Dans les hôpitaux, l’inquiétude monte autour des masques chinois KN95 - Page 2. Variants du coronavirus : Olivier Véran demande aussi de ne plus porter des masques fabriqués maison. Invité du journal de 20 h de TF1, jeudi 21 janvier, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a confirmé les recommandations du Haut conseil de santé concernant l'utilisation des masques en tissu, jugés désormais insuffisamment filtrants face à l'apparition de nouveaux variants du Covid-19, plus contagieux.
Changement de cap en France. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, qui n'exclut plus la piste d'un troisième confinement, a décidé de se ranger derrière le Haut conseil de santé publique, en conseillant désormais aux Français de porter soit un masque chirurgical, soit un masque en tissu de catégorie 1. Une décision qui s'inscrit alors que plusieurs variants du Covid-19 ont fait leur apparition dans le monde, en Europe mais aussi en France ces dernières semaines.
Des mutations du virus jugées plus contagieuses et non pas plus dangereuses. Les recommandations du HSCP suivies Une préconisation qui sera officialisée ce vendredi 22 janvier. Un décret publié ce vendredi 22 janvier. Covid-19 : la stratégie vaccinale française en question. Dimanche 27 décembre, la France lancera sa campagne de vaccination contre le Covid-19 dans une poignée d’établissements pour personnes âgées.
Un démarrage symbolique auprès de « quelques dizaines de résidents », a indiqué le ministre de la santé, Olivier Véran, qui intervient « le même jour » dans « tous les pays de l’Union européenne ». Au cours de cette première phase ciblant les d’établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et unités de soins longue durée (USLD), les personnels de ces structures qui le souhaitent pourront aussi recevoir l’injection du vaccin Pfizer-BioNTech, s’ils présentent eux-mêmes un risque accru de forme grave (âge ou maladies sous-jacentes). Lire aussi : les premières vaccinations en France auront lieu à Sevran et à Dijon. Coronavirus : débuts compliqués pour les tests antigéniques en France. Dans la grande pharmacie qui accueille les habitants du 20e arrondissement de Paris à la sortie du métro Saint-Fargeau, le local à poubelles s’est transformé, à la faveur d’un coup de peinture, en salle d’accueil pour les tests antigéniques.
Comme dans de nombreuses officines, les employés se préparent à mettre à disposition de leur clientèle dès lundi ces tests qui permettent de savoir si on est infecté par le Covid-19 en quinze à vingt minutes. Ils feront appel dans les premiers temps à une infirmière, qui touchera 9,80 euros sur les 26 euros que coûtent le prélèvement, la réalisation du test, et l’enregistrement dans Sidep, la base de données qui recense les malades du Covid-19. Un acte totalement pris en charge par la Sécurité sociale. Covid-19 : la France envisage le « traçage rétrospectif », à la recherche des sources de contamination. En vue de mieux réussir le deuxième déconfinement que le premier, les pouvoirs publics planchent depuis plusieurs semaines sur l’optimisation du triptyque « tester, alerter, protéger », afin de davantage maîtriser la circulation du SARS-CoV-2.
Au même titre que le respect des gestes barrières, l’identification et le suivi des « patients zéro » et de leurs cas contacts demeurent un élément pivot de cette stratégie. Depuis le 13 mai, les caisses primaires d’assurance-maladie « tracent » les personnes positives au Covid-19 et celles ayant été en contact avec elles pour tenter de casser les chaînes de contamination. Au total, depuis le lancement du dispositif, 6,1 millions de Français (1,9 million de patients zéro et 4,2 millions de cas contacts) ont été appelés par les enquêteurs de l’Assurance-maladie. Lire notre récit : Covid-19 : Emmanuel Macron devrait annoncer un « allégement des contraintes » dues au confinement.
Masques DIM toxiques ? L’exécutif demande aux fonctionnaires de ne plus les porter. Gendarmes, policiers, enseignants, personnels de certains ministères et même certaines associations… Alors que l'épidémie de coronavirus reprend de la vitalité dans l'Hexagone, de nombreux fonctionnaires ont reçu ces dernières semaines des dotations de masques de la marque DIM- l'une des marques, avec Corèle notamment, ayant remporté un appel d'offres gouvernemental.
Mais le port de ces masques en tissus acquis par l'Etat au printemps et traités par DIM à la zéolite d'argent et de cuivre - un agent biocide certes autorisé par la réglementation européenne mais dont la toxicité est soulignée par plusieurs études récentes - interroge les personnels concernés. Plusieurs voix se sont élevées ces derniers jours, notamment après la publication d'un article de Reporterre, poussant l'exécutif à faire machine arrière. Un avis de l'ANSES sollicité VIDÉO. Covid-19 : comment les scientifiques jugent la stratégie sanitaire française. Alors que la lassitude et l’incompréhension accompagnaient la généralisation du port du masque dans les grandes métropoles, mi-septembre, Le Monde s’est interrogé sur les fondements scientifiques de cette décision.
