Penser la pandémie en géographie. Comprendre le monde dans lequel nous vivons. CHRONIQUE GEOVIRALE 1 par Michel Lussault, directeur de l'École urbaine de Lyon. CHRONIQUE GEOVIRALE 2 par Michel Lussault, directeur de l'École urbaine de Lyon. CHRONIQUE GEOVIRAL 3. CHRONIQUE GEOVIRALE 4. CHRONIQUE GEOVIRAL 5. CHRONIQUE GEOVIRALE 6. CHRONIQUE GEOVIRALE 7. CHRONIQUE GEOVIRALE 8. CHRONIQUE GEOVIRALE 9. CHRONIQUE GEOVIRALE 10.
Avec dedans, les notions d'hygiénisme (doctrine développée au XIXe visant à rendre plus salubre l'espace privé et public, éventuellement par la contrainte, mais aussi par l'éducation des foules) et la notion majeure de biopolitique (notion développée par Michel Foucault qui montre comment le corps humain, et son contrôle, constitue un objet de travail pour le pouvoir politique). – stephane_descombaz
COVID-19 : les frontières sont de retour en Europe. Les frontières extérieures de l’Europe seront fermées aujourd’hui pour trente jours, une mesure à l’efficacité contestée, alors que d’autres frontières se ferment, unilatéralement, à l’intérieur même de l’Europe.
La symbolique est forte. Devenue l’épicentre de la pandémie de COVID-19, l’Europe fermera aujourd’hui ses frontières extérieures pour trente jours. UFR Histoire, Géographie, Patrimoines - Université d'Artois - Les épidémies dans l'histoire – 1 : La peste d'Apollon. Les déb@ts du FIG : #1 LES ESPACES DU CONFINEMENT. « La pandémie souligne la vulnérabilité d’un système fondé sur les villes-mondes » Tribune.
L’actuel épisode pandémique nous « rappelle que nous sommes vulnérables, nous l’avions sans doute oublié », a déclaré le président de la République lors de son allocution du 13 avril. Ces propos ne sont pas sans faire écho à la manière dont la vulnérabilité s’est imposée, en moins de quinze ans, comme un concept-clé pour appréhender le système urbain contemporain, mobilisant des travaux de recherche issus de nombreux champs disciplinaires (ingénierie, sciences sociales, philosophie, etc.). Parler de vulnérabilité, c’est admettre le paradoxe de la fragilité intrinsèque d’un système qui, pourtant, accumule, du fait de l’urbanisation continue, une puissance de plus en plus impressionnante.
Puissance démographique, économique, financière, technologique, politique et culturelle se conjuguent pour dresser les world cities (« villes-mondes »), telles que New York, Londres, Tokyo ou Paris, en milieu dominant et en référence insurpassable de l’époque contemporaine. Michel Lussault : « Les villes-mondes deviennent des acteurs géopolitiques » En amont de la conférence « Libertés, égalité, viabilité : la ville-monde face aux défis du siècle », qui se déroule le 28 juin à Paris (entrée libre sur inscription), Le Monde Cities propose une série de cinq articles sur les villes mondes. En 1991, la sociologue et économiste Saskia Sassen popularisait le terme de « global city » (ville-monde), qu’elle décrivait comme le lieu où se concentrent les pouvoirs centraux des entreprises et les services indispensables au fonctionnement de l’économie mondialisée.
Définition qui s’appliquait alors, selon elle, à trois villes : New York, Tokyo et Londres. Non-lieu (anthropologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
D'après la définition de Marc Augé, un non-lieu est un espace interchangeable où l'être humain reste anonyme. Il s'agit par exemple des moyens de transport, des grandes chaînes hôtelières, des supermarchés, des aires d'autoroute, mais aussi des camps de réfugiés. Retour sur les "non-lieux", la transformation du paysage urbain dans le cadre de la surmordernité par Marc Augé. Bertrand Badie, "je crois que la géopolitique, au sens strict du terme, est morte". ThucyBlog n° 30 – La globalisation atteinte du coronavirus : Inégalités, égoïsme, ploutocratie, insécurité – Centre Thucydide. Partager sur : Par Jacques Fontanel, le 23 avril 2020Professeur émérite d’économie et ancien vice-président chargé des relations internationales de l’Université Pierre Mendès France (Grenoble 2) Lorsqu’une pandémie arrive, l’Etat se trouve comptable d’une avarice liée à son endettement, aux inégalités sociales et à l’absence des ressources perdues par les systèmes d’optimisation et d’évasion fiscaux.
Le point de vue des sciences politiques. – stephane_descombaz
La leçon de la pandémie du coronavirus nous le rappelle violemment aujourd’hui !
Les illusions de la mondialisation Après l’effondrement de l’Union soviétique, le processus de globalisation économique semblait inéluctable, encouragé par la plupart des Etats et soutenus par les économistes libéraux lesquels insistaient pour déréglementer, déréguler, décloisonner les économies nationales et la finance internationale.
