http://www.youtube.com/watch?v=PWfrcP-w72s
Related: Motivation • Psychologie de l'enfant • Formation (par et pour) • Péda positive - Dys • Pédagogie / Neuro scienceUne idée pour la classe Connaître ses groupes d’élèves « J’ai fait passer le test des IM à mes différents groupes d’élèves, puis j’ai constitué un portrait de chaque groupe. Je me suis servi de l’affiche sur les IM pour illustrer le profil de chaque groupe. » Témoignages d’enseignants ayant recours aux IM Non aux thérapies ! Les psys qui n'y croient pas Et si les psychothérapies n’étaient qu’une escroquerie ? Si la folie n’existait pas ? La psychiatrie a toujours connu des opposants. Et les plus virulents ne sont pas toujours chez les malades… La psychiatrie n’est pas une spécialisation médicale comme les autres. D’emblée, le psychiatre est suspect.
Neurosciences : 10 techniques simples pour faciliter l'apprentissage des enfants (et leur bonheur) Comment aider un enfant à apprendre ? Catherine Gueguen a une idée très précise du sujet grâce à ses connaissances dans le domaine des neurosciences affectives. Cette idée pourrait changer la vie de nombreux parents et enseignants. Je vous invite à découvrir 10 techniques simples à mettre en place dès maintenant. Prérequis
Les dys.... La mise en place, à la fois souple et contrainte, d’une structure aussi complexe que le cerveau comporte inévitablement un risque d’accroc. Et de fait, environ 5 à 12 % des enfants d’une classe d’âge souffrent de déficits dans un domaine cognitif : dysphasie (troubles du langage oral), dyslexie (troubles de la lecture), dyscalculie (troubles du calcul), dyspraxie (troubles du mouvement), hyperactivité ou déficit de l’attention… Il ne s’agit pas là d’une nouvelle marotte des psychologues : le pourcentage de jeunes en difficulté lors des tests des Journées d’appel de préparation à la défense confirme la prévalence des problèmes d’apprentissage dans notre pays. En 2006 par exemple, sur les 800 000 jeunes testés, seuls 78,7 % lisaient efficacement. Pour le reste, 9,6 % étaient des lecteurs médiocres, 6,9 % avaient de faibles capacités et 4,8 % rencontraient des difficultés importantes.
L’apprentissage actif expliquerait les effets positifs de la classe inversée - L'École branchée - actualité Pour plusieurs intervenants du milieu de l’éducation, la classe inversée est un modèle qui aurait des impacts positifs sur la réussite et la motivation des élèves. Mais le succès de la classe inversée relève-t-il du modèle lui-même ou des implications qu’il sous-tend? Une étude s’est penchée sur la question. La classe inversée, modèle pédagogique qui vise à ce que les élèves réalisent les activités pratiques en classe et assimilent la portion théorique en dehors des heures de cours, jouit d’une certaine popularité actuellement. Pour plusieurs intervenants du milieu de l’éducation, au primaire comme au secondaire, ce modèle aurait des impacts positifs sur la réussite et la motivation des élèves. Mais le succès de la classe inversée relève-t-il du modèle lui-même ou des implications qu’il sous-tend?
