Disney Princesses, Capitalism and Feminism ENTERTAINMENT - Disney princesses don't slay dragons, play sports or go to university. Higher academics, athletics don't seem to be on their list of things to do. Snow White, Cinderella, Sleeping Beauty, Aurora, Ariel, Belle, Jasmine, Pocahontas, Mulan and newly added Tiana and Rapunzel... they have all perfected the art of being the damsel in distress. Girl power? As a franchise Disney has done very well at selling clothes, toys, dolls to your kids. You may laugh when your daughter says she wants to be a princess when she grows up, but what is she really aspiring to? There's also the health issue... all the Disney Princesses are anorexic. Fairy tales have been around for centuries, little girls have always liked pretty dresses, and its no surprise little girls like them. Why not buy something that is good for your daughter's health and education? This Christmas, I encourage parents to go out and buy their kids some sports equipment.
Mulan (1998) : féminisme et patriarcat chez Disney Sorti 3 ans après Pocahontas, Mulan est également (comme signalé ailleurs sur ce site dans l’article consacré à Pocahontas) une tentative de lutter contre les accusations de racisme, de sexisme et d’ethnocentrisme. Mulan est-elle une tentative plus réussie que Pocahontas ? Sortir de l’ethnocentrisme selon Disney Après avoir été souvent accusés d’ethnocentrisme, les studios Disney ont créé plusieurs héros « exotiques », c’est-à-dire n’étant pas d’origine européenne (Aladdin, Pocahontas…). La Chine, conforme à l’imaginaire collectif occidental Mulan s’inspire de la légende de Hua Mulan[1] dont les origines et le contexte historique sont incertains. Le film de Disney s’écarte de la légende pour des raisons pratiques (la guerre est beaucoup plus courte dans le film) et dramaturgiques (Mulan part sans prévenir ses parents, sans avoir été jamais entraînée au combat et est découverte lors d’une blessure). La Chine vue par Disney… L’ennemi, ce barbare Le méchant est non seulement bridé et basané…
With Tangled, Disney Gets Closer to Embracing Feminism Over the holidays, I finally got a chance to see the animated movie Tangled. I not only laughed at the jokes and enjoyed the fairy tale romp, but I left the theatre with the distinct impression that Disney has taken a few more baby steps on the path to feminism. Just to be clear, I'm suggesting that Disney is getting closer to embracing feminism. They still have quite a long way to go, but it seems that the Disney corporation is warming up to the idea of letting girls have their own adventures. Indulge me, if you will, in a bit of Disney nostaglia. After a few animated films featuring animals, the next Disney princesses were Cinderella and Sleeping Beauty. Don't even get me started on the evil stepmothers and witches who played prominent roles in these tales, residing on the other end of the spectrum from the innocent young maidens they sought to destroy. After having either enchanted or enraged two generations of women, Disney decided to see what they could do with the next generation.
Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ? Comme La Princesse et la grenouille sorti un an plus tôt, Raiponce témoignait de la volonté de Disney de proposer des princesses plus fortes et actives que les Blanche-Neige, Cendrillon et Aurore des débuts. Mais aussi plus indépendantes que les Ariel, Belle ou Jasmine d’après la seconde vague féministe. L’idée était ainsi de parvenir à créer des personnages de princesses aussi fortes qu’ont pu l’être Mulan ou (dans une moindre mesure) Pocahontas, dont l’appartenance à une ethnicité plus « lointaine » avait pu permettre quelques audaces de la part du studio (plutôt habitué à un sexisme des plus réactionnaires). Et la première bande-annonce[1] ainsi que les images diffusées par Disney pour la promotion du film[2] semblaient effectivement pleines de promesses pour tout-e-s ceux/celles lassé-e-s des éternelles histoires de princesses secondant leurs partenaires masculins pour parvenir à accomplir leur destinée (consistant inévitablement à devenir la femme d’un homme…). « Raiponce !
Princesses Disney féministes Depuis l'intéressante série d'Euterpe sur les princesses Disney et suivantes, j'ai trouvé sur le site I blame the kyriarchydes princesses Disney féministes -détournées évidemment ! Le Prince : ...et nous vivrions heureux La Princesse : est-ce que cela signifie que j'aurais ma propre carrière et que je contrôlerai mes finances ? La Princesse : Houah, pardon mais quelle partie de moi, alors que je dors ici seule, implique mon consentement ? Blanche-Neige : Ils n'ont pas arrêté de me dire que je dois haïr les hommes, puisque je suis féministe. Ils n'ont rien voulu entendre de ce que j'ai dit à propos des rôles de genre qui oppriment les hommes et les femmes ! La Princesse : J'ai écrit un essai sur la théorie queer pour mon cours de littérature. On peut rêver que les princesses de Disney (et les autres) s'émancipent, et que les princes aient l'esprit large ouvert.
Le sexisme du Roi Lion La féminité dans Le Roi Lion L’une des premières choses qui nous frappe en regardant Le Roi Lion, c’est le sexisme banal et structurant de l’histoire. Dès les premières scènes, Le Roi Lion nous fait connaître un monde structuré hiérarchiquement, avec au sommet de la pyramide le monarque absolu, qui règne en bon patriarche sur, non seulement son peuple docile et servile (les autres animaux), mais également ses lionnes, qui jamais ne remettront en question le bien fondé de la place des hommes, ni de la place des femmes. La relation entre Simba et Nala nous apparaît comme étant une relation d’amitié étant jeune, qui plus tard évoluera selon le schéma classique de Disney vers un amour hétérosexuel. Et de un… Et de deux… Et de trois… cela suffira-t-il à renverser le patriarcat? Cette supériorité ouvrirait-elle des possibilités subversives? Hélas, Disney ne s’intéresse pas à ces valeurs-là, n’est pas pour la transgression des normes de genre ni même l’égalité des sexes. Et Nala dans tout ça?