Ce questionnement en a appelé d’autres : quel est l’avis des spécialistes sur la politique de dépistage massif mise en place à la rentrée ? Sur les autres mesures de prévention ? Sur une éventuelle stratégie de l’immunité collective naturelle ? Covid-19 : les données incomplètes de Santé publique France compliquent le suivi de l’épidémie. Combien de personnes âgées sont réellement décédées du Covid-19 dans les maisons de retraite cet été ?
La question travaille Jean-Marie Robine, chercheur à l’Institut national d’études démographiques (INED). A plusieurs reprises, il a constaté que Santé publique France (SPF), l’établissement chargé notamment de collecter les données relatives à la santé des Français, avait revu à la baisse le bilan des décès survenus en Ehpad. En cause : des erreurs de saisie dans le système de déclaration des cas et des décès en maisons de retraite mis en place dans l’urgence fin mars. Lire aussi Covid-19 : Lyon, Saint-Etienne, Lille et Grenoble passeront en zone d’alerte maximale dès samedi Le 4 septembre, après plusieurs autres modifications cet été, l’agence retranche ainsi 38 victimes du total des décès sans que les données antérieures soient pour autant corrigées. Covid-19 : « C’est décourageant d’aller se soumettre à un test rendu quasi inutile » par la lenteur des résultats. Pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, le gouvernement a établi une stratégie qui se voulait claire, efficace et reposant sur quatre piliers : l’application des gestes barrières, l’autonomie des départements dans l’application des mesures, la protection des publics vulnérables et… le dépistage massif.
L’appel a été entendu : depuis quatre mois, les Français affluent dans les centres Covid-19 et autres laboratoires d’analyses. Pour lever leurs doutes sur un soupçon d’infection, avant de partir en voyage, pour pouvoir reprendre le travail ou par prudence avant un événement familial. Covid-19 : la Haute Autorité de santé valide l’utilisation des tests salivaires en cas de symptômes. La France a enregistré, vendredi 18 septembre, son plus haut bilan quotidien de personnes contaminées par le SAR-CoV-2, avec 13 215 nouveaux cas diagnostiqués en vingt-quatre heures, soit 428 696 cas détectés depuis le début de l’épidémie, selon le bilan publié par Santé publique France (SPF).
Le précédent pic de contaminations, établi la veille, marquait une progression de 10 593 cas en vingt-quatre heures. Le nombre de nouvelles hospitalisations sur les sept derniers jours s’élève par ailleurs à 3 626, contre 3 223 jeudi et 2 976 mercredi, et le nombre d’admissions en réanimation à 571, contre 535 la veille et 508 mercredi. La France a enregistré 123 nouveaux décès en vingt-quatre heures, ce qui porte le total des personnes mortes du Covid-19 à 31 249 depuis le début de l’épidémie en mars dernier. SPF précise que cette hausse marquée de la mortalité s’explique en partie par un rattrapage de données, 76 décès n’ayant jusque-là pas été intégrés dans ces bilans. Durcissement à Toulouse. Coronavirus : la note très salée des tests RT-PCR.
Les tests RT-PCR de dépistage du Covid-19 coûtent-ils trop cher à la Sécurité sociale ?
Sur la seule semaine du 7 septembre, 1,2 million de tests ont été effectués en France. A raison de 73,59 euros par test remboursés aux laboratoires de biologie, la facture s’élève à plus de 88 millions d’euros par semaine pour l’Assurance-maladie. Peut-on porter un masque toute la journée ? A quelle température le laver ? A quel point protège-t-il ? Nos réponses à vos questions. Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques).
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S’il a certes reconnu que le passage à un million de tests par semaine avait « entraîné des temps d’attente trop importants », le chef du gouvernement n’a guère infléchi le cap tenu depuis la mi-juillet, date de la prise en charge du test sans prescription médicale. Lire aussi Le résumé des annonces du gouvernement sur l’épidémie de Covid-19 : durée d’isolement de 7 jours et « circuits de dépistage renforcés » Des « créneaux horaires » leur seront réservés et des tentes de dépistage pourront leur être consacrées.
Il vous reste 39.8% de cet article à lire. Covid-19 : Imbroglio autour des masques des enseignants. Au début, c’était une simple observation, partagée entre enseignants d’écoles maternelles et élémentaires. Une petite bizarrerie. « On s’est rendu compte que l’ARS [agence régionale de santé] mettait en quatorzaine les enseignants qui avaient porté des masques en tissu, et pas les autres », rapporte Johanna Cornou, représentante du personnel au SE-UNSA et directrice d’école au Havre (Seine-Maritime). « Dans mon école, l’ARS a fermé la classe d’un enfant Covid+ et mis l’enseignant en quatorzaine, mais pas les animateurs, rapporte une directrice francilienne qui souhaite garder l’anonymat.
