Site du ministère de la Justice
26 janvier 2021 « Ce tribunal permet d’améliorer la lisibilité et le fonctionnement de l’organisation judiciaire » La loi de programmation et de réforme pour la Justice (la LPJ) du 23 mars 2019 a créé le tribunal judiciaire.
Des élèves au tribunal : une audience en correctionnelle
Des élèves au tribunal : une audience en correctionnelle Téléchargement : Anne-Marie Tourillon article LES CAHIERS PEDAGOGIQUES N° 340 Janvier 1996 Faire assister une classe à l'audience d'un tribunal correctionnel répond à un objectif fondamental de sensibilisation des élèves à la justice, à la fois par la confrontation à des situations qui prouvent que tous les membres d'une société sont des justiciables, et par la rencontre avec les professionnels qui mettent en valeur les principes de la justice garantissant les droits de la personne dans le cadre d'un procès juste et équitable. Une triple démarche est nécessaire : - en classe, sensibiliser les élèves à la justice; - puis, par l'audience les confronter à la pratique de la justice; - enfin, après l'audience, effectuer une séance récapitulative sur les divers attributs qui définissent la justice et utiliser l'expérience dans la programmation annuelle pour éclairer les différentes dimensions de la justice.
Série vidéo "Justice des mineurs" 7
Les établissements pénitentiaires pour mineurs Le septième reportage de la série « Au cœur de la justice pénale des mineurs » présente l’incarcération en établissements pénitentiaires pour mineurs (EPM). Le reportage décrit une journée type à l’EPM de Quiévrechain (Nord) et montre le travail du binôme surveillant de l’Administration pénitentiaire - éducateur de la Protection judiciaire de la Jeunesse.
ADO JUSTICE
Si les magistrats considèrent que le jeune est coupable, ce sont aussi les agents de la PJJ qui seront avec le mineur pour le faire évoluer dans le reste de son parcours judiciaire. Ils sont là pour vérifier que le jeune accomplit correctement sa mesure, l'aider si besoin dans ses démarches. C'est un rôle très important : le suivi éducatif.
Les symboles de la Justice
Déesse de la Justice, Thémis la représente grâce à de nombreux symboles qui lui sont associés. La balance, le glaive sont les plus connus mais le bandeau, le genou dénudé et la main de Justice sont aussi attachés à l'institution judiciaire. Déesse grecque, fille d'Ouranos et de Gaïa (respectivement le ciel et la terre), Thémis représente la Justice immanente et l'ordre établi. En grec, Thémis signifie d'ailleurs " loi divine". Épouse et conseillère de Zeus, elle reste à la droite de son trône. Elle veille au bon rapport des dieux entre eux et a le don de prédire l'avenir.
Du duel au procès
Organisation de la séquence Durée : 6 heures d'enseignement.La séquence est divisée en deux séances de 3 heures chacune : Distinguer un duel d'un procès Défendre son honneur dans une société démocratique Déroulement de la séquence Introduction Pour débuter la séquence, une discussion à visée philosophique est organisée entre les élèves au sujet de la légitimité ou non de l'usage de la violence.
Loi : la fessée désormais interdite
La bonne vieille fessée. Un châtiment corporel qui, pendant longtemps, s'est perpétué de génération en génération. "Des fois ça fait du bien", disait même un jeune garçon en 1977. Aujourd'hui, en France, 85% des parents disent avoir recours à la fessée. "Quand ils la méritent, sur les fesses ça ne fait pas mal", estime une femme.
Saint-Lô Cherbourg Coutances Granville Avranches - Protection de l'enfance
Le cadre général d’intervention Au sens le plus large, la protection de l'enfance désigne un ensemble de règles et d'institutions, qui ont pour objet de prévenir les dangers auxquels un mineur peut être exposé. Dans un sens plus restreint, elle vise les politiques ou les mesures directement tournées vers les mineurs et jeunes majeurs de moins de 21 ans.
Éducation -Violences éducatives : la « loi anti-fessée » est promulguée
Gifles, coups, châtiments corporels, et aussi humiliations, insultes, brimades, moqueries... La loi relative à l'interdiction des violences éducatives ordinaires, dite « loi anti-fessée », a été définitivement adoptée. Elle est publiée au Journal officiel du 11 juillet 2019. La loi précise en effet que l'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. C'est notamment l'article du Code civil qui est lu à la mairie lors des cérémonies de mariages.