Center Parcs attaqué en justice par 200 particuliers. Pierre & Vacances bientôt devant la justice.
Plus de 200 propriétaires de cottages Center Parcs vont déposer un recours contre le groupe, rapporte Le Parisien. Le raison ? Le géant du tourisme refuse toujours de leur payer les loyers du premier confinement, en raison de la crise sanitaire et la fermeture des sites. "Rien ne permet juridiquement de ne pas payer ces loyers : ni le corpus réglementaire ni la loi. Je ne demande qu'à croire que le Covid-19 pose des difficultés financières. Le principe des Center Parcs : des particuliers achètent des logements qui sont ensuite exploités par Pierre & Vacances. >> A lire aussi - Center Parcs : le projet de Roybon abandonné Contacté par Le Parisien et La Nouvelle République, Pierre & Vacances avance le cas de "force majeure" pour justifier le non-paiement des loyers.
>> A lire aussi - Une station balnéaire espagnole propose des forfaits tout inclus à prix cassés pour relancer le tourisme. Disneyland Paris, le royaume désenchanté. Si Disneyland Paris espère survivre à la crise liée au Covid-19, il trouvera dans son histoire matière à réconfort : en 1918, un adolescent de Chicago prénommé Walt Disney tomba malade de la grippe espagnole.
Il en réchappa après un traitement à la quinine et put embrasser une carrière prometteuse de dessinateur. Un siècle plus tard, les parcs d’attractions de l’empire Walt Disney ont été durement frappés par la crise sanitaire. A la fin de mars, alors que ses quatorze parcs n’étaient fermés que depuis quelques semaines, le groupe évaluait la perte de revenus à un milliard de dollars (environ 885 millions d’euros).
Si la filiale française garde jalousement le secret sur ses chiffres, chaque jour de fermeture équivaut à plusieurs millions d’euros de recettes envolés. Article réservé à nos abonnés Lire aussi « C’est très calme, mais c’était voulu » : potion amère pour les parcs d’attractions La clientèle française, susceptible de revenir le plus rapidement, comptait pour 44 % en 2016. Malgré une santé de fer, Disney va cesser de payer plus de 100.000 employés. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFM Business Le groupe américain, qui a affiché un chiffre d'affaires de plus de 20 milliards de dollars l'année dernière, est de plus en plus critiqué pour ses sévères mesures d'économies budgétaires.
Bien plus sévères que ses concurrents. Accueil - Manatour - Manatour. Thomas Cook: course contre la montre pour éviter la faillite. Une agence Thomas Cook à Londres, le 17 septembre 2018 ( AFP / Daniel LEAL-OLIVAS ) Le voyagiste britannique en difficulté Thomas Cook a engagé une course contre la montre afin de trouver des financements supplémentaires d'ici ce week-end pour éviter une retentissante faillite et un rapatriement massif et coûteux de touristes.
Le groupe a été contraint de reconnaître vendredi dans un bref communiqué avoir besoin de 200 millions de livres (227 millions d'euros) de plus après de récentes informations de presse alarmistes sur son état de santé. Le spécialiste des voyages clé en main doit trouver cet argent frais ce week-end ou il devra se placer sous le régime des faillites au Royaume-Uni. Une source proche du dossier a confirmé à l'AFP des informations du Financial Times selon lesquelles Thomas Cook négociait vendredi dans l'urgence avec plusieurs investisseurs potentiels, dont le gouvernement britannique, pour tenter de trouver les fonds manquants.
Largent de la neige (Documentaire) Clap de fin pour Euro Disney en Bourse. Sous pression, la maison mère américaine veut prendre 100 % du capital du parc de Marne-la-Vallée.
Le générique de fin approche pour l’une des plus désastreuses aventures jamais signées par Disney, celle de sa filiale Euro Disney en Bourse. Sous la pression, le groupe californien a annoncé, vendredi 10 février, son intention de lancer une offre publique pour acheter les 23 % qu’il ne détient pas encore dans Euro Disney, la société qui exploite le parc à thème de Marne-la-Vallée, près de Paris, et perd des millions depuis des années.
The Walt Disney Company compte en outre injecter 1,5 milliard d’euros pour renflouer son parc français. Lire aussi : Disney bat des records au cinéma, mais souffre dans la télévision Commercialement, Disneyland Paris a longtemps constitué un succès. . « Un cas emblématique de mauvaise gouvernance » En vingt-cinq ans, elle n’a affiché que sept exercices bénéficiaires. De quoi désespérer les actionnaires. Recapitalisation massive.