COVID-19, une leçon de géopolitique #01 - Les deux Corée face au virus - Le Dessous des cartes. COVID-19, une leçon de géopolitique #02 - Le Brésil face au virus - Le Dessous des cartes. Sans oublier le ministre de la Santé qui s’oppose lui-aussi au président, jusqu’à Twitter qui a choisi de censurer certaines des publications de Jaïr Bolsonaro.
Cartes à l’appui nous verrons pourquoi le COVID-19 pourrait faire des ravages au Brésil, au pays du gigantisme et des inégalités, et nous donnerons la parole à Aurélien Francisco-Barros, jeune réalisateur franco-brésilien. La pandémie du coronavirus nous fait prendre conscience, comme jamais, de notre appartenance au « village global » et de nos interdépendances : désormais, Londres regarde Paris, qui regarde Milan, qui regarde Pékin, pour savoir à quoi va ressembler le jour d’après. Interview et réalisation : Émilie AubryAssistée de : Pierre SimonMixage : Simon DuboisMontage : Juliette DroillardProduction : Angèle Le Névé ARTE France - Mars 2020. COVID-19, une leçon de géopolitique #03 - La Chine et Taïwan face au virus - Le Dessous des cartes. Comment expliquer ce contraste ?
Quels impacts du COVID-19 sur les ambitions de puissance de Pékin ? Thomas Gomart, le directeur de l’IFRI nous éclaire à ce sujet. La pandémie du coronavirus nous fait prendre conscience, comme jamais, de notre appartenance au « village global » et de nos interdépendances : désormais, Londres regarde Paris, qui regarde Milan, qui regarde Pékin, pour savoir à quoi va ressembler le jour d’après. COVID-19, une leçon de géopolitique #04 - L'UE face au virus - Le Dessous des cartes. COVID-19, une leçon de géopolitique #05 - Le Golfe face au virus - Le Dessous des cartes. Jeudi 9 avril, on a appris que l’Arabie saoudite suspendait sa guerre au Yémen avec un cessez-le-feu.Le royaume ira-t-il jusqu’à l’annulation du hajj, le grand pèlerinage annuel à La Mecque ?
Pour en discuter, nous sommes en ligne avec Laurent Bonnefoy, chercheur au CNRS et spécialiste de la péninsule arabique. Il est actuellement en poste à Mascate au sultanat d’Oman. COVID-19, une leçon de géopolitique #06 - Le monde aérien face au virus - Le Dessous des cartes. Le manque à gagner est évidemment considérable pour les différents acteurs économiques qui dépendent du transport aérien.
Tous se demandent quand le trafic pourra reprendre et surtout s’il retrouvera un jour son niveau d’avant la crise. Fabrice Gliszczynski, rédacteur en chef de La Tribune et spécialiste du transport aérien, fait un point sur la situation. La pandémie du coronavirus nous fait prendre conscience, comme jamais, de notre appartenance au « village global » et de nos interdépendances : désormais, Londres regarde Paris, qui regarde Milan, qui regarde Pékin, pour savoir à quoi va ressembler le jour d’après. COVID-19, une leçon de géopolitique - #07 - Mali : élections et virus. Les infrastructures médicales du pays sont effectivement insuffisantes pour affronter une trop rapide détérioration de la situation sanitaire.
En attendant, les Maliens sont surtout préoccupés par les élections législatives qui ont eu lieu les 29 mars et 19 avril derniers, les premières depuis 2013. L’enlèvement par un groupe djihadiste du chef de file de l’opposition au président Ibrahim Boubacar Keita, Soumaïla Cissé, illustre bien le contexte d’insécurité dans lequel celles-ci se sont tenues.La sécurité, l’un des enjeux majeurs de ce scrutin dont les résultats définitifs ne sont pas encore connus. COVID-19, une leçon de géopolitique #08 - Le sport face au virus - Le Dessous des cartes. Tant pis également pour ces puissances qui font du sport un élément central de leurs stratégies de « soft power » à l’image du Japon ou du Qatar, deux exemples décryptés par le directeur de l’IRIS, Pascal Boniface, spécialiste de la géopolitique du sport.
La pandémie du coronavirus nous fait prendre conscience, comme jamais, de notre appartenance au « village global » et de nos interdépendances : désormais, Londres regarde Paris, qui regarde Milan, qui regarde Pékin, pour savoir à quoi va ressembler le jour d’après. En parallèle, les pays ne vivent pas tous la pandémie de la même manière, parce que les mesures politiques prises ne sont pas exactement les mêmes d’un État à l’autre, parce que la géographie du pays a des incidences sur les modalités de contamination, ou encore parce que les modes de vie, les pratiques culturelles diffèrent. Profitons-en pour améliorer notre connaissance du monde, réviser aussi nos fondamentaux : et si le COVID-19 nous invitait à changer d’échelle ?
Une leçon de géopolitique du DDC #02 - Mexique : virus et inégalités - Le Dessous des carte. Épidémies, une longue histoire - Le Dessous des cartes.