboré par l'équipe champenoise du Mooc HG5 : Antoine Béra, Damien Boulonnais, Jérôme Dorilleau, Jérôme Nicolodi et Christine Galopeau de Almeida, IAN. Cartoviz - Les villages, bourgs et hameaux. Vivre et habiter le périurbain aujourd’hui et demain.
Edugéo. Cahier pédagogique "Berry-Sud" Les thèmes abordés dans ce cahier : Le périurbain au centre de la question urbaine. Laurent Cailly introduit son propos en rappelant que le périurbain est associé à un processus migratoire.
Il s'agit d'une catégorie d’espace associée à un mode d’habiter constituant un phénomène d’ampleur et qui pose d'emblée un problème de définition. 1 français sur 5 (ou sur 4) vit dans une commune périurbaine. Le périurbain représente près d’1/3 des communes. Le géographe souligne que le périurbain bouleverse notre modèle urbain hérité : étalement, polycentrisme, flux et réseaux, segmentation fonctionnelle et sociale accrue. Il constitue un modèle d’urbanisation controversé et jugé pathogène. Il déchaine la critique. A revers de cette représentation péjorative et accusatrice du périurbain, Laurent Cailly propose de répondre à deux hypothèses : Thème 3, Sujet d'étude : Les espaces périurbains en France (métropolitaine et ultramarine)
Proposition de séquence en classe de Première technologique pour le nouveau programme de lycée Auteurs : BOULARD Cédric, Lycée Robert Schuman, Charenton-le-Pont. Le lotissement en France : histoire réglementaire de la construction d’un outil de production de la ville. Bibliographie | citer cet article « Comment la France est devenue moche ?
». Ainsi titraient en 2010 Xavier de Jarcy et Vincent Remy un article pour Télérama qui, comme beaucoup d’autres avant lui, associait de manière systématique le lotissement aux très critiqués quartiers d’habitat pavillonnaire. Il existe en effet une confusion entre pavillonnaire et lotissement. Elle est issue du fait que dans le langage courant le terme de lotissement désigne un paysage urbain : celui des espaces résidentiels de maisons individuelles le plus souvent situés aux marges des grandes agglomérations urbaines.
Or, d’un point de vue urbanistique, le lotissement renvoie en premier lieu à un mode de production de la ville, et non à un paysage. Figure 1. Le périurbain : un concept à l’épreuve des pratiques. Bibliographie | citer cet article Construction du XXe siècle, le périurbain voit ses formes et son fonctionnement évoluer invitant à repenser les relations ville-campagne.
Celles-ci puisent dans la permanence d’un lien entre le rural et l’urbain remontant à l’Antiquité mais appellent aujourd’hui une autre manière de faire ville et de faire campagne. Le périurbain a émergé dans ses appellations diverses dans les pays dits du Nord pour décrire le renouvellement des formes urbaines et des modes d’habiter à la périphérie des grands centres urbains, sous l’effet d’un usage massif de l’automobile. La nuit : une nouvelle frontière pour les jeunes des espaces périurbains ? Bibliographie | citer cet article Pour des jeunes en quête d’autonomie, sortir et plus spécifiquement la nuit s’apparente à une frontière à conquérir (Murray, 1978).
La nuit est une notion éminemment spatiale (Bureau, 1997) puisqu’elle renvoie à un environnement différemment perçu dans le cadre de l’effacement de la lumière (Cabantous, 2009). Loin d’être l’envers du jour, la nuit, jeune terrain des géographes essentiellement exploré par son versant urbain (Gwiazdzinski, 2005), est un autre temps aux particularités propres, un temps des possibles dont l’accès s’apparente à l’entrée dans l’âge adulte. Cette conquête touche particulièrement tous les jeunes mais plus spécifiquement ceux vivant dans les espaces périurbains (Didier-Fèvre, 2018). Souvent présentés comme l’espace de la captivité résidentielle (Rougé, 2005) et des mobilités subies (Razemon, 2012), les espaces périurbains apparaissent pour leurs habitants, à certains âges de la vie, comme un « piège spatial ». 1. 2. 3. Figure 7. Seulement 5 ou 15 % de ruraux en France métropolitaine ? Les malentendus du zonage en aires urbaines.
Bibliographie | citer cet article Alors que la démarche de catégorisation des espaces est quasi consubstantielle de l’approche géographique, on oublie parfois de remettre en perspective le processus d’élaboration de ces catégories spatiales, en particulier lorsqu’elles sont issues de nomenclatures officielles.
Considérées comme données et légitimes de fait parce qu’issues d’institutions de référence, les nomenclatures spatiales sont pourtant aussi discutables – au sens premier d’examiner minutieusement – que les approches plus théoriques qui circulent dans la recherche, ou que les conceptions des espaces dites « profanes » de monsieur et madame tout le monde. Or, les nomenclatures officielles ont ceci de particulier que leur légitimité institutionnelle leur confère une double portée : d’une part prescriptive, parce qu’elles s’imposent comme une norme et, d’autre part, performative. 1.
Les principaux référentiels statistiques relatifs aux espaces ruraux 2. 3. 3.1. 3.2. Références. Sans titre. Les espaces ruraux et périurbains en France : cadrage scientifique et pédagogique. Aux frontières de la métropole lyonnaise : des espaces périurbains à géométrie variable. Bibliographie | citer cet article Regroupant plus de 1 300 000 habitants (Insee, 2019 ), répartis sur 59 communes, la Métropole de Lyon est, depuis 2015 (Loi MAPTAM Modernisation de l’Action Publique Territoriale et d’Affirmation des Métropoles), une collectivité territoriale unique (Subra, 2016) née de la fusion de la Communauté urbaine de Lyon et du Conseil Général du Rhône.
Ce statut particulier tient à l’antériorité de cette structure communautaire (Polère, 2014) ayant vu le jour en 1969 sous l’appellation de COURLY puis de Grand Lyon (Tabarly, 2009).