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Sortie de Crise

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Youtube. Catherine Hill : "On ne voit pas d'emballement des chiffres, c'est étrange" Incompréhension chez les épidémiologistes.

Catherine Hill : "On ne voit pas d'emballement des chiffres, c'est étrange"

Contrairement à ce que l'on pouvait imaginer en janvier, l'épidémie de Covid-19 semble marquer le pas en France. Le nombre de nouveaux cas confirmés a baissé de 4% cette semaine par rapport à la semaine dernière, et le taux de dépistage se stabilise, selon les données hebdomadaires de l'Agence nationale de santé publique. 21 063 cas positifs de Covid-19 ont été comptabilisés en 24 heures par Santé publique France jeudi, dans la moyenne des derniers jours. Pour l'épidémiologiste et biostatisticienne Catherine Hill, ce ralentissement est "étrange".

Si elle espère que les vaccins vont continuer de ralentir la circulation du virus, elle continue toutefois d'insister sur l'importance de "tests de masse" pour mieux contrôler le Covid-19 en France. L’état d’urgence sanitaire prolongé jusqu’au 1er juin en France. Alors que la France a franchi mardi 9 février le seuil des 80 000 morts du Covid-19, le Parlement a donné son feu vert à une prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er juin, malgré l’opposition de la droite comme de la gauche.

L’état d’urgence sanitaire prolongé jusqu’au 1er juin en France

La majorité n’a pas fait le plein et le projet de loi de prorogation a été validé à l’Assemblée par 278 votes pour, 193 contre et 13 abstentions. Créé en mars 2020 face à l’épidémie de Covid-19, l’état d’urgence sanitaire sert notamment de base juridique au couvre-feu national à 18 heures. Ce régime « boîte à outils » permet aussi les mesures de restriction ou d’interdiction de déplacements, des rassemblements ou des ouvertures des établissements, sur tout ou partie du territoire, ainsi que des confinements partiels ou complets de la population.

Comment expliquer le spectaculaire recul du Covid-19 en Inde ? Comptant 1,3 milliard d'habitants, l'Inde est le deuxième pays au monde le plus touché par le Covid-19 avec plus de 10,7 millions de cas recensés, mais le nombre quotidien de nouvelles contaminations et de décès ne cesse de reculer depuis des mois.

Comment expliquer le spectaculaire recul du Covid-19 en Inde ?

Voici la situation du géant sud-asiatique vis-à-vis de la pandémie : Que révèlent les chiffres officiels ? L'Inde a signalé son premier cas de Covid-19 le 30 janvier 2020 et son premier décès à la mi-mars. Le nombre de nouveaux cas quotidiens a atteint un pic, à un peu plus de 97 000 contaminations à la mi-septembre, selon les chiffres du ministère de la Santé. Le pays dénombrait quelque 1000 décès par jour en moyenne en septembre avant de voir ce chiffre diminuer. Avec 10,7 millions de contaminations enregistrées au total, et 155 000 décès, l'Inde affiche un taux de létalité parmi les plus faibles des 20 nations les plus touchées.

Les données reflètent-elles la réalité ? Quelles mesures prises ? Coronavirus : une étude suggère que la gravité des cas serait liée à la température (et que l’automne pourrait être dur...) Atlantico.fr : Avec la chute des températures à l'automne, doit-on s'attendre à une reprise de l'épidémie de coronavirus après l'été ?

Coronavirus : une étude suggère que la gravité des cas serait liée à la température (et que l’automne pourrait être dur...)

Stéphane Gayet : Décidément, en voilà une question qui taraude les esprits. Le confinement généralisé et obligatoire du mardi 17 mars au dimanche 10 mai à minuit a été très efficace, comme en témoigne la courbe des nouvelles hospitalisations quotidiennes pour CoVid-19 (cliquer sur SYNTHèSE), mais il a eu des conséquences économiques et sociales catastrophiques. À présent, la situation épidémique en France est plus qu’apaisée, elle est sous contrôle. Mercredi 22 juillet, il y a eu en France 132 nouvelles hospitalisations pour CoVid-19 (à titre de comparaison, il y en a eu 4281 mercredi 1er avril et depuis mercredi 10 juin, la courbe est écrasée et plate, avec une moyenne calculée de 97 par jour). On peut donc affirmer que présentement la situation est maîtrisée et que l’offre de soins suffit largement à la demande en matière de CoVid-19. 1. 2. 3.

Un plan gouvernemental de 20 millions d’euros pour encourager la pratique du vélo pendant le déconfinement. Afin d’éviter que le déconfinement soit synonyme d’une hausse massive de la pollution de l’air, le vélo est promu.

Un plan gouvernemental de 20 millions d’euros pour encourager la pratique du vélo pendant le déconfinement

Le ministère de la transition écologique et solidaire a notamment annoncé, mercredi 29 avril, un plan doté de 20 millions d’euros pour faciliter la pratique de la bicyclette et éviter que les Français privilégient trop leur voiture lorsqu’ils seront autorisés à se déplacer à nouveau, notamment pour se rendre au travail. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Ville déconfinée, ville cyclable ? Les défenseurs du vélo préparent la bataille des mobilités « Nous voulons que cette période fasse franchir une étape dans la culture vélo, et que la bicyclette soit la petite reine du déconfinement en quelque sorte », a ainsi assuré Elisabeth Borne, dans un entretien au Parisien. Le fond de 20 millions d’euros permettra de prendre « en charge des réparations, l’installation de places de stationnement ou encore des formations », précise Elisabeth Borne.

