http://www.youtube.com/watch?v=cqIcOaKAX4k
Travailler moins pour gagner plus… avec Franck LEPAGE et Gaël TANGUY (durée 3H30) Cette conférence évoque le potentiel d’action collective que recèle de « droit du travail » : processus d’avancée historique continue de la propriété collective des travailleurs contre la propriété lucrative du capital, symbolisé dans la protection sociale, que l’on veut nous faire passer pour des « charges » !!! Le salaire n’est pas le « prix » d’un travail (version de droite) , mais un « barème » imposé par la lutte, (version de gauche) c’est à dire un rapport de forces par lequel nous obligeons un propriétaire à payer aussi du travail libre à d’autres que nous (retraites, chômage, maladie...et bientôt pourquoi pas la jeunesse? via un salaire universel qui nous délivrerait du marché de l’emploi subordonné) ?
« La gratuité, c’est ce qui a le plus d’importance dans nos vies » Jean-Louis Sagot-Duvauroux passe une bonne partie de son temps comme dramaturge au sein d’une compagnie de théâtre malienne, Blonba. Il est aussi, en tant que philosophe, le co-auteur de « Voyageurs sans ticket. Liberté Egalité Gratuité. » “L’Europe sociale” des salaires… Comme on le sait, l’Europe sociale avance (presque) à grands pas : Depuis 35 ans donc (en fait 60 ans, mais bon, ok, commençons avec les 1ères élections de 1979), les choses ont bien progressé, vu qu’on est passé de ça : à ça : Et donc, on a eu une convergence évidente au niveau du salaire minimal : Le curieux classement des entreprises où il fait bon travailler Microsoft et Leroy Merlin en font partie, mais ni Continental ni Total… Le Great Place to Work Institute a « labelisé » 30 entreprises où il fait bon travailler. C'est sur la base d'un questionnaire et d'un « audit » que la sélection s'est opérée sur les 107 entreprise candidates. Mais comment fait-on pour choisir ces sociétés exemplaires ?
Le Crédit coopératif, une banque pas tout à fait comme les autres Lavoixeco - Le Crédit coopératif ne date pas d'hier. Il a été créé au XIXe siècle par des coopérateurs pour accéder au crédit. Sa vision éthique et solidaire de la banque fait de plus en plus d'émules. Il a organisé mardi son assemblée générale dans la région. C'est une première pour un établissement bancaire : le Crédit coopératif a rendu public le détail de l'utilisation de ses ressources en 2010. « Nous l'avons fait dans un souci de complète transparence », explique Yannick Ledunois, délégué général de la région Nord-Est. « C'était une demande de nos clients. » Le Crédit coopératif n'a rien à cacher. « Nous finançons l'économie réelle ».
Great Places to Work L’Institut Great Place to Work® mène des recherches et reconnaît les meilleures entreprises dans plus de 45 pays sur six continents. Selon les résultats d’enquêtes représentant quelques 10 millions de salariés de part et d’autre du globe, ces compétitions des meilleures entreprises sont à la base de la série d’études la plus grande et la plus respectée du monde portant sur les entreprises d’excellence, le management et le rôle de la confiance dans la culture d’entreprise. Rigoureuse et objective, la méthodologie de Great Place to Work établit une norme internationale pour définir les entreprises où il fait bon travailler dans les secteurs commercial, universitaire, à but non lucratif et gouvernemental. Les résultats, présentés dans un palmarès des entreprises où il fait bon travailler, sont publiés chaque année dans des médias prestigieux partout dans le monde : Financial Times (Royaume-Uni) et Fortune (États-Unis, Corée), Época (Brésil) ou encore Business Day (Nigeria).