Quand j’ai demandé pourquoi, on m’a dit que les animateurs n’étaient pas cas contact, parce qu’ils portaient des masques chirurgicaux. » Hôpitaux : des « choix forts », pas la révolution. Le système de santé français peut-il être « refondé » en sept semaines ? Tout en appelant à des « choix forts » et à des « changements radicaux », le premier ministre, Edouard Philippe, s’est appliqué, lundi 25 mai, à donner un cadre raisonnable aux concertations menées à partir de mardi dans le cadre du « Ségur de la santé ». Elles doivent aboutir d’ici la mi-juillet à une « rénovation en profondeur » du système de santé. « Il ne nous a pas enthousiasmés sur la capacité à réinventer l’hôpital et le système de santé alors qu’avec cette crise, il y avait l’occasion de renverser la table », déplore François Salachas, neurologue à la Pitié-Salpétrière et membre du Collectif inter-hôpitaux (CIH).
Deux milliards de masques chinois livrés par un pont aérien inédit. Depuis leur arrivée en France dans le ventre de l’avion-cargo russe Antonov transportant des millions de masques chirurgicaux et FFP2 en provenance de Chine, sur le tarmac de l’aéroport Paris-Vatry (Marne), il faudra une bonne semaine pour que le docteur Jacques Picard, généraliste à Maisons-Alfort (Val-de-Marne), puisse venir chercher, en pharmacie, cet équipement indispensable à sa sécurité et à celle de ses patients. Entre ces deux moments, les masques auront été transportés sous haute garde, stockés dans des endroits tenus secrets, sous protection militaire, contrôlés, voire testés pour certains, puis, de camions en camionnettes, seront passés par des plates-formes de répartition.
La cible ? 136 groupements hospitaliers territoriaux, soit 14 000 établissements de santé d’une part, et de l’autre, 21 000 pharmacies d’officine. Article réservé à nos abonnés Lire aussi 600 millions de masques : l’objectif du « pont aérien » en préparation entre la Chine et la France. « L’élimination des masques réutilisables est un choix historique discutable » Dans un article coécrit avec le médecin et historien de la chirurgie Thomas Schlich, et paru dans la revue médicale The Lancet le 22 mai, le biologiste et historien des sciences Bruno Strasser retrace l’histoire, l’évolution et l’adaptation des masques médicaux à la culture du « tout-jetable ».
Coronavirus : à l’hôpital de Die, la vague n’est jamais arrivée, mais les tensions si. Du troisième étage de l’hôpital de Die (Drôme), une forêt cache la vue sur le massif du Vercors. Macron assure qu'il n'y a "jamais eu de rupture" de masques. Coronavirus : contre le « bien commun », Sanofi oppose la nécessité de financer ses nouveaux vaccins. Pour une fois, tout le monde politique est d’accord. 2017-2020 : comment la France a continué à détruire son stock de masques après le début de l’épidémie. Aux racines de la crise sanitaire française 5|5. La France et les épidémies : 2011-2017, la mécanique du délitement. La France et les épidémies : 2010-2011, le changement de doctrine. Il n’en peut plus. En cinq ans passés à la tête de l’incontournable Direction générale de la santé (DGS), où il a été nommé en mars 2005, le professeur Didier Houssin s’est rarement senti aussi amer qu’en ce printemps 2010.
La France et les épidémies : 2007-2010, l’apogée du principe de précaution. La France et les épidémies : 2005-2007, le temps de « l’armement » Barré du tampon « Confidentiel », le rapport date du mois d’avril 2005. Les masques made in France reviennent moins cher que les chinois. Masques : l’occasion manquée pour le monde d’après. Coronavirus : pourquoi la France a tant de mal à se fournir en médicaments. Damien Abad fustige « le défaut d’anticipation » de l’Etat face aux grandes surfaces qui ont « sécurisé » des masques.
Après des débuts difficiles, le Maroc se lance dans l’exportation de ses masques anticoronavirus. Les professionnels de santé s’étonnent des quantités de masques bientôt vendus par la grande distribution. Pourquoi le coronavirus a mis à l’épreuve les hôpitaux français. Pourquoi le coronavirus a mis à l’épreuve les hôpitaux français. Dépistage du coronavirus : les raisons du fiasco français sur les tests. Masques : comment le gouvernement a menti pour dissimuler le fiasco. Masques : un fiasco et des mensonges. Masques, mensonges et incurie. Relance de l'usine de masques de Plaintel : six jours après l'avoir écartée, le gouvernement se ravise. Coronavirus: la pénurie de masques connue depuis 2018.
Usine de masques de Plaintel : pour l'instant, le gouvernement dit "non" à une relance. Masques: après le mensonge, le fiasco d’Etat. Les masques, même faits maison, protègent-ils du coronavirus ? Le débat démêlé en 8 points. En France, les fabricants de masques textiles accélèrent la cadence. Coronavirus : toute la planète cherche à acheter des masques de protection en Chine. ENQUÊTE FRANCEINFO. Comment la France a sacrifié sa principale usine de masques basée en Bretagne. « Agnès Buzyn nous a fait perdre deux mois décisifs » La France en pénurie de masques : aux origines des décisions d’État. Frédéric Keck: «Les chauves-souris et les pangolins se révoltent»