L'arbre des compétences Qu’est-ce que l’arbre des compétences ? Les arbres de compétences (également nommés "arbres de connaissances") ont été imaginés dans les années 1990. Cette méthodologie pédagogique a été rapidement utilisée dans les écoles Freinet essentiellement. Depuis quelques années, les entreprises utilisent ces arbres de compétences pour dynamiser et réorganiser leurs services (elles utilisent d’ailleurs un logiciel privé fort coûteux pour le faire, mais vous allez constater par vous même qu’il n’y a pas du tout besoin de ce logiciel pour faire le même travail et qu’il serait même plutôt contre-productif d’utiliser ce logiciel). A propos de quelques échanges sur la fonction maternelle en psychanalyse Sandra Verdrel. Introduction. Le désir d’enfant prend naissance dans l’histoire narcissique et œdipienne de la mère. La production imaginaire de celle-ci, s’enrichit durant la grossesse et, le bébéde rêve des parents, va prendre corps
L’apprentissage visible et efficace: Hattie enfin traduit – Gynger Depuis plus de 15 ans, John Hattie, chercheur néo-zélandais, synthétise la recherche et tente d’identifier les facteurs prépondérants et les méthodes les plus efficaces en matière d’éducation et de pédagogie. L’un de ses ouvrages phare, «Visible learning for teachers » est depuis deux jours accessible aux non anglophones. C’est la première fois qu’un livre de John Hattie est traduit en français. Il s’agit d’un événement dans la mesure où les travaux de ce chercheur néo-zélandais constituent depuis dix ans une référence dans le monde en matière d’éducation. La spécificité de sa démarche : il a entrepris de synthétiser plus de 50.000 études portant sur 250 millions d’élèves afin de proposer un état des lieux des données issues de la recherche et de dégager des hypothèses fortes sur ce qui fonctionne et ne fonctionne pas dans une classe. Rendre accessibles les données de la recherche en éducation
Mieux comprendre la dyslexie et la dysorthographie « Lad ysl exie es tun trou bl espéci fiqued el’app renti ssaged ela lect ure. » Cette première phrase peut sembler ardue à lire. C’est malheureusement ce que ressentent les enfants atteints d’un trouble d’apprentissage. Pour mieux comprendre cette problématique que vivent plusieurs élèves, ce dossier thématique propose des articles du RIRE, des recherches et des ressources sur la dyslexie et la dysorthographie. Céline Alvarez, une institutrice révolutionnaire L'ancienne enseignante a démissionné de l'éducation nationale, mais n'a pas renoncé à diffuser les outils de l'école de demain Ne dites pas d'elle qu'elle est « professeure » : cela efface son sourire, assombrit son humeur. D'abord parce que l'année scolaire qui vient de débuter se fera sans elle : Céline Alvarez n'a pas repris, ce 2 septembre, le chemin de l'école maternelle Jean-Lurçat de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) où elle avait entrepris, en 2011, de croiser la pédagogie Montessori avec la recherche en sciences cognitives. Faute de pouvoir élargir l'expérimentation, elle a pris la lourde décision de donner sa démission. Ensuite parce que ce n'est pas pour « professer », comme elle dit, que cette jolie trentenaire a passé en candidat libre, il y a cinq ans, le concours de l'enseignement. Et elle le justifie sans s'embarrasser de fausse modestie : « C'était pour infiltrer le système et parvenir à le changer, pas pour enseigner.
Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations.
LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! L’engouement qui s’est développé rapidement par la suite dans les années 1990 vient, pour une grande part, des recherches en neurosciences et de l’accessibilité d’appareils d’imagerie cérébrale de plus en plus performants (voir capsule outil à gauche). Les mentalités ont donc beaucoup changé en ce qui concerne l’étude des bases neurobiologiques de la conscience. Comme le résumait John Searle à propos de l’utilité d’une revue comme le Journal of Consciousness Studies : « On ne sait pas comment ça marche et on a besoin d’essayer toutes sortes d’idées. » Créer des supports pédagogiques interactifs avec Spiral - Edupronet Combien de fois avez-vous essayé de réaliser des supports pédagogiques interactifs pour rendre vos séances de cours plus intéressantes sans jamais pouvoir aller au bout de votre démarche ? Trop compliqué ? Trop chronophage ?
framakey dys ATTENTION : Article non mis à jour pour la version 2 lien de téléchargement de la nouvelle version 2 : Une clé USB avec des logiciels libres pour apprendre et pour compenser les troubles La Framakey orientée « dys » est une compilation de logiciels libres à installer sur une clé USB pour les élèves et les collégiens présentant un trouble spécifique du développement (les troubles « dys » : dysphasies, dyspraxies, dyscalculies, dyslexies-dysorthographies et TDA/H). Ces logiciels sont dits « nomades », ce qui signifie que les logiciels fonctionnent uniquement depuis la clé USB sans rien installer sur l’ordinateur utilisé.