Twitter. Vérité Bonté Utilité Les trois questions à se poser avant de diffuser une #information □ Via @SalamaStephane… APPRENDRE À TRAVAILLER EN GROUPE. Par Laurent Reynaud, professeur des SVT au lycée Jacques Feyder d’Épinay sur Seine Blog des classes coopératives abordées dans cet article: Les classes coopératives du lycée Jacques Feyder postulent que la coopération entre pairs n’est pas une modalité de travail spontanée.
En effet, l’injonction à travailler en groupe ou la disposition des tables ne permettent pas l’émergence d’un travail collectif bénéfique pour tous. La coopération apparaît alors comme une modalité qui s’apprend. Les équipes pédagogiques de ces classes proposent donc aux élèves une formation en trois modules, le premier a pour objectif : « Apprendre à travailler en groupe ». Cet article présente la réflexion initiale, le déroulé et un bilan de l’expérimentation pédagogique de ce premier module. Si on interroge les enseignants suite à ces séances, trois types de contraintes rencontrées sont identifiables : De ces observations récurrentes naissent deux constats : – Permettre l’implication de tous. 1- Séance de formation. FEYDERCOOP – "L'intelligence n’est pas une qualité dont on hérite ou une ressource qu’on accumule, c’est une expérience commune que l’on partage" J.R.
APPRENDRE A AIDER ET A DEMANDER DE L’AIDE. Par Fanny DURAND-RAUCHER, professeure de physique chimie au lycée Jacques Feyder d’Épinay sur Seine Blog des classes coopératives abordées dans cet article: Les classes coopératives du lycée Jacques Feyder postulent que la coopération entre pairs n’est pas une modalité de travail « systématiquement intéressante pour les apprentissages ».
IsafilProfASH sur Twitter : "Gardez précieusement ce dossier extrêmement bien documenté parce que reviendront des temps où les élèves pourront travailler ensemble, s’aider et coopérer pour progresser □ Via @ConnacSylvain… https:/ Le cartable des compétences psychosociales. … Développer des stratégies pour comprendre. Dans cet atelier du stage « Enseigner l’histoire-géographie autrement » du 5 avril 2018, nous avons voulu montrer comment faire mieux comprendre le document aux élèves, par un renversement de posture : ce n’est plus l’enseignant qui pose les questions mais les élèves ; l’élève est capable de trouver lui-même le concept global une fois la leçon terminée (la notion d’empire en 6e ou d’industrialisation en 4e par exemple). Contexte Les élèves ont souvent du mal à comprendre les documents que nous proposons car ils sont remplis d’implicites. Or nous avons du mal à identifier les implicites car nous les maîtrisons.
Vous trouverez ci-dessous : le diaporama qui présente le projet ; la fiche démarche. □ Créativité: compétence phare du 21ème siècle ! Différencier créativité de l'enseignant et des élèves ➡️ comment permettre aux élèves d'opérer des choix ?… 10 questions à poser aux enfants et adolescents pour apprendre à apprendre (métacognition)
Commencer très tôt à dire ce qu’on a fait, ce qu’on fait, ce qu’on va faire (la métacognition) est un incontournable de la prévention de l’échec scolaire.
La métacognition recouvre plusieurs aspects : la connaissance qu’on peut avoir de processus cognitifs, d’opérations mentales nécessaires pour accomplir une tâche ;la capacité à utiliser cette connaissance lors de l’accomplissement de la tâche La métacognition est plus difficile avec des élèves qui maîtrisent mal la langue (parlée et écrite), qui ont des lacunes scolaires et qui sont peu efficaces dans leur travail. Jean-Michel ZAKHARTCHOUK, auteur de Apprendre à apprendre, propose plusieurs conditions pour amener les élèves à pratiquer la métacognition en classe : ……………………………………….. De Jean-Michel ZAKHARTCHOUK (éditions Réseau Canopé) Articles similaires.
Twitter. Le travail personnel de l'élève avec et sans numérique, un livre gratuit à télécharger. Motivation.
« Apprendre au XXIᵉ siècle » : un pari sur l’intelligence collective. Il est grand temps que l’apprentissage de la curiosité l’emporte sur celui de la soumission.
Tel est le « credo » sur lequel repose Apprendre au XXIᵉ siècle, l’importante et passionnante contribution que François Taddei vient d’apporter à la réflexion sur l’avenir de l’école et les enjeux de la connaissance. Si l’on veut progresser vers une « société apprenante », « où les apprentissages des uns facilitent ceux des autres », une « révolution de nos façons d’apprendre, en tout lieu et à tout âge » s’impose, juge-t-il. Le point sur les perspectives développées dans cet ouvrage. Créer et coopérer Pourquoi est-il indispensable aujourd’hui d’apprendre différemment ? D’une part, il faut prendre en compte l’impact de la révolution numérique. Ensuite, il faut voir que ce double choc nous place devant un défi considérable. Dans ces conditions, un changement de paradigme s’impose.
Des dispositifs en réseau Que faire, alors ? Intelligences et valeurs François Taddei mène en fait un double combat. Twitter.