Coronavirus : Jean Castex, Monsieur Déconfinement toujours au centre du jeu. C'est le « Monsieur déconfinement » du Gouvernement, celui qui est depuis le 2 avril, chargé de coordonner la levée progressive des restrictions liées au confinement. « Un véritable couteau suisse », racontent ceux qui ont l'habitude de côtoyer ce haut fonctionnaire de 54 ans, passé par l'ENA, la Cour des comptes et la préfecture du Vaucluse, où il a été secrétaire général. « En apprenant sa mission, je lui ai envoyé un message lui assurant que le déconfinement était entre de bonnes mains », raconte Stéphane Troussel, président PS du département de Seine-Saint-Denis.

Coronavirus : Jean Castex, Monsieur Déconfinement toujours au centre du jeu

Quand et comment pourrons-nous ressortir de chez nous ? Les enjeux du « déconfinement » expliqués en schémas. La question à se poser sur la fin du confinement n’est pas seulement « quand », mais aussi « comment ». Car, au fil des semaines, se dessine un scénario beaucoup plus complexe qu’une levée pure et simple des mesures mises en place en France contre le Covid-19 depuis le 17 mars à midi. Le premier ministre doit présenter mardi 28 avril à 15 heures, le plan de déconfinement du gouvernement, mais il est acquis que la menace du coronavirus SARS-CoV-2 planera sur la durée, posant de nombreuses questions. Que se passe-t-il si on lève le confinement d’un coup ? Le Piège se Referme sur l'Europe.

Fin de l'épidémie de coronavirus au printemps : le Professeur Raoult persiste. L'essentiel Une nouvelle fois, le Professeur Raoult assure dans la presse que l'épidémie de coronavirus pourrait disparaître avec l'arrivée du printemps.

Fin de l'épidémie de coronavirus au printemps : le Professeur Raoult persiste

Il l'avait déjà affirmé dans une de ses vidéos en début de semaine. Comme toujours, il divise le monde médical. Le printemps va-t-il nous sauver ? Presque 2 Français sur 3 souhaitent davantage télétravailler après la crise. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business Alors qu'une fin du déconfinement pour mai se dessine, un sondage montre que les salariés français interrogés espèrent que leur employeur aient à l'avenir davantage recours au télétravail.

Presque 2 Français sur 3 souhaitent davantage télétravailler après la crise

Malgré la violence de cette crise sanitaire, les Français ont néanmoins trouvé un sujet de satisfaction. Dominique Meda : "Dans les consciences des citoyens fermente une révolution" La Tribune : La métaphore guerrière et la dialectique belliqueuse sont abondamment employées, en premier lieu par le chef de l'Etat, pour caractériser la nature du combat contre l'épidémie de coronavirus.

Dominique Meda : "Dans les consciences des citoyens fermente une révolution"

Une métaphore qui peut être, comme l'estime votre confrère Michel Wieviorka, inopportune, mais qui n'est pas sans enseignement. Notamment, par le biais de l'histoire, sur une nécessité : "l'après", s'il est souhaité disruptif, se pense, se débat, se prépare et s'organise "pendant". Comment le monde a fini par vaincre la grippe espagnole. On la dit "espagnole", parce qu'en 1918 la presse française, corsetée par la censure, préfère parler de l'épidémie de l'autre côté des Pyrénées plutôt que de celle qui sévit dans l'Hexagone, simple grippette, assure-t-elle.

Comment le monde a fini par vaincre la grippe espagnole

Pourtant, la "grippe espagnole" fut bien une épouvantable catastrophe qui fit, dans le monde, entre 25 et 40 millions de morts entre avril 1918 et le printemps 1919. C'est davantage que pendant la Première Guerre mondiale, comme l'explique l'article de Claude Quétel pour le magazine L'Histoire. Gaël Giraud : "La sortie du confinement ne sera pas du tout la fin de la crise" Une crise de l'offre alimentaire pourrait arriver dans les semaines à venir ? A quand la fin du confinement ? Peut-on comparer la situation économique au krach de 1929 ? De 2008 ? Peut-on s'attendre à un retour de l'Etat-providence ? Réponses de Gaël Giraud, économiste et directeur de recherches au CNRS Vous estimez qu'après cette crise, rien ne pourra plus être comme avant. Gaël Giraud : "Je crois que ce dont on fait l'expérience aujourd'hui, c'est que nous avons construit une globalisation marchande qui nous rend extrêmement vulnérables.

Quels sont les signes précurseurs qui auraient dû alerter les financiers et les dirigeants ? "Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie..." : Annie Ernaux. Annie Ernaux est écrivain. Elle vit à Cergy, en région parisienne. Son oeuvre oscille entre l'autobiographie et la sociologie, l'intime et le collectif. Dans cette lettre adressée à Emmanuel Macron, elle interroge la rhétorique martiale du Président. "Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie..." : Annie Ernaux. Coronavirus : pourquoi l’épidémie va survivre au confinement #LesDécodeurs. Exponential growth and epidemics.