Le revenu de base : utopie d'hier, révolution d'aujourd'hui, réalité de demain ? Revenu de base, allocation universelle ou revenu universel… tous ces termes désignent une vieille idée qui pourrait revenir au goût du jour : verser à chaque citoyen un revenu. Utopique ? Stanislas Jourdan, journaliste et promoteur de l’idée en France, revient sur l’histoire de l’idée, ses fondements économiques et philosophiques, et témoigne de la résurgence de l’idée à travers le monde. « Sans revenu, point de citoyen » s’exclamait en 1792 le philosophe Thomas Paine du haut de la tribune de l’Assemblée Nationale. Laissez moi vivre à poil sur mon île ! A 76 ans, Masafumi Nagasaki n'a plus peur de rien: la violence des typhons et les morsures d'insectes ne sont rien en comparaison avec la vie en société. Du coup, ce Japonais préfère vivre seul sur sa petite île, aussi inhospitalière soit elle. Depuis vingt ans, Masafumi ne veut plus entendre parler de la race humaine, raison pour laquelle il s'est installé sur la petite île japonaise de Sotobanari, située à seulement un kilomètre du rivage, mais où les courants sont si dangereux que les pêcheurs locaux n'osent pas s'y aventurer. Sur l'île, la vie n'a rien de tendre.
Top Editeurs & SSII Dossier Spécial TOP SSII & Editeurs 2009 Résumé des tableaux parus dans Solutions&Logiciels N°8, Juillet 2009 Les 100 premiers Editeurs ont totalisé un chiffre d’affaires 2008 de 7,7 Mds € à comparer aux 12 milliards du marché français des logiciels évalué par Syntec informatique, soit 64,2%. Top Editeurs | Voir le Top Editeurs complet Rang Société CA consolidé 2008 Grèce : l'autogestion en pratique, après un hôpital, un journal Les travailleurs d’Eleftherotypia sont de retour avec leur propre journal ! Ça y est ! C’est fait! Les travailleurs d’Eleftherotypia, un des plus grands et plus prestigieux quotidiens grecs, vont de l’avant dans la grande entreprise de l’édition de leur propre journal, “Les Travailleurs à Eleftherotypia” ! Depuis le mercredi 15 février, les kiosques dans tout le pays affichent à côté des journaux habituels un journal de plus, écrit par ses propres salariés. Un journal qui ne cherche pas seulement à mettre en évidence la lutte des travailleurs d’Eleftherotypia, mais qui veut aussi être un journal d’information complète, spécialement en cette période si critique pour la Grèce.
Apparition de monnaies alternatives en Grèce boostées par le Net et l'Open Source Les systèmes d’échange local (ou SEL) existent depuis bien longtemps. Dans la situation actuelle de la crise européenne, ils pourraient bien retrouver une seconde jeunesse grâce au réseau et à son esprit libre. La montée des monnaies open source en Grèce Comment une ville peut devenir autosuffisante en fruits et légumes Cette histoire ressemble à une utopie, une ville imaginée par un sociologue pour décrire la communauté idéale, et pourtant tout est réel. A Todmorden, une commune d’Angleterre, les habitants cultivent leurs propres potagers dans des lieux publics qui le permettent avec l’objectif de devenir complètement auto-suffisant en quelques années. Aucun camion ou train ne transportera des légumes à Todmorden mais surtout, aucun citoyen ne récolte plus que ce dont il a besoin et tout le monde donne un coup de main en s’occupant régulièrement des différents espaces cultivés. Pour un horticulteur, visiter Todmorden est un plaisir pour les yeux, une ville tapissée de parterres et d’espaces verts où l’on peut admirer la croissance jour après jour de carottes, choux, laitues, oignons, pommes de terre et de potagers en tous genres, mais aussi d’arbres fruitiers et d’herbes aromatiques comme les framboises, les fraises, les abricots, le romarin, le basilic et bien d’autres.
Les organigrammes de 20000 entreprises sur The Official Boa Ressources Intelligence Economique The Official Board est un service gratuit qui vous permet de rechercher par mots-clés dans les organigrammes de plus de 20000 entreprises (bon j'avoue je n'ai pas vérifié si ce chiffre est exact). A l'instar d'un Cogmap ou d'un Orgchart Wiki, il s'enrichit grâce aux contributions des utilisateurs mais innove grâce à un système d'incitation original. Vous pouvez en effet avoir accès à tout le site d'un coup en payant 100$ mais vous pouvez aussi "débloquer des niveaux" du fait même de votre participation. A chaque fois que vous renseignez un nom, vous êtes en effet crédités de Talers, une monnaie virtuelle qui vous permet d'acheter des fonctionnalités ou de consulter plus de fiches détaillées.